La candidate LFI aux élections municipales à Lyon est revenue ce vendredi sur le piratage de l’œuvre de la Fête des Lumières sur la place des Terreaux samedi dernier, avec des messages anti-police et anti-RN, revendiqués par Les Soulèvements de la Terre.
Si la préfecture du Rhône, la droite et le maire Grégory Doucet ont condamné, Anaïs Belouassa-Cherifi a reconnu qu'il s'agissait de "phrases qui claquent", "qui dérangent évidemment du côté des aboyeurs" mais qui sont "nécessaires".
"Je suis révoltée qu’on joue à se faire peur avec les mots, alors que les faits, les violences policières et le racisme systémique, continuent de blesser, de mutiler, de tuer. Fatiguée de l’hypocrisie institutionnelle qui hurle au scandale dès qu’un mur parle trop fort, mais reste étrangement silencieuse quand ce sont les corps qui encaissent", indique la députée insoumise de Lyon.
"Quand Les Soulèvements de la Terre projettent “Ni oubli ni pardon” sur les façades étincelantes de la Fête des Lumières, ce n’est pas un caprice. C’est de la mémoire et de l’action politique majeure. C’est une promesse faite aux blessés, à celles et ceux qui ne pourront plus témoigner et aux gendarmes ayant commis ces violences policières : nous ne vous oublierons pas", poursuit Anaïs Belouassa-Cherifi.
Elle dénonce aussi "l'étrange alignement" entre Jean-Michel Aulas et Grégory Doucet qui ont tous les deux dénoncé cette action.
"La résistance à la violence d’État n’est pas un vestige, mais une nécessité et qu’il existe aujourd’hui des gens qui n’ont pas peur des mots de justice et de lutte. En même temps, cette séquence souligne que d’autres, face à une pression trop intense pour la fermeté de leur conviction, ont basculé dans un déshonneur volontaire. Moi, je choisis cette gauche-là qui ne détourne pas le regard et ne s’excuse pas lorsqu’elle demande des comptes à l’État sur les violences policières. De cette gauche qui se souvient des faits et des engrenages systémiques. De cette gauche qui lutte avec courage face au discours dominant, instauré par des responsables politiques ou moraux sans fond. Et vous, de quel côté de cette lumière vous situez-vous ?", conclut la candidate annoncée pour le moment à la 3e place du premier tour selon les sondages, loin derrière le duo de tête.
En situation ça doit baisser la tête direct de peur de se faire agresser et ensuite aller chialer au premier commissariat trouver, comme ses petits copains à saint Jean qui se prennent des taquets et qui font ouin ouin ensuite
Signaler RépondreElle prône donc la violence contre la police, ce n'est pas judiciable peut-être ? Qu'elle passe les élections derrière les barreaux ça la calmera.
Signaler RépondreElle s'ajoute à la ligne de la honte (initiée pas M. Gendre et Gabriel Arnaud) des élus LFIstes qui crachent sur la France. Vivement qu'elle disparaisse en mai du paysage politique lyonnais.
Signaler Répondrela claque c'est elle qui va la prendre au municipales
Signaler RépondreEt dire que cette charmante personne est rémunérée avec nos impôts, lamentable.
Signaler RépondreEt vous, de quel côté de cette lumière vous situez-vous ?"
Certainement pas du sien, c'est une honte pour la France.
Parfait, plus elle parle, plus Aulas aura des voix
Signaler RépondreIndigne de la fonction de député de tenir de tels propos. Elle n'est plus militante quelqu'un pourrait le lui dire ? Et elle se présente aux élections pour être Maire en plus. Et son mandat de député, elle respecte ses électeurs de lâcher en cours de route ?
Signaler RépondreIl ne faut pas avoir peur de dire les mots en face
Signaler RépondreSi je lui dis les mots que j'ai envie de lui dire en face , ça ne lui fera pas plaisir, et en plus ils vont être interprétés comme racistes car je vais appuyer sur le fait qu'en Algérie , personne n'ose dire que la police tue , et pourtant , là bas , LFI ne dirait pas un centième de ce qu'ils se permettent de dire ici en France
Elle est qui pour insulter notre police , pourquoi elle prêche pour sa paroisse , ou plutôt sa mosquée , d'où sort elle pour être si sûre d'elle alors qu'elle devrait se cacher et ne rien dire !
Quand on a connu Charles Pasqua comme ministre de l'Intérieur on peut trouver ces affirmations quelque peu disproportionnées.
Signaler RépondreLe jour des élections, je me jette sur son bulletin... pour le jeter.
Signaler RépondreComment dire ça ? Le jour où elle aura besoin de la police ou de la Gendarmerie, j'espère qu'ils ne la trouveront pas. Elle oublie que ces mêmes forces de l'ordre se font agresser tous les jours par les délinquants qui votent pour elle.
Ensuite, la fête des lumières, fête religieuse, Marie, ça ne veut rien dire pour elle mais on n'a pas à y ajouter des slogans de haine.
Qu'elle reparte dans son pays d'origine.
Cette députée fait partie de ceux qui soutiennent ceux qui mettent une balle dans la tête de leurs opposants au nom de leurs idées qu’ils nomment antifascistes.
Signaler RépondreLa haine anti-flic qui se banalise à travers les slogans de gauche ne fait que contribuer aux tensions déjà exacerbées dans certains quartiers.
Signaler RépondreUne certaine gauche détruit le bouclier qui nous protège de la racaille.
c’est vraiment dommage parce que je suis tout à fait pour l’écologie, mais nous n’avons pas le choix, nous n’avons qu’une écologie d’extrême gauche et violente. Donc du coup je ne peux pas m’y retrouver.
Signaler RépondreSans oublier de préciser "en réunion"
Signaler RépondreEn solo ce serait sûrement pas la même, toujours plus facile à 5 vs 1, surtout face à un gamin de 18 ballets
Les écologistes vont s'allier avec eux. C'est déjà une excellente raison, pour voter Aulas.
Signaler RépondreOn en a rien à cirer de ses provocations , personne ne la connait dans la circonscription
Signaler RépondreComment peut on voter pour ça ?
Signaler RépondreComplètement allumée celle ci..
Signaler Répondrec est pas son ami député du Vaucluse qui a été condamné pour violences
Signaler RépondreDéfinitivement le parti contre la France.
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