Le syndicat SNUDI-FO des écoles primaires du Rhône dénonce une "saignée" dans l'Éducation nationale à la rentrée 2025. Dans un communiqué, le syndicat dénonce l’impact du projet de budget porté par le Premier ministre François Bayrou, qui prévoit la suppression de 470 postes dans les écoles publiques françaises à la rentrée 2025.
"Parmi ces suppressions de postes, pas moins de 83 concernent le département du Rhône !", pointe le syndicat, qui rappelle qu’après les 60 suppressions de la rentrée 2024, le département perdrait ainsi "143 postes en deux ans".
Selon les chiffres présentés lors du comité social d’administration départemental du 30 janvier, l’inspecteur d’académie prévoit "296 fermetures de classes pour 138 ouvertures, soit 158 classes en moins dans notre département à la rentrée prochaine."
SNUDI-FO déplore également l’absence de création de postes pour les enseignants spécialisés dans les réseaux d’aide aux élèves en difficulté (RASED) et pour les psychologues de l’Éducation nationale. "Aucune création de poste dans les établissements sociaux et médico-sociaux alors que des centaines d’élèves en situation de handicap bénéficient d’une notification de la MDPH pour y être scolarisés !", ajoutent ces derniers, qui s’inquiètent aussi du manque de remplaçants.
Face à cette situation, le syndicat annonce une mobilisation, avec une réunion intersyndicale prévue la semaine prochaine et un préavis de grève qui court jusqu’au 31 mars.
Il est logique de supprimer des postes d'enseignants quand le nombre d'élèves diminue . Comme vous le dites , les classes à moindres effectifs ne sont pas une garantie d'excellence . La norme jadis était 35 élèves, et le niveau était bien meilleur !
Signaler Répondreet des profs pour les députés analphabètes !
Signaler Répondrecatastrophique ce pays !!!
Signaler Répondreil faudrait qqn avec de la poigne
on ne va pas s’en sortir
Sans parler des profs pour adultes, je vois qu'il y en a qui ont grandement besoin de retourner à l'école, niveau primaire pour les dictées ;-)
Signaler RépondreAvec un peu de courage politique, la solution serait aussi de raccompagner dans leur pays tous ces étrangers en situation irrégulière. A la Trump!
Signaler RépondreIl faut bien payer en PRIORITÉ l'accueil de tous ces clandestins qui nous pourrissent la vie (quelle chance pour notre pays ! )
Signaler RépondreLes français sont réfractaires à tout d'après nos journaleux , ils n'ont que ce qu'ils méritent !
Pourquoi serais-tu mécontent ? Tu n'as jamais mis les pieds dans une école, toi.
Signaler RépondreL'état n'en a rien à faire de l'éducation, nos politiques mettent tous leurs gosses dans le privé...
Signaler RépondreLa preuve ils ont mis Borne comme ministre, fallait oser ;-)
En meme temps il y a moins d’élèves c’est une vérité démographique, on ne va pas conserver le même nombre de classes pour acquis
Signaler RépondreLes syndicats oublient bien évidemment de préciser que le nombre d'élève diminue.
Signaler RépondreIl faut expulser pour compenser
Signaler RépondreQuelle est l'évolution du nombre d'élève ?
Signaler RépondreLe nombre d'élèves s'effondre et il ne faudrait pas supprimer des postes d'enseignants? Ridicule! Surtout que la réduction de l'effectif des classes n'a pas prouvé son efficacité (au contraire, lire Cherkaoui: les paradoxes de la réussite scolaire).
Signaler RépondreOui a la sencure
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