Une fois sur place, ils constataient l'absence de la victime, et effectuaient un tour dans l'appartement pour vérifier que la femme ne s'était pas cachée.
A la place, les fonctionnaires ont découvert le parfait petit attirail du dealer. En effet, l'homme soupçonné de violences vendait de la drogue depuis mars 2019. Il avait chez lui 211 grammes d'herbe de cannabis, 1,4 kilo de résine, plus de 5000 euros et le matériel pour réaliser le conditionnement des stupéfiants.
L'individu âgé de 25 ans (13 antécédents judiciaires) a reconnu la vente de drogues mais pas les violences conjugales. Sa compagne, une habitante de Villeurbanne qui ne présentait aucun ITT, a d'ailleurs refusé de porter plainte.
Ecroué après avoir été présenté au parquet samedi, l'homme devait être jugé ce lundi après-midi au tribunal judiciaire de Lyon.
C'est BEAU l'amour...
Signaler RépondreQu'ils fassent des descentes surprises dans des appartements. ... Mais chutttttt c'est défendu.
Signaler RépondreBien calculé: la sentence est moins sévère envers les dealers que le violents conjugaux.
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