Il comparaissait libre pour des faits hallucinants de violence remontant au 7 mars dernier. Alors qu'il décide de dormir chez un ami à Villeurbanne, il se rend compte qu'il n'y a pas assez de place pour lui, son copain et la femme de ce dernier, enceinte de 7 mois.
Le calcul est simple dans sa tête : la femme prend de la place pour deux, c'est donc à elle de partir. Malgré les menaces, elle tient bon. Et sera donc rouée de coups de pieds et de poings, sous le regard désabusé de son mari qui ne fera que l'amener aux urgences, lui rappelant qu'elle aurait dû céder aux menaces...
Selon le Progrès, le prévenu a nié les faits, expliquant que la femme s'était probablement frappée elle-même contre un mur. Déjà condamné à neuf reprises par le passé, il cachait dans la cave de sa mère plus de 2000 cachets d'ecstasy. Mule ou dealer ?
Le tribunal n'a pas souhaité s'éparpiller et a condamné l'individu à 1 an de prison, avec possibilité d'aménager la peine. Le parquet avait au préalable requis 8 mois ferme.
une allusion raciste ?
Signaler RépondrePeine de mort
Signaler RépondreIl y a vraiment des cas soc. !
Signaler Répondreles hommes ne sont plus ce qu'ils étaient.
Signaler Répondrey a longtemps que je l'aurais collé au mur et l'aurais mis dehors, "cet ami", dès les 1er mots.
Et le mari ?
Signaler RépondreUn vrai gentleman ce garçon !
Signaler RépondreDu lumpen qui coûte les collectivités une fortune. Le Pen ou Macron, j'espère qu'on va comptaliser ce que les éléments dangereux de la population nous coûtent et agir en fonction de cette réalité ahurissante pour nos chéquiers.
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