La Fourmi a un principe simple : vendre les produits des grandes surfaces qui devaient finir à la poubelle. Des produits de tous les jours presque périmés ou dont le packaging est abimé. Des bonbons, des gâteaux, des boissons, et même des produits ménagers sont vendus dans le magasin. Les étalages se remplissent selon les arrivages.
Le but de l’enseigne est d’éviter le gaspillage tout en vendant les produits moins chers qu’en grande surface. Ainsi, la cible de l’épicerie est très large. Des étudiants à petits budgets, des personnes soucieuses de l’environnement ou encore des touristes curieux de découvrir un concept innovant.
Pierre Christen, le dirigeant de l’entreprise vient justement du monde des supermarchés. Porté par ses convictions personnelles, il est convaincu qu’un mode de consommation différent est possible : "Je ne suis pas forcément révolté mais je me dis qu’il y a quelque chose à faire."
A l’avenir, Pierre Christen souhaite "collaborer avec les acteurs locaux de la région, de la ville voire du quartier pour ne plus passer par des intermédiaires qui coûtent cher, et qui polluent."
Epicerie La Fourmi, 8 rue terme, 69001 Lyon
Mardi 5 Mai 2015 à 16h14
Lyon : une épicerie pour manger moins cher et lutter contre le gâchis
DR La Fourmi
A quelques minutes de l'Hôtel de Ville de Lyon, une nouvelle épicerie un peu particulière vient d’ouvrir.
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martin puije trouve a st priest merci
Signaler RépondreEn aucun cas je rachète des invendus des grandes surfaces qui donnent déjà à des associations.
Signaler RépondreD'ailleurs les grandes surfaces donnent et/ou jettent.
C'est plus en amont que se fait le déstockage (central d'achat/usine/grossiste).
C'est un peu court jeune homme. Il faudrait développer svp...
Signaler RépondreLa suite ! La suite ! :o))))
Signaler RépondreSurtout que c'est pas le premier à Lyon à proposer cela.
Signaler RépondreDès le début du IIIe millénaire, voire plus tôt encore, la civilisation suméro-akkadienne recourt couramment à des moyens de paiement et d'échange. Il peut s'agir de biens périssables (céréales, ovins…), artisanaux (vêtements) ou de métaux. Au cours de la Troisième dynastie d'Ur, l'argent-métal commence à s'imposer comme le medium de référence. Cette imposition est assez logique, dans la mesure où l'or est particulièrement rare dans le Proche-Orient ancien (le rapport entre les deux métaux est alors de 1:60 en moyenne alors qu'il s'établira aux alentours de 1:12 pendant l'Antiquité gréco-romaine et le Moyen Âge)L 1. Les scribes prennent l'habitude de noter l'ensemble des prix par rapport au "shekel", une unité de poids d'argent variable selon les lieux et les époques. Cette pratique se perpétue tout au long de la haute antiquité jusqu'à la généralisation de la pièce de monnaie1.
Signaler RépondreVivement le recycleur d'excrément, comme ça il ne suffira plus que de se nourrir normalement une fois et après autosuffisance à vie ! Comme dans StarTreck !!
Signaler Répondre"Money money money... " fait la chanson...
Signaler RépondreA noter que ces produits étaient jusqu'à présent donnés aux associations caritatives. Avec ce système, ils sont vendus par les grandes surfaces à cette entreprise, puis revendus par cette entreprise. Combien de fois font ils la culbute ?
Signaler RépondreEncore un philanthrope !