L’enquête, signée par les journalistes Matthieu Slisse et Brianne Huguerre-Cousin, dénonce les dérives de certaines entreprises privées du secteur funéraire, pointant un manque d’éthique, des abus tarifaires et des pratiques commerciales agressives.
Face à ce constat alarmant, le SFVL rappelle dans un communiqué son engagement "à garantir un service funéraire digne, accessible et transparent pour toutes les familles endeuillées". Rattaché à la Ville de Lyon, il revendique une mission de service public, inscrite dans un cadre éthique strict, loin des logiques de rentabilité mises en lumière dans l’enquête.
L’établissement municipal, qui gère plusieurs agences et crématoriums dans la métropole, souligne que ses tarifs sont encadrés et contrôlés par la collectivité, et que "la transparence reste une priorité absolue". Son objectif : rassurer les usagers face à la défiance grandissante suscitée par certaines pratiques dénoncées dans l’ouvrage.
Les Charognards, salué pour la rigueur de son enquête, met en évidence la domination croissante de grands groupes privés sur un marché estimé à près de 3 milliards d’euros en France. Les auteurs y rapportent notamment des témoignages de familles confrontées à des devis opaques, à des erreurs de crémation ou à des traitements indignes des défunts.
⚫️Sortie du livre "Les #Charognards"
— Laurent BOSETTI (@BosettiLaurent) October 17, 2025
Cette enquête sur le #funéraire nous rappelle les risques de confier un #servicepublic, ici les #pompesfunèbres, à l'appétit des actionnaires.
Dans ces moments là, le service public oui, la recherche de profit non !#ServiceFunéraire #Lyon pic.twitter.com/KILtdZ4oMe
Dans ce contexte, le Service Funéraire de Lyon rappelle son rôle de garant d’un modèle non lucratif et humain, visant à préserver la confiance des citoyens. "Nous défendons l’idée que la mort ne doit pas devenir un marché comme un autre", précise la direction du SFVL, qui milite pour un meilleur encadrement national de la profession.
Le problème dont peu de gens parlent c'est surtout le vandalisme dans les cimetières
Signaler RépondreJ'avais lu une histoire. Des parents sur la tombe de leur petit avait placé une de ses figurine préférée. Quand ils sont venus fleurir la petite tombe bien sûr vandalisée et la figurine disparue.
Voilà donc si vous avez de la chance celle de vos parents (ou si malheur de vos enfants) ne sera pas vandalisée mais au fur et à mesure des ans vous risquez de connaitre cette épreuve.
Par contre, les tombes de nos aïeux font des podiums très pratiques pour leur garden parties.
Signaler RépondreDans le livre Les Charognards l'auteur parle t-il:
Signaler Répondre- des notaires ?
- sinon voir la sortie de Yael Braun Pivet sur les héritages. On devrait parler aussi des Charognards étatiques. Ne vous inquiétez pas pour les "classes sup" elles auront toujours les astuces fiscales pour échapper à l'impôt sur la mort, cela ne touchera que les classes moyennes qui n'ont pas le service d'expert fiscaux.
Un contrôle grandissant de ces mêmes pouvoirs publics, INCAPABLES de gérer quoi qu;e ce soit convenablement, qui plus est...
Signaler RépondreLa France sombre de plus ne plus dans le communisme. Quand tout sera géré par les pouvoirs publics, et que toutes les entreprises auront disparues, comment ça va fonctionner?
Signaler RépondreLa santé, la maladie,la souffrance, la vieillesse, la mort ...sont une source d'enrichissement pour les labos pharmaceutiques, les cliniques privées, les spécialistes ( certains pas tous c'est vrai ! ), les maisde retraites privées, les entreprises funéraires ....
Signaler RépondreMais non qu'elle idée ;-)
Signaler RépondreS'ils pouvaient vendre des kalashnikov ils le feraient pour avoir encore plus de clients...