Le Progrès revient sur ses informations dévoilées concernant le profil de la femme arrêtée dans la nuit de lundi à mardi sur le site militaire du 7e arrondissement.
Cette dernière n’était pas une prostituée, et l’homme avec lequel elle comptait conclure dans une chambre du Cercle Bellecour n’était pas un client, mais son amant.
D’ailleurs, ce Cercle Bellecour n’est pas non plus situé en zone militaire.
La quadragénaire disposait des clés du bâtiment grâce à son mari, militaire, avec lequel elle est en train de divorcer.
Le couple a été laissé libre mais une enquête interne a également été ouverte par les services du gouverneur militaire de Lyon.
Les prestations dont vous parlez, sont gérés par des prestataire privés et à la police, car l'armée n'a pas le droit de procéder à une arrestation de nos jours, d'ailleurs les documents de gestion qui en parlent, figure dans les rapports parlementaire, quelque part dans les archives internet.
Signaler RépondrePar contre je ne crois pas qu'à votre époque on ne pouvait pas y entré comme on voulait, bien avant la votre, à l'époque de mon père et de mon grand père, n'importe qui pouvait y entré, même jusqu'au bâtiment de la chancellerie. Ce n'est pas quelque chose de nouveau, d'ailleurs s'y vous aviez suivi les faits divers ces 30 dernières années sur l'armée, vous auriez constaté quelque chose d'inquiétant. Peut être qu'à votre époque le gouverneur était un peu plus zélé, mais ça n'a pas été une chose constante dans l'histoire de la base.
Etrange...
Signaler RépondreJe suis né en 1978 à chalon sur saone et j'ai donc fait mon service miltaire. J'ai fait mes 10 mois au quartier général frère.
Le 15 décembre dernier je suis revenu à lyon en train.
J'ai fait comme un voyage dans le temps. 17 ans après.
Plusieurs choses m'ont frappé. .. je suis revenu me balader devant ma caserne et j'ai été choqué par la saleté. ..
Étant paysagiste ma mission était avec d'autres camarades l'entretien de la caserne.
L'autre mission était de s'occuper des gardes autour des bâtiments.
Nous les appelés assurions la propreté et la sécurité du quartier général frere. Aujourd'hui les appelés ont disparu...
De mon temps une affaire comme celle là n'aurait pas eu lieu!
Une deuxième chose m'a interpellé lors de mon passage à la gare de Lyon part dieu une semaine pile avant le passage du terroriste: les militaires dans la gare.
Contrairement à ce qu'on pourrait penser ce n'est pas leur présence qui m'a choqué, mais leur nombre...
J'en ai compté trois...
En 1999 la france était deja en vigipirate car la France était en guerre. A cette époque c'était le kosovo...
Les risques d'attentats étaient élevés. Les militaires étaient en patrouille dans tous les lieux publics.
A la part dieu il y en avait au minimum une vingtaine ! Beaucoup plus qu'aujourd'hui !
A l'époque ces missions étaient confiées en majorité à des appelés. C'était des "agents de sécurité " en treillis militaire, armés de fusils de guerre et payés 600 francs par mois!
Faut dire que l'armée ayant toujours eu ses bordels...cette caserne est un lieu tentant pour le sexe!
Signaler RépondreC'est sûr qu'une intrusion comme ça dans un QG militaire en plein plan vigipirate ça fait très mauvais effet. Ça sent le plan de com de l'Armée qui essaye de dédramatiser et relativiser à fond.
Signaler RépondreEt le préservatif n'en n'était pas un , mais un ballon de foire!!
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