Selon le Progrès, ce sont les héritiers du disparu qui ont prévenu les gendarmes de cette trouvaille inattendue. 4 500 détonateurs de chantiers se trouvaient dans le garage.
Selon les premiers éléments de l’enquête, les engins se trouvaient sur place depuis une trentaine d’années puisque l’homme détenait un dépôt de mines légal et déclaré ayant travaillé auparavant dans une société de travaux publics.
Une intervention des démineurs est prévue ce jeudi ; les gendarmes n’ayant aucune information sur la dangerosité des détonateurs. Les engins seront probablement détruits dans une carrière. En attendant, les militaires surveillent activement le site pour éviter toute intrusion, vol ou accident.