En mars dernier, les policiers de la brigade des stupéfiants de Lyon avaient fait tomber un important trafic de stupéfiants au sein du quartier Belleroche, à Villefranche-sur-Sâone. Un point de deal qui, pour les enquêteurs, était géré par un homme de 35 ans résident à Montpellier, pourtant sous le coup d’un mandat d’arrêt européen suite à une condamnation prononcée par le tribunal judiciaire de Grasse en juin 2017. Lors des perquisitions, 281 500 euros en espèces, 506 kg de résine de cannabis et trois armes de poing de gros calibre avaient été découverts par les enquêteurs.
De nombreuses forces de l’ordre avaient été mobilisées entre le Rhône et l’Hérault pour arrêter neuf individus. Huit suspects avaient été interpellés lors de ces opérations, sauf la principale cible, qui avait pris la fuite malgré l’assistance du RAID sur l’opération policière. Le trafiquant présumé avait percuté une policière dans sa fuite. La fonctionnaire de la brigade de stupéfiants lyonnaise avait été fauchée alors qu’elle surveillait les extérieurs d’un bâtiment. Sérieusement blessée, elle avait était transportée à l’hôpital de Montpellier. L’un des deux fuyards à bord de la Golf noire avait été menotté. Lui aussi soupçonné de trafic de stupéfiants, il est désormais mis en examen pour tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique. La tête du réseau avait lui réussi à filer.
Dès lors, l’homme devenu recherché aussi pour avoir tenté de tuer la policière est devenu une cible prioritaire. Le juge d’instruction caladois a ainsi délivré un (nouveau) mandat d’arrêt européen, assorti d’une notice rouge Interpol pour prévenir les polices du monde. "Les enquêteurs ont déployé tous les moyens d’enquête, notamment techniques, mis à leur disposition dans le cadre de la commission rogatoire pour tenter de localiser le fuyard" précise la DDSP du Rhône.
Rapidement, les policiers lyonnais ont compris que l’individu avait fui au Maroc. Une coopération internationale entre Lyon et Rabat s’est mise en place pour que les autorités marocaines procèdent à l’interpellation du suspect le 19 novembre dernier. Des procédures sont en cours pour permettre une extradition, enclenchée par les autorités judiciaires françaises.
Mince moi qui croyais que seul les français de souche étaient mauvais.
Signaler RépondreUn putain de grand merci et bravo mesdames et messieurs les policiers !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreSans votre détermination et engagement sans faille, ces crevures continueraient a se la couler douce en empoisonnant notre jeunesse.
J'adresse à la policière blessée, tous mes vœux de bon rétablissement.
Encore bravo ! Bravo ! Bravo !
Je viens du Maroc c'est un magnifique pays. Vivement que j'y retourne bientôt.
Signaler RépondreEnfin on l’attrape ! Pas trop tôt ?
Signaler RépondreIl y a de la complicité en plus haut lieu, obligé
Vite une marche des libertés et une marche contre les violences policières
Signaler RépondreOn devrait lui faire manger sa drogue .... pour lui faire comprendre que c’est de la M....
Signaler RépondreA quand l armée française va intervenir au Maroc pour arrête le trafic de drogue en france qui crée des problèmes et l insécurité en france bien sur les politiciens sont complices la drogue rapporte 1,5% du PIB de la france et 20% du PIB du Maroc
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