Le syndicat Force Ouvrière (FO) dénonce un projet de suppression de 146 postes sur le département du Rhône, estimant que le site de Gerland, siège français du groupe pharmaceutique Boehringer Ingelheim, serait "fortement impacté."
Dans un communiqué diffusé ce mardi, FO affirme que "la firme allemande n’a depuis cessé de vouloir démanteler l’entreprise dans la plus grande opacité", rappelant que Boehringer Ingelheim avait racheté en 2017 la division "santé animale" de Sanofi.
Le syndicat reproche à la direction de refuser de communiquer ses bénéfices aux membres du CSE et souligne qu’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) avait déjà été mené en 2022, touchant "les forces de ventes." Selon FO, le manque d’investissement sur les sites industriels entraînerait désormais "des problèmes de qualité et donc la destruction de certaines productions."
"La succession des réorganisations a fait perdre à l’entreprise compétences, moyens et agilité," déplore encore le syndicat. FO pointe également une contradiction entre la stratégie industrielle du groupe et sa santé financière, affirmant que "la réorganisation juridique de l’entreprise aura permis de verser des milliards de dividendes à l’actionnaire majoritaire”.
Pour FO, la suppression annoncée de ces 146 postes "affaiblirait encore la recherche et développement ainsi que les fonctions supports." Le syndicat réclame l’arrêt immédiat de cette politique, estimant que "les investissements doivent être réalisés et les emplois sauvegardés."
La conclusion du communiqué est sans équivoque : "Aucun licenciement ne doit être prononcé !" FO assure vouloir "mettre tout en œuvre pour la sauvegarde de l’activité, du savoir-faire et des emplois" au sein du groupe pharmaceutique.
Conseiller Bayer, c’est pas conseiller l'épicier du coin. Bravo mon Tatin !
Signaler RépondreAu passage, tu touches combien pour ce boulot de consultant de haut vol ?
les branleurs d'extinction rebellion sont des bosseurs ? en voila une nouvelle qu'elle est bonne
Signaler Répondreils vont surement créer des emplois et redresser le pays
Quel est l'intérêt concret pour une boite qui veut se développer de rester en France ?
Signaler RépondreDu côté pharmaceutique" (humain ou animal) il vaut mieux aller s'installer ailleurs c'est clair ... mais bon tout finira un jour dans les "usines mondiales" de la pharma en Inde ou en Chine.
Je conseillerais aussi à Bayer de quitter la périphérie lyonnaise mais on a déjà "Extinction Rebellion" qui les pousse dehors apparemment.
J'aime ses syndicats qui font le "grand écart" avec des discours contradictoires entre la "tête" et les "jambes"
y va tous les traiter de fascistes ,va les ...heu...dezinguer ???et çà sera réglé en 2 coups de cuillers à (pol) pot!.....zallez voir ce que vous allez voir!!scrongnieugnieu!...houa!ha!ha!(accessoirement y a aussi une usine danone-bledina qui ferme à villefranche sur saone :ils fabriquaient des pots pour bebes...117 emplois en moins...y avait eu recemment 50 millions d euros injectes....consequences des futures mesures fiscales?????)
Signaler RépondreRien de nouveau sous le soleil
Signaler RépondreLaissez les allemands majoritaires et ils vous bouffent quitte à tout détruire si vous êtes meilleurs qu’eux (ex Lipha repris par Merck KGAA dans les années 90 entre autres…)
La droite et l extrême droite ne sont pas du côté des bosseurs,ils sont du cotés de ceux qui font bosser les smicards ,afin de se prendre des milliards !
Signaler Répondrela fuite des investisseurs étrangers ? : la conséquence de l’incompétence crasse de la majorité marxiste en matière d’économie
Signaler Répondrequand une poignée de branleurs gauchoécolo excités vient vous menacer régulièrement en toute impunité, vous déménagez et tant pis pour ceux qui bossent
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