Les forces de l'ordre lyonnaises étaient pourtant sur le qui-vive, redoutant des affrontements entre militants d'extrême-gauche et d'extrême-droite alors que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon étaient en meeting à la Salle 3000 et à Eurexpo.
Finalement, il n'y a eu que 13 interpellation, toutes effectuées aux abords de la Cité Internationale. Seulement deux ont conduit à des gardes à vue. Le reste de ces anarchistes ont été contrôlés, voire rappelés à la loi pour ceux qui étaient en possession de stupéfiants.
De quoi rassurer le préfet qui avait déployé un dispositif de 550 policiers et gendarmes dans l'agglomération en cas d'affrontements, mais aussi d'attentat.
L'oligarchie gauchistes du totalitarisme,pour l'instant les sont partout .
Signaler RépondreOn a eu droit à un article vendredi pour la manif devant l'opéra d'un quarantaine de jeunes... mais rien sur les exactions des antifas! Pourquoi?
Signaler Répondrehttp://lahorde.samizdat.net/event/lyon-4-fevrier-2017-la-lutte-commence-a-lyon-2/
Pourtant l'objectif de ces groupuscules était affiché : "Sabotage"!
Sauf que l'arme de la critique n'est rien sans la critique par les armes
Signaler RépondreAssez de l'impunité pour les "antifas" violents!
Signaler Répondresophiste, ton comportement est indigne
Signaler RépondreTiens, même si l'article ne le dit qu'à mi-voix, on constate que 100% des interpellés sont des extrémistes de gauche (pléonasme).
Signaler RépondreConsommateurs de drogue.
Voilà les gens qui voudraient nous expliquer qu'il ne faut pas voter FN...
ne confondez pas ce sont bien les gudards qui ont affaire à la justice
Signaler Répondrehttp://www.rue89lyon.fr/2015/07/17/des-membres-du-gud-se-vantent-de-leur-attaque-raciste-sur-facebook-ils-finissent-en-prison/
Tiens comme quoi c'est pas ceux qu'on crois qui cherchent les embrouilles, les anti-fa, communistes, extrémistes de gauches sont tout autant inquiétant que ceux de droite voire bien pires
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