En relaxant Thibault Liger-Belair, le vigneron qui avait refusé de traiter ses vignes rhodaniennes contre la flavescence dorée malgré un arrêté préfectoral, la justice a souligné une aberration administrative.
Il faut dire que l'arrêté avait été émis en Saône-et-Loire mais que l'infraction avait été constatée dans le Rhône ; les vignes de Thibault Liger-Belair s'étendant sur les deux départements.
Le parquet a désormais 10 jours pour faire appel.