Pour autant, le club de Jean-Michel Aulas estime que "le jugement mentionne, sans équivoque, que cette décision a été prise par le Conseil d’Administration de la LFP, et non par l’Etat, et que ledit Conseil n’était pas en compétence liée des positions exprimées par le Premier ministre le 28 avril, contrairement à ce que la LFP martelait. La LFP, tout comme l’a fait Canal + pour dénoncer le contrat de diffusion des matchs de Ligue 1, porte donc l’entière responsabilité de cette décision".
L’Olympique Lyonnais estime donc que cette "décision de la LFP est contraire à la circulaire de l’UEFA du 23 avril dernier qui mentionnait expressément que les ligues devaient faire leurs meilleurs efforts pour finir leur championnat, comme l’ont fait l’immense majorité des associations membres de l’UEFA".
Toutefois, le club mentionne "que le Conseil d’Administration aurait pu également faire le choix de la saison blanche, solution qui a été adoptée par les ligues professionnelles d’autres sports collectifs".
Sur la suspension des relégations d’Amiens et de Toulouse, et donc sur la possibilité d’une Ligue 1 à 22 équipes la saison prochaine, "la LFP a toujours la possibilité de reprendre le championnat selon une formule adaptée et conforme à la circulaire UEFA du 23 avril dernier, pour aller au bout de la compétition et permettre une issue du championnat basée sur le mérite sportif", ajoute le communiqué.
Le club ne s’arrêtera pas là dans ses recours, car " à défaut, l’Olympique Lyonnais poursuivra son action au fond devant le Conseil d’Etat", précise le club.
Jean-Michel Aulas devrait faire un point ce mercredi sur cette situation, lors de la présentation de Tino Kadewere.
il a bien raison. ne lachez rien M. Aulas. Nous vous soutenons.
Signaler RépondreSoit mais Quid des responsabilités de l'OL dans les défaites récurrents sur le terrain
Signaler RépondreQuand sera-t-il enfin condamné pour procédures abusives et surtout condamné à payer l'intégralité des frais et des coût engendré par cela?
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