Le dicton s'appliquait ce dimanche matin à l'hôpital Desgenettes dans le 3e arrondissement de Lyon. Un homme âgé de 29 ans s'était présenté avec une blessure par balle au bras. Immédiatement pris en charge, il a été opéré dans la foulée.
Mais en se réveillant, l'individu rentrait dans une rage folle, reprochant au personnel médical de l'avoir anesthésié. Après avoir détruit du matériel informatique et évoqué les récents attentats, il a frappé un policier. Aidé dans sa rébellion par son frère, il a finalement été maîtrisé par cinq fonctionnaires.
Les deux frères ont été interpellés et seront présentés au parquet ce mardi. Ils devraient être jugés en comparution immédiate.
reste à savoir si le patient a bien signé l'autorisation d'intervention chirurgicale
Signaler Répondreet l'autorisation d'anesthésie générale (il aurait pû être anesthésié localement peut-être)
Ses violences sont inexcusables
mais ses droits ont pu être bafoués, ce qui est aussi inexcusable.
Blessure par balles
Signaler RépondreDestruction
Violence
J'ai comme une petite idées sur le profil de la fratrie mon Cher Watson.
Et qu'est-ce qu'il aurait dit si on l'avait opéré sans anesthésie, juste avec un bâton pour serrer les dents comme les cow boys ! Pauvres types...
Signaler Répondreau delà des prétendues sympathies fascistes que vous évoquez (à quel titre ?) on peut tout de même noter que le climat actuel lié aux attentats perturbe manifestement nombre de personnes qui utilisent ce prétexte pour exprimer leur révolte contre l'état, d'autant plus dans un contexte sécuritaire marqué par des mesures d'urgence..
Signaler Répondre"Après avoir détruit du matériel informatique et évoqué les récents attentats, il a frappé un policier. Aidé dans sa rébellion par son frère, il a finalement été maîtrisé par cinq fonctionnaires."
Signaler RépondreDeux frères militants fascistes !
Nouveau complot démasqué !
No Pasaran !
ANCIEN MEMBRE DE LA FONCTION PUBLIC HOSPITALIÈRE JE PEUT DIRE QUE LA RÉALITÉ DÉPASSE LA FICTION LES HP SONT DEVENU UN DÉFOULOIR POUR TOUS COURAGE AU PERSONNEL HOSPITALIER
Signaler RépondreTu m'a bien eu, je suis un peu bisounours je l'avoue et très bobos c'est tendance, je ne voit la réalité que derrière ma lorgnette sous les tentures en velours poussiéreuse de mon vielle appartement sombre et anciennement bourgeois , préservé du monde rude par une lourde porte en bois.
Signaler RépondreVoilà c'est ça !
Signaler RépondrePris face à la réalité du quotidien rien de tel qu'une bonne petite leçon de morale condescendante pour esquiver et continuer à croire aux chimères...
rajoutez y même des relents de fascisme ça marche a tous les coups, n'est-ce pas ?
En tous cas vous êtes effectivement la parfaite illustration de mon 1er commentaire...
P.S. : je vous laisse avoir le dernier mot et me récitant sur le même ton
que mon commentaire sent le renfermé
Le déni désigne la non considération de la réalité. Mais désormais cette réalité devient quotidienne et s'invite dans toutes les sphères de la société Française.Il devient impossible aux journalistes, politiques, philosophe de cacher cette réalité qu'est la violence et qui vise a tort ou a raison une certaine catégorie de la population.
Signaler RépondreEt le bien vivre ensemble semble s’éloigner de jour en jour.
ne prenez pas cette posture outrée alors que votre précédent commentaire sentait le renfermé
Signaler RépondreApparemment c'est ce "patient" et son frère qui ne "souhaitent pas vivre avec d'autres humains...."
Signaler RépondreMais, bon vous pouvez toujours demander au personnel hospitalier qui ne souhaite pas vivre avec d'autres humains.
Soins gratuits et prise en charge médicale immédiate et monsieur n'est pas content ? On marche sur la tête ......
Signaler Répondreconstruisez 4 murs autour de vous et foutez nous la paix si vous ne souhaitez pas vivre avec d'autres humain(e)s
Signaler RépondreEh oui, et cette situation ne peut qu'empirer !!!
Signaler RépondreAcceptons massivement les migrants et autres illégaux.
Hôpital de la croix rousse ce week end, aujourd'hui Desgenette : bienvenu dans la réalité quotidienne du "vivre ensemble" tellement belle lorsque est érigée comme concept et qu'on y est pas confronté...
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