Selon le Parisien, les victimes disent avoir été la cible d’insultes homophobes parce qu’elles se tenaient la main. L’une d’entre elles, gendarme en Meurthe-et-Moselle, aurait menacé en retour le groupe belliqueux en lui faisant remarquer que l’homophobie était un délit.
C’est là que plusieurs jeunes femmes se sont jetées sur les amoureuses âgées de 20 et 23 ans pour les rouer de coups. Allant même jusqu’à utiliser un cutter pour lacérer le visage d’une des victimes.
Un lieu, des circonstances qui rappellent l'agression de Marin Sauvajon.
Sur les 8 furies, une seule a été retrouvée pour le moment. Elle est âgée de 17 ans et a été placée en garde à vue à Lyon vendredi soir. Elle nie les faits malgré le fait qu'elle ait été retrouvée en possession du cutter.
Le parquet a ouvert une enquête mais n'a pas encore communiqué. On ne sait donc pas si le caractère homophobe est retenu ou non à ce stade.
il serait temps que la justice fasse des exemples avec ce genre d attardée, cela calmerait le reste du troupeau,peut être que les faits peuvent être qualifier de tentative d homicide en bande organisée sur un agent de la force publique ce qui engendrerait une peine d incarcération de plusieurs décennies...a suivre...
Signaler RépondreCinglées. Manque d'éducation, manque d'égalité, précarité, voilà le résultat produit par notre magnifique ripoublique.
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