Lyon, bientôt relégué à la quatrième place des grandes villes françaises ? La ville rose connaît en effet une croissance démographique plus soutenue, selon les données publiées par l’INSEE pour la période 2016-2022.
Depuis 2016, Lyon n’a enregistré qu’une hausse de 5 079 habitants, portant sa population totale à 526 912 en 2022. À l’inverse, Toulouse, plus attractive, a vu son nombre d’habitants croître de 9 090 sur la même période, atteignant 516 735 en 2022. Avec une croissance annuelle moyenne de 1,2 %, la dynamique toulousaine pourrait bientôt détrôner Lyon pour s’emparer de la troisième place derrière Paris et Marseille.
Cette évolution s’inscrit dans un contexte plus large. L’Occitanie, région où se trouve Toulouse, affiche le plus fort taux de croissance démographique en France métropolitaine (+0,77 % par an entre 2016 et 2022). En comparaison, la région Auvergne-Rhône-Alpes, dont Lyon est la capitale, progresse à un rythme plus modéré (+0,51 %).
L’INSEE souligne toutefois que ces données sont marquées par un contexte particulier. La pandémie de Covid-19 a perturbé le recensement prévu en 2021, obligeant l’institut à adapter ses méthodes de calcul. Les chiffres actuels couvrent exceptionnellement une période de six ans au lieu des cinq habituels.
Si la tendance se confirme, les données à venir pourraient entériner ce changement de hiérarchie démographique.
avec du poil autour?
Signaler RépondreC'est un trou noir?
Signaler RépondreToulouse est dans la diagonale du vide...
En tout cas votre aéroport c'est vraiment de la.. Performance, trop bien vive la privatisation ! (c'est pour contourner la modération, c'est !l'opposé absolu !) >¦(
Signaler Répondrepour une ex Lyonnaise, ça craint de parler de la capitale des Gaulles (pauvre général…), au lieu de capitale des Gaules.
Signaler RépondreToulouse n'a plus énormément de foncier pour étendre ses lotissements, mais elle a beaucoup de quartiers de maisons individuelles très proches de l'hypercentre, qui peuvent muter en quartier d'immeubles collectifs, et qui donc peuvent accueillir davantage d'habitants.
Signaler RépondrePeut-être qu'à Toulouse ils ont plus de foncier pour étendre leurs lotissements ?
Signaler RépondreLyon sur la même surface étendue que Toulouse c'est près de un million d'habitants donc on comprend pourquoi les deux villes donnent des impressions différentes.
Signaler RépondreDe toute façon rien ne m'étonne depuis le départ de Mr Collomb et de ses adjoints avec l'arrivée de cet A... rien ne m'étonne.
Signaler RépondreCette ville avant était en pleine évolution que ce soit sur le plan économique, culture, depuis l'arrêt des subventions plus de biennale, arrêt de certaines écoles de cinéma, moins de théâtre MR Vauquiez peut s'en féliciter à mettre dans le même sac que ceux qui sont à la mairie. Lyon, ville en chantier car plus de monnaie pour financer. Que reste t-il de cette si belle ville, si agréable à vivre avant.
J'espère qu'en 2026, elle va reprendre sa place celle de la capitale des Gaulles. Si Napoléon n'était parti à la conquête du monde aujourd'hui Lyon serait capitale de France et non Paris.
Que je suis content d'avoir quitter la métropole. Maintenant Lyonnaises et Lyonnais vous allez avoir du chagrin pendant quelques années.
et oui pas toujours sympa les lyonnais. mal reçu dans les commerces. resto réception.limite des fois. il vous manque un.peu de sympathie et de folie. et descendre de votre piédestal.
Signaler RépondreCher Monsieur Haffyx... Curieuse est votre demande consistant à laisser le maniement de données spécialisées aux seuls spécialistes, alors que l'usage que vous en faites est une insulte à la démographie... (cela dans l’ensemble de vos contributions sur ce fil).
Signaler RépondreSi vous étiez réellement spécialiste (ou assez compétent en analyse), vous parleriez de Toulouse comme étant bien la QUATRIÈME agglomération du pays, qu’elle est réellement. Avec un peu de modestie, vous évoqueriez Lille comme réelle deuxième agglomération dont la ville-centre se trouve en France (la partie belge compte dans ce cas car on parle bien d’urbanisme, pas de géopolitique, soit de la population liée à une ville, sans qu’il soit question de frontière).
Vous auriez conscience de l’importance de la ville-centre dans l’échelon territorial, déjà en termes de gestion des compétences liées à la santé, à l’éducation, à la sécurité, aux enjeux électoraux... mais aussi en termes d’image. À Lyon, vous avez déjà supprimé l’action du département, allez-vous aussi supprimer la commune ? Supprimons aussi la région, puis tant qu’on y est l’État français, faisons partie intégrante d’un vaste ensemble qui s’étendra du Portugal à la Bulgarie, si tel est votre logique. Très curieuse aussi cette logique, dans un contexte où ressort en premier, dans les discours de chacune et de chacun, une volonté anti-État, anti-Europe, anti-immigration, bref... anti-tout, avec repli communautaire à la clé...
Si vous étiez réellement spécialiste (ou assez compétent en analyse), vous ne confondriez évidemment pas "agglomération" (unité urbaine) avec "métropole" (communauté de communes). La première, dont vous voulez parler, se base sur la continuité urbaine alors que la seconde n'est autre qu'un regroupement politique, liée au bon vouloir de personnes grassement payées pour mettre en valeur leurs propres intérêts. À Toulouse, en plus de Toulouse Métropole, il y a cinq autres groupements de communes à cheval sur l’agglomération... Gestion conflictuelle d’un même territoire... ou conscience de besoins différents à une échelle plus humaines ?.
Pas besoin d’avoir une ville comme Villeurbanne et ses 150 000 habitants (qui, non, ne sont pas, ne veulent pas être lyonnais) autour de Toulouse. Il y a déjà un grand nombre de villes de banlieues de 10 000 à 30 000 habitants dont la population n’a pas fini de grandir, et ces municipalités ont des spécificités qui leur sont propres, tant au niveau de leurs activités (le siège d’Airbus n’est pas à Toulouse mais à Blagnac...) que de leur environnement paysager (plus de 50 kilomètres séparent le nord et le sud de l’agglomération toulousaine).
Aussi, vous ne diriez pas que Lyon est "beaucoup plus grande" alors que presque trois fois plus petite en superficie que Toulouse, et sur le point de se faire dépasser par une ville considérée depuis toujours comme un trou qu’il serait inutile de relier aux grandes lignes de transports ferroviaires modernes et rapides (LGV), de doter du même cadre administratif dont vous bénéficiez depuis longtemps (les arrondissements), où tout se fait plus tard, et trop souvent moins bien, que partout ailleurs... (autoroutes, métro, IGH.........).
Bref, Toulouse ne s'est pas faite autant assister que Lyon par l'État au cours de son développement, ça se ressent, et bien des lacunes restent encore à combler. Plutôt que de reconnaître la prouesse de ce développement, vous préférez rabaisser la ville rose avec des arguments bidons. N’oublions pas que ce sont, toutes les deux, des chefs-lieux de régions, de même importance donc...
Désolé, amis lyonnais pour ce prosélytisme un peu zélé, je le conçois, mais il y avait trop d’aberrations que je ne pouvais admettre dans ce ramassis de mauvaise foi. Merci beaucoup pour votre lecture, il me tarde de visiter votre ville, que je considère comme un vrai chef d’ œuvre d’urbanisme !!
Que c'est bien d'être un "has been"...
Signaler RépondrePas une seule trottinette qui déboule devant toi, peu de vélos mais respectueux du code de la route, les gens se saluent en se croisant même sans se connaître, pas de violence, que c'est bon de devenir has been.
Lyon 48 km2 Toulouse 118 km2
Signaler RépondreLyon et les communes qui la bordent (Caluire, Villeurbanne, Bron, Vénissieux, Oullins Pierre Bénite et Sainte Foy représentent 115 km2, soit quasiment la surface de Toulouse (118 km2)
Signaler RépondreSur cette surface vivent 895 000 habitants. Toulouse reste loin derrière.
Dans le même temps que la commune d'Orange perdait 900 habitants (depuis 2006), celle de Lyon en a gagné 50 000.
Signaler RépondreOrange n'est qu'une ville de "has been"
Toulouse est moins oppressante, moins étouffante et plus apaisée..., pour trouver cela les Lyonnais sont obligés d'aller en banlieue (pas dans n'importe lesquelles 😅)
Signaler Répondre20% de la population toulousaine est SDF
Signaler RépondreEn quoi l'absence de banlieusards affecterait la population de Lyon?
Signaler RépondreL'article prend en compte la population comptée à part par l'INSEE.
Signaler RépondreLa ville de Lyon compte 520 774 habitants selon le nouveau recensement et Toulouse 511 684.
Même si cela fait peu de différence, c'est bien de prendre les bons chiffres quand on fait un article sur le recensement.
Regarde bien les données. Moins de 900 habitants en moins depuis 2006. Pourquoi ? Parce que les jeunes vont dans les métropoles ou grandes villes pour étudier ou travailler. Si tu regardes bien les statistiques, tu verras qu'à partir de 30 ans, les gens viennent s'installer à Orange. C'est en-dessous que ça chute. Fais donc une étude détaillée avant de dire n'importe quoi.
Signaler RépondreIl n'y a quasiment pas de poubelles (donc pas gênés non plus par le camion qui les ramasse). Il y a de gros containers (ininflammables du moins avec les moyens classiques) où l'on jette soit les ordures ménagères, soit le papier, soit le carton, soit les bouteilles en plastique ou le verre. C'est ultra propre, bien mieux trié et ça ne se prétend pas écolo comme à Lyon.
Signaler RépondreLyon depuis les années 90 est en croissance démographique lié à une politique volontariste et dynamique qui place les curseurs dans ce sens, les élus actuels font infléchir cette tendance avec leurs orientations qui cherchent à casser cette dynamique et attractivité : c'est leur politique, c'est ce qu'ils appellent l'écologie ou ce qu'ils veulent faire croire.
Signaler Répondre🤣🤣🤣 bien envoyé 👏👏
Signaler RépondreLa triste réalité de l'équipe d'ecolos dingos
Entre 1936 et 1946, la ville de Lyon a perdu 109 874 habitants. Cela serait dû à des "manipulations statistiques" et des "recensement douteux" ayant eu lieu entre 1911 et 1936 et rectifiés après guerre.
Signaler RépondreMais de 1968 à 1982, la population lyonnaise a de nouveau brusquement chuté, passant de 527 800 à 413 095 habitants, soit une perte de 114 705 personnes. La ville était-elle devenue invivable ? Y’a-t-il eu de nouveau un problème au niveau des comptages ?
Dans les années 60, le parc de logement lyonnais est en fait particulièrement délabré, rapporte Jean-Yves Authier, professeur de sociologie à l’université Lumière Lyon 2, avec « des appartements sans WC ni salle de bains ».
Dans le cadre de la rénovation urbaine, de nombreux immeubles dégradés sont ainsi démolis, contraignant un certain nombre de ménages à aller vivre ailleurs. Pour d’autres, quitter la ville relève d’un choix, motivé par la quête de meilleures conditions de vie.
À cette période, il se trouve justement que de grands ensembles périphériques se développent à vitesse grand V du côté de Bron, Vaulx-en-Velin, Vénissieux etc. « Ces logements présentaient, pour l’époque, toutes les caractéristiques du confort moderne. C’était un peu le rêve américain »
Un peu plus tard, le phénomène de périurbanisation fait son apparition et chamboule à son tour la démographie de la ville de Lyon.
Les classes moyennes s’en vont dans les communes limitrophes pour habiter dans des maisons et l’habitat pavillonnaire se développe fortement, favorisé par la réforme de l’aide au logement en 1977 visant à faciliter l’accession à la propriété.
On assiste donc logiquement, depuis les années 60, à une sorte de « transfert » de la population. Pour ne citer que quelques exemples, entre 1968 et 1982, Meyzieu gagne ainsi 16 764 habitants, Vénissieux 17 191, Rillieux-la-Pape 21 969, Vaulx-en-Velin 23 434 et Saint-Priest 26 268.
(sources le journal Actu du 14 janvier 2024, article de Ludivine Caporal)
Aller plus vite que la musique pour les ZFE c'est le choix des écolos.....d'ailleurs sur la 10ene de métropoles concernées seules deux restent dans ce dispositif et échéances.
Signaler RépondreOrange est une métropole ? Les problématiques sont les mêmes pour cette commune de moins de 30k habitants que pour Lyon ?
Signaler Répondreje suis bien d'accord sur les deux points :
Signaler Répondre1 - la ZFE (loi européenne et française, mise en place sous collomb) est la raison pour laquelle plus personne ne veut venir à lyon : ils iront dans d'autres métropoles, la pollution y augmentera et ils devront eux-aussi mettre en place des ZFE ! na !
2 - si les personnes qui habitent en dehors de lyon cessent d'y faire leurs courses, la population de la ville va baisser encore plus vite !
Tiens, Orange se dépeuple depuis 2006.
Signaler RépondreLa faute à son Maire - le même depuis bientôt 30 ans ?
Dans d'autres pays, ce déplacement des frontières communales au fur et à mesure que le bâti se développe est d'ailleurs une mesure courante. Regardez l'article intitulé "Liste des communes des Pays Bas" dans wikipedia : les communes grandissent, absorbent les petites autour, et de ce fait leur nombre global dans le pays diminue.
Signaler RépondreN'importe quoi. Etant gamin, j'ai eu un voisin PMR qui casait son fauteuil roulant dans sa DAF, une voiture plutôt petite.
Signaler RépondreLyon avec la mairie actuelle sera de plus en plus dépeuplée. La ZFE faisant, quel Français supporterai de vivre plus de restrictions de la part de gens qui n'ont rien compris de la vie des travailleurs, pour ma part je n'irai à Lyon faire des achats.
Signaler RépondreLyon se développe sur les communes limitrophes, notamment à Villeurbanne. 😃
Signaler RépondreToulouse est la 4 e agglomération et non la 7 e comme je lit ici ..
Signaler RépondreCeci dit il n’empêche que la commune de lyon descend en 4 e position ..
Il y a 20 ans de cela 150 000 habitants séparés ,La commune de Lyon à la commune de Toulouse, ce qui prouve que la commune de Lyon ne se développe plus beaucoup.
Lyon comptait même davantage d habitants dans les années 1920 que aujourd’hui..
Comme en France la commune compte énormément puisque Marseille est toujours vu comme la deuxième ville du pays ( médias , tv , tourisme etc etc ) donc oui la population de la commune compte également c’est ce que les gens regardent en premier.
Lyon a été la ville de l’industrie et de l’entrepreneuriat.
Signaler RépondreMitterand a détruit l’industrie, la fiscalité socialiste a détruit le socle du capitalisme à Lyon,
Les ecolos terminent le boulot de destruction.
je suis bien d'accord, l'écologie des villes rn est bien mieux organisée que celle de lyon. les poubelles sont vidées à l'heure et tout !
Signaler Répondrele fascisme c'est jouer sur les peurs comme Mussolini pour se faire élire. le jeu de ceux qui jouent sur la peur pour faire un front "républicain" pose problème......
Signaler RépondreEt bien tant mieux car moi, je vis mieux dans une ville RN où l'écologie est 1000 fois mieux appliquée. Quant à mes valeurs qui sentent le renfermé, tu me fais rire, ceux qui me connaissent disent l'opposé. Bouffon.
Signaler RépondreDieu m'en préserve !
Signaler RépondreVos "valeurs" sentent le renfermé, mon bon monsieur
Belle ville Toulouse, j'y ai vécu près d'un an pour le boulot. On ne s'y ennuyait pas comme à Lyon, rien de comparable.
Signaler RépondreAh, ça te fait chier, tout ça, entre vos feux de poubelles, vos dégradations de statues et j'en passe.
Signaler RépondreDepuis que vous les avez découverts, vous ne connaissez plus que 2 mots ; fascisme et racisme. Vous avez pas vraiment évolué côté intello.
Bon, je te laisse dans ton froid et tes détritus (oui, ici, commune RN, pas d'écolos qui font chier et la ville est 1000 fois plus propre, rien par terre), le soleil qui s'était caché un petit peu revient. Nous n'avons pas les mêmes valeurs.
C'est les agglomérations qu'il faut prendre en compte haha
Signaler RépondreÀ ce jeu-là Lyon est toujours 2ème aire urbaine de France, là où Toulouse serait plutôt 6ème ou 7ème, incomparable avec Lyon.
Toulouse continue de gagner des habitants tout simplement car la ville même est plus étendue en superficie et dispose encore de terrains non-bâtis dans Toulouse-même qu'elle peut donc encore construire en 2024 là où Lyon est beaucoup plus dense et remplie depuis bien longtemps, donc la Métropole de Lyon (qui continue de gagner des habitants) s'étend sur les communes voisines car n'a plus de place dans Lyon-même
C'est vrai qu'il faut un niveau intellectuel développé pour faire parler les agents municipaux avec les bouleaux ou les coquelicots.
Signaler RépondreExact. Il n'y a qu'à regarder la morphologie de chacune des 2 villes. Les limites de Lyon sont relativement proches du centre-ville, ce qui fait que Lyon est "remplie" depuis bien longtemps, là où Toulouse est très étendue en superficie et dispose encore de terrains encore non-urbanisés et situés à Toulouse même. La population quitte autant le centre-ville de Lyon que de Toulouse. C'est simplement qu'à Toulouse la population déménage de Toulouse à Toulouse même étant donné qu'il y a encore de la place pour de nouveaux logements dans la ville même.
Signaler RépondreBref Lyon est même toujours la 2ème agglomération de France devant Marseille, là où Toulouse serait plutôt la 7ème
Aucune nuance dans cet article, juste des pseudos-journalistes qui servent un article simpliste au titre accrocheur pour faire des clics faciles auprès d'un public sans sens du discernement.
il faut pas tout mettre sur le covid regarder de plus près depuis que les écolos et son maire c'est la débandade tout le monde s'en va de Lyon faut pas s'étonner de
Signaler RépondreEncore un qui a bien compris !!! Il faut lire correctement et tu comprendras.
Signaler RépondreMais c'est quoi cet article de propagande ?
Signaler RépondreTout le monde sait très bien que ce qui compte pour l'importance d'une ville ce n'est pas la population uniquement de la ville-centre, mais que ce qui fait une Métropole comme son nom l'indique c'est toute l'agglomération de la ville en question.
Et à ce jeu-là Lyon est même la 2ème agglomération/Métropole de France et l'a toujours été. L'agglomération de Toulouse est même 7ème derrière, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Nice, Bordeaux et Nantes. Enfin bref, c'est ridicule de ne comptabiliser que la population de la ville principale. Les populations quittent les centres-villes de partout en France, y compris à Toulouse (où les immeubles s'effondrent). La différence en fait elle est dans la morphologie du territoire de Lyon et de Toulouse.
Les limites de Lyon sont très proches du centre-ville, on passe vite de Lyon à Villeurbanne par exemple.
Alors qu'à Toulouse c'est l'inverse, les limites de la ville vont bien au-delà de l'enveloppe bâtie. Autrement dit, Toulouse continue de gagner des habitants car ils ont encore des terrains constructibles disponibles dans Toulouse même, là où Lyon (beaucoup plus importante et grande que Toulouse) est remplie depuis bien longtemps.
Bref Svp demandez l'avis à des gens un minimum spécialistes pour apporter un peu de nuances dans vos "articles"
J'assume d'avoir quitté Lyon. Lorsque j'ai cherché un emploi avec mon diplôme d'ingénieur dans un domaine très masculin, Lyon m'a claqué la porte au nez, mais Toulouse me l'a ouverte toute grande. Eh oui, la discrimination sexiste larvée existe, même à Lyon ! Aucun regret, nous avons une belle maison à quelques pas de mon lieu de travail, mais à 50 km du lieu de travail de mon conjoint. Et lorsque je reviens ici, car j'y ai encore des proches, je suis pressée de rentrer chez moi, car je ne reconnais plus la ville que j'avais parcourue de long en large, à pieds, à vélos, en voiture, en transport en commun.
Signaler RépondreMais c'est vrai qu'on ne voudrait pas voir Toulouse se peupler démesurément, on aimerait garder cette douceur de vivre du sud.
En même temps lyon c'est devenu nul comparer a l'époque et comparer a Toulouse qui est bcp plus vivant et joyeux, Lyon n'a plus d'âme les gens ne sorte plus, sont froid, des travaux de partout, maire ecolo qui a defoncer la ville et j'en passe.. surtout que Lyon c'est différent des autres villes car on a une agglomération ultra grande et peupler (villeurbanne, venisiseux, vaulx, bron...) alors qu'à Toulouse au alentour il n'y a rien de semblable
Signaler RépondreHa, le fascisme, quelle grande idée !
Signaler RépondreLa date de référence c'est 2016 avant l'arrivée des écolos ou des intégristes/sectaires comme disent certains...
Signaler RépondreL'impact des écolos commence à se faire sentir avec les derniers chiffres de l'Insee.
Pour "droitardé" quel est le rapport ? Vous pouvez développer votre "raisonnement" ?
Sinon, c'est vous qui parlez de "retardé mental car mal équipé au niveau cérébral" : avec votre commentaire c'est ce que vous voulez mettre en avant visiblement, c'est l'idée ?
Droitardé : droitard retardé mental car mal équipé au niveau cérébral;
Signaler RépondreLa preuve, ça parle de personnes qui ont fui la ville, alors que Lyon a gagné 5 079 habitants (3e ligne).
Et dire que ces gens-là ont le droit de vote...