L'ancienne directrice de l'école privée Notre-Dame-de-la-Sainte-Espérance à Brindas était soupçonnée de traitements bien trop durs infligés aux élèves. A l'été 2013, les langues s'étaient déliées et l'établissement a depuis fermé ses portes sur décision préfectorale.
Tenant l'école et le pensionnait d'une main de fer, la septuagénaire a reconnu avoir distribué à plusieurs reprises des coups aux enfants. Qualifiés de "taloches" par l'intéressée lors de ses auditions avec les enquêteurs, ils ont été désignés comme des "tapotes" par son avocat devant les juges.
Insultés et sanctionnés, les élèves qui ne respectaient pas l'autorité de la directrice devaient régulièrement déboucher les toilettes de l'établissement ou passer la serpillière. Sans oublier les conditions d'hygiène déplorables avec des aliments périmés et des chiens qui urinaient dans les dortoirs.
L'avocat de l'ancienne mère tape-dur a réclamé la relaxe. Le jugement sera rendu le 3 juillet.
Vous ne savez pas de quoi vous parlez....
Signaler RépondreJi était c'était des ouff la ba dedans ma parole jinsuis rester même pas un ans droit a une douche par semaine la bouffe laisse tomber
Signaler RépondreL'enfer est pavé de bonnes intentions...
Signaler RépondreRegardez autour de vous, en bas de chez vous: combien de parents sont incapables de s'occuper correctement de leurs enfants ?
Pire: l'Education Nationale est incapable de rattraper ces enfants... parce qu'elle ne le veut pas.
Quelles solutions ? Des institutions comme celle dont il est question ici, à qui on confie le soin de faire le sale boulot. Si ça marche sans heurts, tant mieux. Si ça bloque... on lui met tout sur le dos.
Facile. Sans risque...
Les arriérés ne seraient pas plutôt ceux qui au lieu de s'occuper correctement de leur progéniture préfèrent les abandonner aux "soins" d'institutions privés?
Signaler RépondreAllez, du balai...
Signaler RépondreLes arriérés qui préfèrent une éducation laxiste, quitte à former une génération de délinquants incapables de respecter quoi que ce soit, n'ont plus leur place.
Nulle part.
Tu devrais y retourner alors pour apprendre que la politesse n'est que le fard de l'hypocrite
Signaler RépondreApprenez à respecter vos interlocuteurs en les vouvoyant.
Signaler RépondreUn petit séjour dans cette école ne vous aurait pas fait de mal...
Bonjour,
Signaler RépondreJ'étais dans cette école durant 3 ans, CP, CE1, CE2, certes c'était une école à l'ancienne voir "militaire" (blouse, prières, respect de la hiérarchie, sanctions, faire à manger...) mais il faut savoir que beaucoup d'élèves qui y séjournaient étaient des enfants turbulents qui avaient, pour la plupart, été renvoyés de tous les établissements publiques de leur région.
C'était pour la plupart le dernier recours pour suivre une scolarité normale. Le manque de respect y était fortement réprimandé mais le personnel n'avait pas a faire à des "enfants de coeur" non plus ...
J'en garde un bon souvenir pour ma part, si on se comportait normalement, tout se passait bien.
Aujourd'hui, les gens attaquent en justice, tout le monde pour n'importe quoi...
et toujours , tant que des avocats , font des auteurs de ces actes, de simples coupables , les crimes seront bénins ? voir même que les criminels, etc... deviennent même des victimes ?
Signaler Répondreor, je dirais même , que les juges sont de simples pions, face à des avocats, qui ,de se faire une plaidoirie entre eux, selon, la notoriété , et le prix de ces derniers ,
la justice , est une façon d'envoyer , ou de condamner , selon une plaidoirie de faveur ?
Viens je vais te montrer la différence, tu sauras après si c'est acceptable.
Signaler RépondreJusqu'au les catholibans peuvent défendre l'indéfendable, après la complaisance envers la hiérarchie complice des prêtres pédophiles, il faut faire la distinction entre "coups et claques"
Signaler RépondreConcernant les "conditions d'hygiène déplorables avec des aliments périmés et des chiens qui urinaient dans les dortoirs." c'est quoi l'excuse?
Personne ne défend les coups.
Signaler RépondreMais parle-t-on de coups ou de claques ?
Certains de nos "jeunes" auraient dû en recevoir pendant leur éducation...
On doit punir sans pour autant donner des coups à des enfants.
Signaler RépondreMais c'est vrai aussi que les nuances ne sont pas votre fort.
Ciel, les élèves ne respectant pas le règlement étaient punis...
Signaler RépondreQuelle honte ! La Justice française devrait laisser les gens qui enfreignent la loi tranquilles, la punition et les sanctions datent d'un autre âge !!!
"Pensionnant de l'horreur". LyonMag nous fait du nouveau détective. Le procès fait état de brimades et de nourriture pas toujours fraîche, pas d'une bande de tortionnaires sanguinolents.
Signaler RépondreCe que je souhaiterais savoir, c'est ce que sont devenus ces jeunes pensionnaires : où ont-ils été réinsérés ? Quels établissements les ont recueillis ? Comment leurs familles s'occupent d'eux après cette épreuve ?
Et si on laissait le soin aux anciens élèves de lui exprimer physiquement ce qu'ils pensent d'elle.
Signaler RépondreOui mais vous avez vu le niveau de vos réflexions ?
Signaler RépondreAu moins ça en fera pas des enfants rois J’en ai reçu des coups par les profs et j’en suis pas mort
Signaler Répondredu sursis???
Signaler Répondrevous êtes sérieux?
La bonne espérance ?
Signaler RépondreQu'espéraient les parents pour laisser leurs enfants dans une école non conventionnée qui n'était pas en odeur de sainteté dans l'enseignement catholique...?
les parents sont également responsables