Son origine reste inconnue, mais ses conséquences sont déjà terribles sur la faune. Selon l’AAPPMA (Association agréée de pêche et de protection des milieux aquatiques), plus de 2000 poissons sont morts à cause d’elle. Ils ont dû être récupérés par les membres de l’association qui ont mis plusieurs heures à récupérer les cadavres émergés de silures ou sandres.
Il se pourrait que des habitants de la commune rhodanienne aient versé des produits chimiques dans les regards d’eaux pluviales qui alimentent l’étang. Des affichettes ont été apposées dans le secteur pour éviter que cette pratique ne se reproduise.