Ces derniers, après avoir refusé un contrôle alors qu'ils étaient à bord de leur voiture dans le dépose-minutes souterrain, avaient tenté de fuir et avaient percuté une fonctionnaire. Cette dernière avait ensuite dégainé pour tirer à plusieurs reprises sur le véhicule. Son collègue avait également tenté de couper le contact avant de tirer une fois dans l'habitacle. Une tentative d'interpellation spectaculaire qui n'avait pas empêché les fuyards de disparaître.
Près d'un mois plus tard, les deux hommes ont été retrouvés. Selon le Progrès, la brigade de sûreté départementale a réussi à identifier l'un des deux fuyards grâce à la vidéoprotection de la SNCF. Ce Villeurbannais de 30 ans a été interpellé mercredi et affirmerait lors de sa garde à vue qu'il ne savait pas qu'il avait eu affaire à des policiers, qu'il avait agi par peur.
L'autre passager de la voiture a également été identifié, il s'agit de son frère jumeau. Mais ce dernier n'a pas tardé à se créer de nouveaux problèmes. Depuis le 1er juin, il est incarcéré en Espagne, à Murcie, pour avoir été arrêté sur un hors-bord contenant près de 3 tonnes de cannabis. Les deux frères étaient déjà bien connus des services de police, notamment celui qui est incarcéré en Espagne. Il était recherché en France depuis deux ans pour des faits d'escroqueries.
L'enquête se poursuit. Egalement du côté des services internes de la police. L'IGPN va analyser la voiture des fuyards pour retrouver les impacts de balle et déterminer si les tirs des fonctionnaires étaient légitimes.
Vendredi 12 Juin 2015 à 07h18
Tirs à la Part-Dieu : les deux fuyards enfin retrouvés
Le parking souterrain de la Part-Dieu, quelques minutes après les faits - LyonMag
Le 15 mai dernier, la gare de la Part-Dieu avait été le théâtre d'une
violente altercation entre des policiers de la Police aux Frontières et
deux individus au comportement louche.
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"affirmerait lors de sa garde à vue qu'il ne savait pas qu'il avait eu affaire à des policiers, qu'il avait agi par peur".... oui, peur d'être arrêté
Signaler Répondredepenaliser ok, mais pas de prise en charge pour les soins liés à la came ,tu échange un plaisir contre un risque à toi de payer
Signaler RépondreEt qui paie les dégâts sur la santé publique?
Signaler RépondreVous?
Déjà le tabac, on voit les conséquences! Alors les drogues!
Dépénaliser le canabis ok admettons...mais ils vont bien se rabattre sur autres choses, le trafic de drogue est bien trop lucratif ou l'interdit sur une autre drogue. Donc dans 10 ans, dépénalisons la cokaine ou les extasy, bon nombre de cons en moins! Oui qui aura le courage d'assumer cette connerie.
Signaler RépondreUne précision le cannabis une drogue douce? Douce ne veut pas dire ravage ça reste une drogue dangereuse, regardez l'effet de celle ci quelques années après de forte consommation...
Peur de rien et surtout pas des flics
Signaler RépondreImpressionnant !
bah en même temps sils pouvaient éviter de tirer n'importe comment !
Signaler RépondreDES CENTAINES DE KG DE DROGUE Et c'est aux collègues que l'on cherche des noises. !!!!!!! JE ME MARRE. .......!
Signaler RépondrePAUVRE FRANCE. !!!!!!!
Signaler Répondre"loubards" : ça fait années 70...ça rappelle toute une époque....
Signaler Répondrela société a bien changé, tu sais ?
"Il avait agi par peur....." Rigolo,en fait ils ne voulaient pas avoir à faire à la police... Bon,avec un bon avocat .....
Signaler Répondre"L'IGPN va analyser la voiture des fuyards pour retrouver les impacts de balle et déterminer si les tirs des fonctionnaires étaient légitimes.."
Signaler RépondreAlors qu'il leur aurait tout simplement suffit de demander: "bonjour messieur, auriez vous s'il vous plait l'amabilité de stopper votre véhicule et de nous présenter votre carte grise?"
Drogues douces en vente libre = consommation stable (voire en régression car l'aspect "interdit" ne joue plus) et bon nombre de loubards en moins.
Signaler RépondreQui aura le courage ?