Alors que la rentrée universitaire a débuté pour des milliers d'étudiants, le sujet de la précarité n'a jamais cessé de faire l'actualité. "La vague d'inscriptions sera même plus importante que l'année dernière", confie Marion Dolisy Galzy, présidente fondatrice de "1 cabas pour 1 étudiant".
L'association doit notamment... (Lire la suite sur Lyon Femmes)
Et si on donnait un revenu aux étudiants les plus précaires et qu'on faisait faire les boulots de ces étudiants aux bénéficiaires du RSA ou à des chômeurs longue durée ? Les économies réalisées pourraient financer le revenu étudiants.
Signaler RépondreIls peuvent toujours se gratter les étudiants.... il y en avait plus en goguette dans les aéroports qu’au boulot cet été.
Signaler RépondreAu Mc Do et équivalents, dans les supermarchés, c'est blindé d'étudiants payés une misère qui vont y bosser entre les cours ou le soir.
Signaler RépondrePas facile pour eux, ce genre d'initiatives c'est l'état qui devrait les prendre, comme pour les restos du cœur ! Mais avec 3000 milliards de dette..., merci qui depuis 13 ans aux finances ?