Dans un communiqué, ils reviennent sur le renvoi d’une dentiste accusée d'être néonazie en raison de ses tatouages. La jeune femme était employée, avant que ses tatouages nazis soient épinglés sur les réseaux sociaux, dans le groupe Labelia, dont le cabinet dentaire se trouve à Sathonay-Camp. Parmi les photos récupérées par ses détracteurs, on découvrait notamment une bouteille de Zyklon B ou, dans son cou, le sigle de la 3e division SS Totenkopf.
L’URPS Chirugiens-Dentistes Auvergne-Rhône-Alpes affirme désormais "s’interroger d’une part sur le respect de la vie et de la dignité des personnes ainsi que sur les principes de moralité et de probité. D’autre part, cette affaire pose une nouvelle fois la question de la qualité des soins et du mode de recrutement de certains centres de soins dentaires. Question qui ne date pas d’hier". L’URPS s’en remet au Conseil de l’Ordre du Rhône pour faire la lumière sur les faits et prendre les sanctions si elles s’imposent.
Les sanctions , c'est clair : l'exclure définitivement de l'ordre des dentistes , interdiction d'exercer à vie ... Ces potes d'extrème droite lui trouveront bien un autre job !!!
Signaler RépondreÉvidemment fortement choqués ses amis et collègues de profession remettent en cause les compétences de leur amie et concurrente en doute n'est ce pas c'est tellement plus facile pour éliminer une concurrente gênante .....
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