L'intervention des forces de l'ordre sur le campus de Lyon 2, le 6 décembre, a provoqué de vives réactions côté étudiants. Selon l'UNEF, "aux alentours de 10h, le blocage mis en place quelques heures plus tôt par des étudiants de l'université se voyait violemment délogé par des dizaines de CRS ainsi que de la BAC, appelés par la présidente".
Le blocage avait été organisé dans le cadre d'une journée nationale de mobilisation en soutien à la Palestine et pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, emprisonné en France depuis 40 ans. L'objectif des étudiants était, selon le communiqué, de "dénoncer le génocide qui se passe actuellement en Palestine, et de faire en sorte que le verdict rendu le 19 janvier 2025 lui soit favorable".
L'UNEF dénonce des actions policières disproportionnées. "Les forces de l'ordre se sont immédiatement montrées très agressives et violentes à l'égard des bloqueurs, mais aussi auprès d'étudiants qui n'avaient rien à voir", affirme le communiqué. Les manifestants dénoncent des "étudiants violemment poussés et frappés, parfois même par plusieurs agents à la fois alors qu’ils étaient déjà au sol, jusqu'à être blessés".
Le syndicat étudiant accuse, Isabelle von Bueltzingsloewen présidente intérimaire de l'université, d'avoir systématiquement recours aux forces de l'ordre pour déloger les mobilisations étudiantes. Ce 6 décembre n'est, selon eux, pas un cas isolé. L'UNEF rappelle qu'une intervention similaire avait eu lieu le 16 octobre dernier sur le campus des Berges du Rhône, où "plus d'une cinquantaine de CRS avaient été appelés pour déloger l'occupation de la cour centrale" par le collectif des Sans-Facs et ses soutiens.
Le communiqué dénonce une "répression grandissante" sur les campus depuis l'arrivée de la présidente par intérim. L'UNEF affirme que : "L'université est un lieu d'éducation et d'émancipation, il est absolument inadmissible que les CRS ou la BAC soit autorisés et même invités à poser un pied dans l'enceinte de nos campus. Encore plus, qu'ils puissent se montrer agressifs et violents envers des étudiants sous prétexte qu'un groupe d'étudiants est resté sur la voie publique."
la surpression aussi
Signaler Répondremessage des pneus michelin
Signaler Répondrehi,hi,hi
Signaler Répondrepourquoi ? elle protège les vrais étudiants qui veulent réussir ....
Signaler Répondrehonte à la la présidente de lyon 2
Signaler RépondreEffectivement une Présidente courageuse et efficace grâce à la police qui reste encore un rempart de sécurité pour mater une minorite agissante et destructrice au niveau de l uni ersite mais plus largement au niveau de la France.
Signaler Répondredes branleurs pathologiques pour qui le collectivisme consiste a vivre aux crochets de la collectivité
Signaler Répondremais vous parlez de quels juges ? merci de préciser
Signaler RépondreTout soutien à la Palestine et à ses actes terroristes devrait être sévèrement puni : mais voilà les juges sont soit laxistes soit cautionnent ces actes !
Signaler RépondreL unef ,la dictature d une minorité..30 extrémistes qui bloquent 30000 étudiants..
Signaler RépondreQui sont ces soi-disants étudiants à part être des gauchistes attardés baignés dès leur plus jeune âge par l’idéologie du grand soir révolutionnaire? Il est normal que des FDO puissent accéder aux campus, qui sont des lieux publics appartenant à tous les français pour y déloger ceux qui emmerdent la majorité des étudiants qui veulent simplement apprendre et étudier dans de bonnes conditions! Les universités ne sont pas des propriétés privées de l’UNEF et autres syndicats de l’ultra gauche! Virons les gauchistes des facs!!!!!
Signaler Répondreces jeunes revolutionnaires de carnaval sont ridicules..
Signaler RépondreLes universités sont financées par nos impôts. Les étudiants qui ne veulent pas étudier vont ailleurs. Depuis quand, les universités sont des lieux de manifestations politiques?? Et on s'étonne de la chute du niveau.......
Signaler Répondre"des étudiants (sic) violemment poussés et frappés, parfois même par plusieurs agents à la fois alors qu’ils étaient déjà au sol, jusqu'à être blessés"
Signaler RépondreEt personne n'a filmé ? Comme c'est étonnant.
Franchement y aurai du faire ça plus tôt n'empêche
Signaler RépondreL’UNEF, syndicat plus que représentantatif de la gauchosphère qui veut donner des leçons de démocratie, on aura tout vu
Signaler RépondreL'UNEF est une association loi 1901, à ce titre elle a des obligations. A quel moment les pouvoirs publics vont ils se réveiller, et adresser les factures de rénovations à ces associations fauteurs de troubles qui ont des discours de "pousse aux crimes", et qui dégradent et qui saccagent ?
Signaler Répondre"L'université est un lieu d'éducation et d'émancipation"
Signaler RépondreQue l'UNEF s'amuse à bloquer !
Le mieux serait de fermer les campus. Ca serait plus pratique.
Signaler RépondreTrès bonne présidente donc. Merci madame.
Signaler RépondreExactement, il faut taper la majorité.
Signaler RépondreBravo à notre police ! Les pouvoirs publics ont compris qui il y’a un manque de réaction, le problème vas s’intensifier
Signaler RépondrePrendre en otages les étudiants ça suffit !
Ils ont raison d ailleurs l UNEF a un titre de propriété sur Lyon 2 .
Signaler RépondreIl faut respecter cette propriété privée
pourquoi se contenter de les déloger ?
Signaler Répondreil fait exclurent les étudiants qui manifestent.
ces écoles sont la honte de l’éducation, tout ça payé par nos impôts.
comment supporter le l’idée que les impôts puissent servir financer ces gens.
comme toujours personne ne dit rien. il y a toujours une association encore financée par nos impôts pour les defendre.
a quand des associations de lobbying pour défendre notre société ?
ils ne sont pas tous inscrits.......
Signaler RépondreToutes les écoles, les facs, les universités, sciences po, ne doivent pas servir de lieu de rassemblement pour manifester. Les écoles servent à faire grandir chaque enfant, qui plus tard prennent les rênes du pays et l enrichissent...pour le moment c'est mal parti vu la manipulation de
Signaler Répondregroupes politiques qui ne voient pas plus loin que la Palestine, alors que d autres pays souffrent en silence radar , n oublions pas la France qui est dans un marasme economique pas possible et pas un mot de nos chers étudiants sur la géopolitique et l économie BRAVO
C'est totalement hors sujet, mais une réponse est néanmoins nécessaire. L'enseignement passe par une relation humaine délicate, et il est par ailleurs techniquement difficile d'appliquer une pédagogie de groupe en télé-enseignement. Excellent système pour des élèves dans l'incapacité d'aller en classe, solution commode en temps de pandémie, mais sans plus. A chacun son métier.
Signaler RépondreExactement, pour éviter les embouteillages devant Toutes les écoles des centres villes de France il faut effectivement Délocaliser les écoles ou faire l’école par vidéo conférence. Une économie de dixaines de milliards d’euros et des villes moins encombrées de mères qui se garent en triple files n’importe où pour décharger et embarquer leur progénitures.
Signaler RépondreIls ne sont pas en retard pour manifester, etre sur les reseaux sociaux, influenceurs ou influencés.
Signaler RépondrePauvre jeunesse. Comme le climat complètement déréglé.
l'université est-elle une zone de non-droit ??
Signaler Répondredans ce cas , il faut délocaliser...
vous voulez mon sentiment ? Les FDo devraient les secouer plus souvent ces,fainéant.
Signaler Répondre" L'UNEF affirme que : "L'université est un lieu d'éducation et d'émancipation, il est absolument inadmissible que les CRS ou la BAC soit autorisés et même invités à poser un pied dans l'enceinte de nos campus. "
Signaler RépondreL' Université est un lieu d' éducation et d' émancipation selon l' UNEF.
C' est exact. Il faut donc sélectionner lors des inscriptions les jeunes qui veulent s' éduquer et s' émanciper de toute idéologie.
Dit autrement : les c.... n' ont rien à faire dans les facs.
Donc si on les écoute, les universités (où les gens sont majeurs hein…) sont des zones de non-droit où les services de l’état ne doivent pas intervenir???
Signaler RépondreBen lâchez vos bourses en fait les gars…
Et “ juste parce qu’ils étaient sur la voie publique”… en fait quand tu bloques la circulation des autres sans autorisation, il ne faut pas non plus venir pleurer… surtout quand tu dis que tu étais dans la cour centrale…. Tu étais où en fait?
Réaction normale des forces de l'ordre lorsque qu'une minorité empêche la majorité d'accéder au bâtiment.
Signaler RépondreQuand on veut jouer à la révolution, il faut n accepter les risques
Signaler RépondreMais quand étudient ils ??????
Signaler Répondreles forces de l'ordre avaient raison d'intervenir ont est en France pas à babelouaide
Signaler RépondreDe l'autre côté on peut dénoncer une "radicalisation grandissante", action réaction what else ?
Signaler RépondreArretez de dire des bêtises, il y a des manifs pro palestine tout les we... et vos copains LFI sont en boucle sur le sujet!
Signaler RépondreMais si vous pensez que nous vivons en dictature, que penser alors d'une minorité d'étudiants (UNEf et consorts) qui bloquent une FAC et empêchent les autres d'étudier tranquilement. La vrai dictature, c'est le blocage par une minorité d'enmerdeur!
Fin de la récréation.
Signaler RépondreManifestez en dehors de vos facs
L'école est là pour apprendre pas pour manifester.
Signaler RépondreIls sont juges pour savoir qui doit aller en prison ou non
Alors qu'ils restent à leur place !
Faut il rappeler que les facs sont quasi gratuites. S'ils étaient aux states, les parents auraient mis des secoués à leurs gamins quand on connaît les prix des universités là bas !!!
Manifester en France contre la colonisation, le génocide et les copains israélien de macron/sarko/holland et j'en passe c'est assez drôle quand même!!
Signaler RépondreIls s'attendaient à quoi, s'ils sont étudiants, ils devraient avoir assez d'éducation pour savoir dans quel genre de pays ils sont non?