photo Lyonmag.com
Au même moment, se tenait à Paris une ultime séance de négociations sur l'assurance-chômage pour décider de l'avenir de leur régime.
Les manifestants se sont ensuite scindés en petits groupes. Certains se
sont dirigés vers la Rue de la république, tandis qu'un cortège a pris
la direction de la CGPME dans le 9e arrondissement. Une trentaine d'intermittents a investi les locaux. Une délégation a finalement été reçue par Franck Morize, le secrétaire général de la CGPME du Rhône.
exactement ! et personne de la presse n'en parle puisqu'ils sont aféodés aux élus qu'ils leur votent leur niche fiscale (pour mémoire : déduction forfaitaire de 7000 euros sur leur revenus quels qu'ils soient) et sans aucune justification de dépenses, alors que celles-ci sont déjà remboursées par leur société ou direction
Signaler RépondreEn France, les intermittents du spectacle n'exercent pas en libéral, contrairement à ce qui se pratique de plus en plus en Allemagne, Italie ou au Royaume-Uni. Il y avait 9 060 allocataires en 1984, 41 038 en 19911, et 106 000 en 20132.
Signaler RépondreCe régime est encouragé par les producteurs de cinéma et de télévision qui reçoivent déjà une aide substantielle du gouvernement pour produire beaucoup de navets.
Cela signifie que les revenus sont "juteux" pour les deux parties.
N'oublions pas que le plafond d'indemnité a été ramené à
5 475,75 euros brut mensuels. A ce tarif là, j'oublie ma retraite miteuse, et je vais m'inscrire tout de suite en tant qu'intermittent du spectacle !!!
Avec la gauche, les travailleurs paient pour les fainéants, et ça va empirer après les élections!!!!!
Signaler Répondrece sont des subventions déguisées
Signaler Répondreon sait qu'un salarié de ce secteur est finalement subvention à 40 %, les 60% restant étant réellement travaillés et cotisés faiblement ...
c'est ce qui fout en l'air le principe de solidarité
au fond, que la culture soit agricole, ou intermitttente, elle est toujours subventionnée ....
ces trois cents pinocchio comptent le temps de grève dans leurs jours de chomage ? c'est certtain ! à force d'être en dérive, les cultureux de la mairie ne voient pas plus les limites
Signaler Répondreconfirmation ILS NE SERVENT A RIEN sauf à alimenter la "culture" dont se gavent les bobos - vous voulez des noms ?
Signaler Répondrefacile pour les élus socialistes lyonnais, qui sont tous des planqués dans l'administration, d'exiger la solidarité envers les intermittents en matière de chomage, alors qu'eux-mêmes, bien en sécurité, ne veulent pas cotiser pour un risque auquel ils ne sont pas exposés ....
Signaler RépondrePourquoi les salariés du privé et eux seuls doivent soutenir la "Culture" et l'exception Française?
Signaler RépondreJe suis pour que le ministère de tutelle utilise son budget pour cela: que celui qui décide paye.
Ah, vous pourriez argumenter s'il vous plaît?
Signaler RépondreIl serait temps que le Gouvernement mette fin au statut privilégié des intermittents du spectacle dont 90% d'entre eux ne servent à rien!
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