"C’est un moment historique", déclare Fabrice Pannekoucke. L’annonce a été faite ce lundi 16 juin, au lendemain de l’arrivée de l’édition 2025, lors d’une conférence de presse organisée par la région en présence de Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, et Bernard Thévenet, ancien coureur et actuel directeur de la course.
Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes voit dans cette évolution de "naming" un symbole fort : "Notre territoire est une terre de cyclisme. Cette course en est un vecteur populaire, patrimonial et touristique."
Le nouveau nom vise aussi à donner une portée plus large à une course longtemps associée au journal Le Dauphiné Libéré. "Ce n’est plus un territoire restreint, mais une épreuve qui reflète toute notre région", a souligné Bernard Thévenet, sans cacher son attachement à l’histoire de l’épreuve.
Avec près de 10 millions de téléspectateurs dans 190 pays et 26 diffuseurs, l’événement gagne en visibilité. Christian Prudhomme le résume ainsi : "Le Tour Auvergne-Rhône-Alpes, c’est déjà une réalité. Il reste plus que jamais une étape essentielle avant le Tour de France."
Le soutien financier de la région sera renforcé avec un budget total de 600 000 euros par an sur quatre ans, avec notamment un nouveau logo pour la course intégrant celui de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Quant à une présence future de Lyon ou du Rhône dans le parcours ? Si les tensions passées entre la Région et la municipalité écologiste de Lyon peuvent nourrir quelques doutes au vu de l'importance qu'a pris la collectivité dans cette épreuve, Christian Prudhomme affirme que "Grégory Doucet s’intéresse à certaines de nos épreuves". De son côté, Fabrice Pannekoucke assure qu’il n’y aura "pas d’exclusion".
Normal c'est un sport de macho, dixit le maire de Lyon
Signaler Répondre... qu'on verrait un jour des droitardés défendre le vélo sur LM, je l’aurais jamais cru.
Signaler RépondreA mon avis, vous être un troll du RN.
Signaler RépondreAvec le foot, le sport cyclisme est l'un des sports préférés des fachos.
Signaler RépondreLa remise des prix par des jeunes femmes, la caravane et la pollution qu'elle inflige, le dopage pour améliorer son classement, la publicité pour les voitures, ... Tout pour plaire aux fachos.
Ils feraient mieux de faire du vélo eux même au lieu de prendre leur voiture.
Comme cette année où une étape est partie de Saint-Priest alors 🤡
Signaler RépondreOn frise l'overdose ?
Signaler Répondrevive le sport. Cette course attire les sponsors et n’a pas besoin d’argent public. Ce sont des pro. Les amateurs et jeunes prometteurs ont besoin de financer leur développement. Mais c’est moins vendeur pour nos politiciens.
Signaler Répondre10 millions de téléspectateurs, 190 pays, et la seule ville qui n’est pas capable d’y être, c’est Lyon. Merci qui ? Merci Doucet, toujours prêt à rater le coche !
Signaler RépondreLe sport populaire, la région le soutient.
Signaler RépondreMais à Lyon, les élus Verts préfèrent soutenir le "rugby inclusif", les "vélorutions queer" et les "projets sportifs en non-mixité choisie". Deux mondes...
Espérons qu'à partir de 2027, le tour AURA pourra traverser la Métropole de Lyon, et si possible avec une belle étape à Lyon.
Signaler RépondreEt on va voir la tête du Conseiller Spécial sur tous les emballages de Cochonou ?
Signaler RépondreEt la Bourgogne ?
Signaler RépondreLe Dauphiné , ce terme contient le mou Dauphin , ce qui semble déplaire aux destructeurs de la France , régions par région ...Celle-ci était historique et culturelle , donc à détruire ! France !
Signaler Répondre