Après s'être introduit le 31 juillet à la mi-journée chez des habitants de Chaponost, présents sur place, il avait réussi à prendre la fuite avec des bijoux et des appareils électroniques. Immédiatement, les victimes s'étaient rendus compte de ce méfait et avaient prévenu les gendarmes.
Grâce à la géolocalisation activée de l'un des appareils, les militaires avaient réalisé que le cambrioleur patientait sagement à un arrêt de bus voisin.
Mais sur place, ils avaient contrôlé le suspect qui avait joué la carte du quiproquo. D'ailleurs, pas de trace des bijoux ou du reste du butin. Les gendarmes étaient donc retournés chez les victimes pour vérifier que la géolocalisation ne s'était pas trompée.
Cette fois, cette dernière montrait que le voleur était monté dans le bus. Déterminés à le coincer, les enquêteurs avaient suivi le bus jusqu'à le faire s'arrêter pour contrôler ses passagers.
En voyant que l'homme de l'arrêt de bus était présent dans le véhicule, ils étaient retournés le voir. Et là, bingo ! Il était en possession d'un sac dans lequel se trouvaient tous les objets volés.
Interpellé et placé en garde à vue, il a ensuite été jugé dans le cadre d'une comparution immédiate. Le cambrioleur a été condamné à 1 an de prison.
Je comprends pas pourquoi le juge n'a pas condamné la victime pour violation du règlement RGPD (geo-localisation non consentie).
Signaler RépondreJ'espère que ce juge sera rappelé à l'ordre par le Syndicat de la magistrature.
C'est pas moi, c'est un bug !
Signaler RépondreIls ont vérifié qu'il n'avait rien piqué au tribunal ?
Signaler Répondre1 an, donc demain il est dehors et recommence...
1 an de prison... 😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Signaler RépondreIl ne mettra pas les pieds 5 min en prison. Aménagement de peine.