Une nuit d'août, il rentrait de soirée lorsqu'il avait croisé la route d'une étudiante. Dans le 6e arrondissement, les deux protagonistes sympathisent brièvement avant que l'agresseur ne devienne violent et n'entraîne sa victime dans le recoin d'une porte d'immeuble de la rue de Sèze pour abuser d'elle.
Selon lui, le rapport était consenti et même apprécié par sa victime. Il reste toutefois confus dans ses explications, la faute selon son avocate à un grave incident survenu en 2015 et qui fait que sa mémoire lui joue des tours. L'agresseur ayant été interpellé seulement 18 mois après les faits, il n'aurait donc pas toutes les cartes en main pour se défendre.
Le tribunal, qui a pu compter sur un rapport d'expert accablant, a finalement condamné le jeune homme à 4 ans de prison. Il est maintenu en détention.
Incroyable, cette immaturité chez les commentateurs sur internet , outil de recherche , y en a qui ne savent même pas faire l'effort de voir une différence dans les actes sexuels envers autrui !! alors qu'ils possèdent les outils d information...certes, faut il aussi avoir un cerveau et surtout savoir l utiliser..
Signaler RépondreCe cap verdien sans péris de séjour aurait du être forcé de rentrer chez lui à la nage !!
Signaler RépondreUn viol est un acte criminel donc jugé par la Cour d'Assises;
Signaler RépondreS'il a été condamné en correctionnel comme semble l'indiquer l'article ( et la photo d''illustration ) il s'agirait seulement (!) d'agression sexuelle
Nuance...
4 ans pour un viol...! Une fois de plus la justice est scandaleusement laxiste!!! Bien évidement avec les remises de peine il ne les fera pas, relâché il pourra alors briser une vie de plus! Un viol une vie brisée vaut 4 ans de prison quelle honte!
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