Les forces de l’ordre s’attendaient donc à un acte XXVI musclé, avec le renfort de nombreux black blocs entre Rhône et Saône.
Ce fut le cas, avec 200 casseurs qui se sont opposés aux fonctionnaires sur la rive gauche du Rhône, et notamment au niveau de l’hôpital Saint-Joseph Saint-Luc. La préfecture avait, à 16h30, recensé 10 policiers et gendarmes blessés. Un bilan qui grimpera à 22 en début de soirée. Avant même le début de la manifestation, plusieurs individus avaient été interpellés et des cocktails Molotov saisis.
Dans le cortège des gilets jaunes, le leader Jérôme Rodrigues avait fait le déplacement et a nié l’essouflement du mouvement. A Lyon pourtant, les derniers actes rassemblaient avec peine les 500 participants.
Ce samedi, la police avait compté plus de 2500 personnes obligées de déambuler entre les quatre périmètres commerçants interdits par la préfecture.
JR ou le collabo bobo anarcho gaucho ....fout le camp noeil noeil, va fumer ton petard dans le nord
Signaler Répondreça commence à faire long les Gi Joe
Signaler RépondreRodrigues garde un oeil sur ce qui se passe à Lyon !!!! Lyon où le ration boulets jaunes/population est un des + faibles de France, même en comptant la racaille qui se joint aux gauchos et anars...
Signaler RépondreLyon ne se relèvera jamais de ces samedis d'anarchie à répétition. Qui bénéficiera vraiment de la destruction PROGRAMMEE de la ville?
Signaler RépondreQu est ce qui vient foutre ici aussi ! Faut assumer de se fondre dans ces manifs qui servent a rien a part faire ch***
Signaler RépondreOu l'art de manipuler des esprits fragiles. GJ vous êtes ridicules et risibles.
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