Vers 9h30, un élève du lycée Albert-Camus a tenté de mettre fin à ses jours à l’intérieur de l’établissement. Selon les premiers éléments, l’adolescent se serait pendu dans des circonstances encore indéterminées.
Alerté à temps, un agent du lycée est immédiatement intervenu pour lui porter secours, évitant le pire. Le jeune a ensuite été pris en charge par les sapeurs-pompiers avant d’être transporté à l’hôpital. Ses jours ne seraient pas en danger.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce geste.
Je n'ai pas la TV.
Signaler RépondrePour info j'invite tout le monde à regarder le film belge intitulé tkt et qui remettra en cause certains commentaires. J'ai pu assister à un débat ensuite avec des responsables médecine- enseignement et des parents. Le plus difficile est de détecter les jeunes qui en sont victimes notamment par les parents. Les collégiens assistent aussi à des campagnes de sensibilisation.
Signaler RépondreSi la cause est le harcelement,durcir le ton et les sanctions s'imposent.
Signaler RépondreApparemment, vous voyez des Doucets partout. Ça se soigne bien, soyez confiant. Les six premières années ça peu gratter un peu, mais le six suivantes ça passe tout seul.
Signaler Répondreil y a un grand malaise dans notre jeunesse , désœuvré dans ce monde de fous
Signaler Répondreca se comprend avec gregory doucet et ses chantiers interminables, ca rend fou les plus fragiles
Signaler RépondreLe supplice de la pendaison c'est la pire façon de mourir.
Signaler RépondreMeme ici vs ramenez ça à l’immigration lool vs êtes vraiment ravagé. Changez un peu de chaîne Cnews tue les cerveaux ! Et vs le prouver !
Signaler Répondre👍👍👍
Signaler RépondreLa triste réalité d'une partie des élèves confrontés au fléau du harcèlement. Dès qu'il y a un mort, tout le monde se bouscule sur les plateaux télé pour faire le buzz, puis cela retombe dans l'oubli quelques jours plus tard... Et surtout, lorsqu'on s'aperçoit que les coupables sont issus de l'immigration ou de familles de notables, les deux intouchables de ce simulacre de république dans laquelle nous vivons, où la justice est rendue selon les coupables et non pour les victimes.
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