Depuis plusieurs mois, la situation sociale et sanitaire se dégrade en centre-ville de Lyon. Des campements de SDF ont émergé rue et place de la République, avec son lot de nuisances et d’incivilités. La Ville de Lyon n’a pour le moment pas trouvé d’issue favorable à tout le monde. "Je suis régulièrement auprès d’eux sur le terrain et avec les riverains et les commerçants, à la fois pour leur proposer des solutions mais aussi expliquer quelles sont les difficultés à pouvoir trouver une solution adéquate et qui leur convient", indique Sandrine Runel.
L’élue socialiste promet que "d’ici la fin du mois, nous aurons des solutions à proposer à l’ensemble de ces personnes. Elles auront pu être relogées ailleurs que dans la Presqu’île".
"Je pense aux riverains, je comprends les nuisances. Mais je pense aussi aux personnes qui sont à la rue, sans abri, avec les températures que l’on a aujourd’hui. Mon souci premier, c’est de pouvoir les reloger", conclut Sandrine Runel.
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La solution c est que doucet et sa bande les invites chez eux
Signaler RépondreSi l'on a un minimum d'empathie pour nos semblables qui peuplent ce monde , on ne peut qu'être contents d'une élu qui ne pense pas qu'à brosser la population dans le sens du poil ,mais cherche de vraies solutions.
Signaler RépondrePrendre le temps de faire des propositions respectueuses des personnes est une excellente démarche, la seule dont on peut être fiers" .
Il restera toujours d'un coté des personnes completement désocialisées qui refuseront les propositions , de l'autre quelques typiques boutiquiers de la PresQu'ile nostalgiques du poujadisme , et, sur ce forum les bons gros lourdauds habituels .
Courage, Madame RUNEL, et merci d'une citoyenne pour ce que vous faites.
Tant mieux pour eux s'ils seront relogés.
Signaler RépondreEn tous cas une chose se confirme et le mouvement ne va faire que s'amplifier :
Ne peuvent habiter au sein des grandes métropoles que les aisés ou les aidés... Pour les autres c'est l'exil social...
Pour résumer cette itw, la tranquillité des riverains n’est vraiment pas la priorité de la municipalité. Seul le bien être de ces sans abris préoccupe la mairie. Autant dire que ces nuisances vont perdurer longtemps !
Signaler RépondreZadistes ?....
Signaler Répondre"Zone A Défendre".
La rue de la Ré' est en danger ?....
Alors d'une part cette dame ne sait pas différencier des SDF qui subissent une vie compliquée de jeunes anarchistes zadistes, et d'autre part elle fait clairement passer les intérêts de ces personnes avant ceux des riverains.
Signaler RépondreClairement elle s'en contrefout de savoir que sur la presqu'île cela devient insupportable parce qu'on est des "petits bourgeois". Cela lui fait même limite plaisir.
Quand on voit son niveau de réponse on comprend le niveau d'amateurisme.
Par contre chapeau au journaliste qui l'a bien poussé; cela change des journalistes de BFMLYON
on rase gratis..et l'on propose des solutions..ils sont incapables ces verts, aussi stupides que ceux qui les élirent..à part emm..la circulation!!
Signaler RépondreElle va reloger les zadistes... Qu'elle est amusante... Enfin, peut être qu'elle comprendra qd elle les verra revenir, quelques jours.
Signaler RépondrePour pallier à l incapacité de faire partir les sdf, la tentation de faire appel à une société privée ou de créer une milice est grande
Signaler RépondreEn laissant des situations inadmissibles s installer et perdurer, on renforce le sentiment d abandon des citoyens... si ils s organisent de leur côté, cela risque d être violent... mais surtout indigne
Alors que font nos élus, commissaires et autres pimpins ???
Qui va payer pour ces crasseux ?
Signaler Répondre« Aucun blessé » blague de l’année ça Une policier rouée de coup en pleine journée par 4 personnes dans le passage de largue, qui se fait voler son arme de service. Sans parler des nombreux conflits entre riverains (commerçant) et SDF. Il est grand tant que ces squatteurs (zadistes) dégagent afin que les lyonnais n’aient plus peur d’aller faire leurs courses Rue de la République le week-end, ou encore pour que des jeunes filles puisse sortir le soir sans craindre de se faire agresser. Il me semble que ce sujet est plus urgent que vos pistes cyclables monsieur Doucet
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