Le principe est simple si une personne ayant un sexe masculin, se prénommant avec un prénom de genre masculin, mais se considère femme veut que changer de prénom à la faculté, désormais c’est possible. C’est l’UNEF le syndicat étudiant qui avait porté le projet au responsable chargé de l’égalité de la fac il y a déjà deux ans.
Le formulaire est sur le site de la faculté, la demande de changement de prénom d’usage validé, tous les documents officiels de la fac (relevé de notes, certificat de scolarité…) seront nommés avec le prénom d’usage. Selon l’université, "cette reconnaissance du prénom d’usage est une manière d’agir contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre".
Les profs sont déjà bizarres avec leurs vieux cours pleins de sciure !!
Signaler RépondreExcusez moi ,d’en rire ,mais à force de donner trop d’importance à Toutes les minorités, on est rentré dans le ridicule. Je ne condamne personne,mais en étant réaliste,je peux vous affirmer que Tout cela finira très mal .
Signaler RépondreFrance Transgenre? Quoi que ,après le selfie du président entre deux antillais torse nus ,on peut avoir des doutes sur la pensée unique qui nous oblige à valider l’inacceptable.
Signaler RépondreEt mon commentaire, alors??? je disais que d'après le titre je m'attendais à une avancée médicale majeure pour leur cause, là on apprend qu'on peut juste utiliser un prénom de l'autre genre... quelle avancée les bras m'en tombent.
Signaler Répondre15% qui font plus parler que les 85 ...
Signaler RépondreAlors prenons en compte les 15% de la population musulmane de ce pays.. .
Signaler RépondreHonneur à Lyon 2 pour cette belle inititive. Honte à Lyon 3 qui l'a refusée et continue ainsi de perpétuer les discriminations.
Signaler RépondreÊtre capable de prendre en compte même les 0,01% d'une population est une grande preuve de dignité.
Signaler RépondreEst-ce qu'on pourra se présenter aux examens sous un autre prénom, et ainsi faire participer des membres de notre famille ?
Signaler RépondreLes 99.99% d'étudiants non concernés par cette fantastique avancée seront certainement ravis d'avoir pu étudier dans des conditions non-discriminatoires avant d'aller toucher leur RSA dès l'obtention du diplôme.
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