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Avec l’arrivée des beaux jours, les riverains des Berges doivent faire face aux nuisances sonores et odorantes dues à la hausse inévitable de la fréquentation des terrasses et autres boîtes de nuit situés au bord du Rhône. "C’est tout simplement une horreur, et ça empire d’année en année", déplore Ryad Habbaz, qui habite depuis maintenant cinq ans rue Jean Larive, une rue parallèle au quai Victor Augagneur dans le 3e arrondissement. "Le pic, c’est surtout le week-end", explique-t-il.
Photos à l’appui, le riverain met en avant un scénario identique et qui ne cesse de se répéter, majoritairement les vendredis et samedis : des jeunes "principalement des filles", qui urinent entre deux voitures, avec au bout des odeurs "insupportables". "Nous ne tenons pas dix minutes assis dans notre salon à cause de l’odeur d’urine", poursuit Ryad Habbaz.
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D’autres habitants, notamment ceux de la rue Marius Audin, située non loin de là, parlent également "d’un aller incessant de filles et de garçons venant uriner contre les murs".
Les traces des désagréments sont encore visibles le lendemain : tampons ensanglantés, serviettes hygiéniques usagées et même seringues jonchent les trottoirs. Sans oublier les nombreuses flaques d’urine laissant des senteurs pour le moins désagréables comme nous avons pu le constater sur place. "Nos enfants passent par là pour aller à l’école. Ce n’est plus possible", ajoute une habitante du quartier qui dénonce également la lenteur de nettoyage. De nombreux courriers ont été envoyés pour signaler ces nuisances, sans réponse selon les riverains, qui n’ont constaté aucune amélioration au niveau de la propreté.
Du côté des autorités, on précise qu’un "gros travail" est fait sur la propreté des Berges avec un nettoyage global tous les jours. Des sanitaires provisoires supplémentaires doivent également être installés au mois de mai.
Les habitants des rues concernées envisageraient maintenant une action "coup de poing" afin de se faire entendre sur ce qui est devenu un cauchemar pour eux.
Et l’origine de la connerie? C’est pas ton domaine?
Signaler RépondreQuand on marche dedans ça porte bonheur !
Signaler RépondreEn effet, si les installations pour uriner dans de bonnes conditions ne sont plus aussi présentes dans le domaine public, c'est à cause "des budgets".
Signaler RépondreEt un "budget" est une problématique uniquement créer par l'utilisation de monnaie.
Si c'est "payant" d'aller pisser, c'est "à cause de l'utilisation de monnaie".
Si l'éducation de ne pas pisser comme un chien n'est pas bonne, c'est parce que les cours coûtent chers et que l'éducation nationale va au plus urgent, au plus productif.
Si on continue de pisser et déféquer dans de l'eau, alors que c'est une idiotie organisationnelle (le mieux étant des toilettes sèches), c'est uniquement à cause des coûts et de la lenteur d'adaptation dans un monde monétaire où les conflits d'intérêts immobilisent les avancées possibles.
La race humaine va-t-elle rester longtemps dans cette logique minable ?
C est bien connu Lyon est une ville très sale . A commencer par les chiens et les humains.
Signaler Répondrej habite quai Augagneur.....
Signaler Répondreje connais bien
... ce n est pas le même type de délinquance!!!!! autrefois, le parking (en gravier et non en béton) était le repère des dealers de drogues dures, les voitures étaient très souvent fracturées, et les viols récurrents
... la situation a bien changé depuis!
je prefere l odeur du "chicon" à la découverte de seringues sur le chemin de l école de mes enfants!
En effet, les gens ont commencé à uriner en même temps que l'apparition de la monnaie...
Signaler RépondreLes berges n'étaient pas le paradis, c'était un parking de béton moche et mal fréquenté, mais rien à voir aujourd'hui avec les hordes hurlant sous les fenêtres le soir. Allez sur les berges le soir : des tas d'ordure, une odeur tenace de chichon et de l'alcool à flot. Autant de choses non autorisées sur la voie publique, voire non autorisées du tout
Signaler Répondrej ai connus moi aussi les berges avant leur aménagement... c petit un parking, sur le quel il y avait beaucoup de délinquance, et surtout.. c était des toilettes a ciel ouvert
Signaler Répondrele problème s est juste déplacé
Oui, mais c'est que ça coûte cher tous ces emplacements et leur gestion.
Signaler RépondreContinuez bien de râler tout en soutenant ce système.
La solution est pourtant simple... Ajouter des toilettes et surtout ne pas les fermer à 22h !!!
Signaler RépondreMême pb dans les rues, proches du stade OL à Décines,mais le foot étant d'intérêt général ( les stades) les riverains,comme d'hab.n'ont qu'à déménager,facile à dire.
Signaler RépondreSi seulement on ne parlait que d'urine...
Signaler RépondreAvant que nous ne fassions installer sur la porte d'entrée de notre immeuble un digicode (merci à la municipalité pour ces frais supplémentaires...), notre entrée a déjà été souillée de déjections qui n'étaient pas animales.
On passe sur les hausses des infractions commises dans les caves ces dernières années. Les Berges rameutent une faune pas très civilisée...
https://lyon.citycrunch.fr/les-berges-du-rhone-lenvers-du-decor/2012/07/04/
Signaler RépondreL'ajout des toilettes : c'est un argument de la municipalité, mais quand on voit les toilettes proposées ! Des trucs en plastique pour 4 personnes, pas crédible une seule seconde.
Signaler RépondreTant qu'il n'y aura pas une verbalisation sèche du tapage nocturne et des "dépôts illégaux d'urine", il n'y aura aucune évolution. Mais entre ça et verbaliser les bagnoles (des riverains).
Rue Jean Larrivé : j'y vis depuis 20 ans, et on a bien vécu un "avant" et un "après" aménagement des berges du Rhône. Les rues avoisinantes servent de pissotières à ciel ouvert, et j'invite les sceptiques à aller y faire un tour un dimanche matin. Avec l'été, l'odeur est insoutenable.
Signaler RépondreLa nuit, c'est hurlements, échauffourées alcoolisées, tam-tams et radios à fond.
Les pouvoirs publics le savent, ne font rien. Les berges sont elles mêmes extrêmement salles, des poubelles géantes. La municipalité a déclenché quelque chose qu'elle ne sait pas gérer. Une fermeture nocturne semble la seule issue, malgré tous les aménagements que cela représente.
Bref, vivement l'automne.
La solution serait que les riverains se relaient à leurs fenêtres et qu'ils prennent des photos avec flash dès qu'une personne se met à uriner.
Signaler RépondreLa prochaine fois elle se retiendra et trouvera un lieu plus approprié...
les toilettes sur les berges sont justes immondes!!!!! ça va quand vous êtes un homme... on fait son affaire debout...
Signaler Répondrepour les filles c est beaucoup plus compliqué!!! il faut être un peu caché... et l odeur et la propreté sont tellement immonde que personne ne peux se soulager la!
peut être qu'en remplaçant les cabanes a pisse sous les quais, il serait bien de proposer des toilettes en dures, avec des gens qui surveillent et nettoyant!
... en contre partie, une amende systématique et très élevée pour les contrevenants....
la gene de l urine est generale a la metropole... meme à villeurbanne, autour des petites places, les gens squattent et se lachent sur les murs des immeubles...
si on ne fait rien contre les défections canines, je ne vois pas pourquoi on ferait qq chose contre celles des humains...
A Villeurbanne Nord on a une station d'épuration comme voisine. C'est encore pire.
Signaler RépondreLes riverains des berges du Rhône ne sont pas les seuls lyonnais à subir " flaques d'urines et odeurs " .
Signaler RépondreIdem pour les habitants du 6ème arrondissement ,essentiellemnt devant les immeubles modernes .
Interpellé le maire , Mr Blache , déclare ne pas être compétent .....;
Faire des rondes, toute personne prises sur le fait sera condamnée a une corvée de nettoyage de 1 an. Ne jamais se privée d'une main d'oeuvre gratuite. Cela permettra de réduire les déficits.
Signaler RépondreIl faudrait mettre une vidéosurveillance avec diffusion en directe sur internet. Ca les calmerait...peut etre.
Signaler RépondreÇa dure depuis une douzaine d'années...
Signaler RépondreLisez cet article, c'est édifiant: https://lyon.citycrunch.fr/les-berges-du-rhone-lenvers-du-decor/2012/07/04/
La seule réponse de la mairie: on va ajouter des toilettes.
Ensuite, la technique est de faire passer les nettoyeuses pour qu'au petit matin les riverains et les touristes ne se rendent pas compte des dégâts...
Vive les femmes !
Signaler RépondrePipi caca dodo....ah le quotidien nous tue!
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