Il narrait l'histoire rocambolesque d'un jeune habitant de Mâcon, racontant avoir été séquestré par deux auto-stoppeurs qui avaient ensuite incendié son véhicule à hauteur de Belleville-sur-Saône dans le Beaujolais. Puis les gendarmes se seraient moqués de lui lors de leur intervention sur place.
L'enquête permettra rapidement de déterminer que le mécanicien avait tout inventé. D'où son passage devant le tribunal correctionnel de Villefranche où il a expliqué avoir pris peur pour sa voiture qui faisait un drôle de bruit. Et qu'il l'avait incendié après avoir acheté un jerrican d'essence.
Seule la dénonciation mensongère a été retenue par les juges, la tentative d'escroquerie n'ayant pas pu aboutir car il n'avait pas démarché son assureur avant de reconnaître ses torts. Il a écopé de 3 mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende.