Le village mobile avait fermé ses portes le 31 mars dernier. Quelques sans-abris avaient alors refusé de quitter les lieux, forçant le Grand Lyon à les attaquer en retour pour occupation illégale. Dans ce dossier, la justice donne un délai de deux mois aux sans-abri pour quitter les lieux sous peine d'expulsion par la force publique.