Mais Mongi Guibane, désormais à la retraite, vient de se rappeler au souvenir des admirateurs de son travail à travers une nouvelle dérangeante.
Jugé ce mardi par le tribunal correctionnel de Lyon, le septuagénaire était poursuivi pour des agressions sexuelles commises sur des enfants en 2017 et en 2024.
Les victimes les plus récentes, deux soeurs âgées de 7 ans et originaires de Tunisie, étaient ses voisines. Ne parlant pas français, elles échangeaient en arabe avec lui, et il les aidait à faire leurs devoirs.
Les deux victimes ont dénoncé des caresses, ce qu'a nié l'intéressé.
Lors de leur enquête, les policiers ont relancé une affaire classée en 2017, d'une enfant qui avait révélé des faits similaires concernant Mongi Guibane.
Face aux juges lyonnais cette semaine, le soyeux a nié les faits, pointant l'absence de preuves, notamment dans l'exploitation de son ordinateur et de son téléphone.
Le tribunal s'est rangé derrière la parole des petites victimes, prononçant une peine de 3 ans de prison, dont 1 an ferme. La partie ferme sera toutefois aménagée, à effectuer sous bracelet électronique. Mongi Guibane a aussi l'interdiction d'exercer une activité en lien avec des mineurs.
il faut vraiment être dérangé pour s'attaquer à des gamines.Il y en a un bon nombre de détraqués!Il ont un problème dans le cerveau.
Signaler RépondreIl est toujours en toute impunité devant son magasin aux Terreaux!
Signaler RépondreCouturier très connu ?
Signaler RépondreConnais pas
Laxisme de la société a facilité ces perversions. La démocratie est un vecteur de la mollesse et de la corruption. Vive l'état surveillance.
Signaler RépondrePas de soins ? Un an sous bracelet uniquement ? les pédérastes ont encore de beaux jours devant eux.
Signaler RépondreÇa me rappelle une expression " Se faire tailler un costard "
Signaler RépondreEncore un qui fait la 1 des médias en matière de faits divers récurrents
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