Pour cette étudiante de nationalité albanaise, ce fut la première option. Son petit ami lui avait parlé d'un plan à 10 000 euros : prendre des paquets contenant 44 kilos de résine de cannabis dans ses valises et réaliser un périple en Europe avant de s'envoler pour la Thaïlande.
La jeune femme de 21 ans s'était donc exécutée. Mais le 12 mai dernier, en atterrissant à l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry, elle a été cueillie par les douaniers qui avaient été informés de la présence massive de drogue dans ses affaires.
Incarcérée depuis, elle a été jugée il y a quelques jours à Lyon. Selon le Progrès, l'Albanaise a écopé d'une lourde peine. Outre l'amende douanière de 176 716 euros correspondant à la valeur des 44 kilos de résine de cannabis, la prévenue a été condamnée à 1 an de prison ferme et d'une interdiction du territoire français pendant les 10 prochaines années.
A l'issue de l'audience, elle est donc retournée dans sa cellule qu'elle ne quittera pas avant 2026.
lourdement condamnée?
Signaler Répondre1 an de prison ferme ?
Vous plaisantez!
Allez faire un tour en Indonésie 😉
Pour les consommateurs contravention de 500 € pour la consommation d'un joint
Signaler RépondreApplication lors de l'interpellation
Sì impossible sur l'interpellation 800 € par envoi
Non paiement: saisie avec procédure d'un huissier de justice
Obligation pour le forces de l'ordre d'appliquer cette contravention
Un intervenant dans un débat disait que ok on tape sur les trafiquants mais qu'ils faudraient réellement taper lourdement sur le consommateur et ne pas à chaque fois le considéré comme "malade".
Signaler RépondreLes petits bobo qui fume leur petit joint tranquillement le soir chez eux en sirotant un petit verre... petit joint livré souvent à domicile par sûrement un "mineur isolé" comme quoi l'esprit de gauche est très pratique.
Après cet intervenant notait un biais et comme j'adore les biais en effet il m'a passablement plut celui là ... d'un côté on lutte contre les narco et de l'autre dans plusieurs municipalités on impose l'ouverture des salles de shoot avec un périmètre "protégé" ou les dealers peuvent vendre leurs poisons. Biais très intéressant et comme toujours j'ai l'impression qu'on est dans une société schizophrénique.