Au total, le plan prévoit de supprimer 1300 emplois en France, dont la plupart se trouvent dans la région Rhône-Alpes. Ainsi les sites du Rhône et de l'Ain seraient amputés de 319 et 61 postes. "Ce qui coûte cher à l'entreprise, ce n'est pas le travail, ce sont les actionnaires qui en réclament toujours plus", a dénoncé Grégory Khiati, délégué syndical central à la CGT.
vive les syndicats...........
Signaler RépondreSelon votre commentaire très éclairé, les syndicats auraient donc plus de pouvoir que les gouvernements.
Signaler RépondreC'est donc pour cela que tout va encore plus mal.
Je ne vois pas la rapport.... Vous ne devez pas être très impliqué dans une entreprise internationale pour sortir ce genre de connerie. Le gouvernement a peu d'emprise et Si il n'y avait plus de syndicat particulierement dans les grandes entreprise à capitaux internationaux, ce serait le retour du moyen age. D'ailleurs les syndicats co-gestionnaires Suedois sont bien moins revendicatifs qu'en France: Volvo a fait un massacre dans son pays d'origine, suppression de 2 sites de productions etc... Heureusement qu'il reste des salariés qui croient à la defense de l'emploi avec une autre vision que la bourse, les dividendes etc....
Signaler RépondreL'intersyndicale CFE-CGC, CGT, CFDT, Sud et FO, que des cadors qui ont appelé à voter socialiste, souvenez-vous.
Signaler RépondreLes licenciés, c'est contre leurs syndicats qu'ils devraient manifester qui leur a demandé de voter pour un incompétent notoire et son équipe de bras cassés dont ils sont le résultat de cette politique.