La Société des journalistes (SDJ) de France Télévisions a réagi, apportant son soutien à son collègue et dénonçant un tir de projectile provenant, selon elle, des forces de l’ordre.
Les faits se seraient déroulés alors que l’équipe de France 2 se trouvait en début de cortège, coincée entre manifestants et CRS après un tir de mortier initié par un black bloc. Alors que les forces de l’ordre reculaient, le journaliste a été atteint par un projectile sur son sac à dos. L’engin a explosé, lui provoquant des brûlures au dos, des acouphènes, et déchirant ses vêtements. La victime a ensuite été immédiatement prise en charge par les secours.
"Étant donné la trajectoire du projectile, il paraît évident qu’il provient des forces de l’ordre", écrit la SDJ, tout en précisant ne pas présumer de l’intention du geste. L’organisation juge toutefois "inacceptable que des journalistes soient victimes d’un tir de grenade dans l’exercice de leur métier".
La SDJ rappelle que le statut des journalistes les protège et que les forces de l’ordre doivent en tenir compte. "Les journalistes doivent pouvoir travailler librement et en sécurité, y compris lors de ces moments de tensions et d’affrontements", conclut le communiqué.
De son côté, la préfecture du Rhône indique ne pas disposer encore des éléments nécessaires pour confirmer ou non le fait que le projectile ayant blessé le journaliste à Lyon provenait des forces de l'ordre.
Si la police ne sait pas tirer des grenades c’est un problème, juste derrière ils y avaient les syndicats et des manifestants pacifiques
Signaler RépondreC’est leur métier !
La police et l'armée pour mater tous ces anars.
Signaler RépondreImagine que quelqu'un dise ça de tes potes les condés quand ils sont blessés en manif, alors qu'ils ont signé et qu'ils connaissent les risques du métier..
Signaler RépondreHypocrite, un petit peu ?
"après un tir de mortier initié par un black bloc."
Signaler RépondreÉtant donné l'origine du 1er tir, il est évident que la violence d'extrême gauche rend le métier de journaliste plus dangereux...
Non seulement ces " tarés" manifestent contre le gouvernement qu'il ont fait élire : Monsieur Macron en 2017 , puis une seconde fois en 2022 , ensuite aux legislatives mais encore ils agressent les forces de l'ordre ! Pauvre France ...
Signaler RépondreIls n'étaient pas en grève ?
Signaler Répondreje ne te plaindrais pas non plus !
Signaler RépondreToi tu as du respirer un peu trop de lacry, ça laisse des traces......
Signaler RépondreDonc les crs ceux font tirer dessus aux mortier de feux d'artifices au lieux parlé de ça non on parle d'un lancé pour protéger les crs qui et arrivé malheureusement sur un journaliste qui été super bien placée ^^
Signaler Répondrela SDJ de France Télévision = Mélenchon.
Signaler RépondreOn a depuis maintenant 2 semaines les révélations sur le positionnement politique et idéologique des journalistes du service public, comment s'étonné qu'ils chargent les forces de l'ordre.
Par contre quand des journalistes se font agresser par des militants d'extrême gauche (pas que les médias Bolloré car il y a eu des journalistes BFM ou France Infos) on les entend moins... surtout quand c'est un journaliste "Bolloré" qui se fait agresser leurs confrères charge le journaliste et défend les agresseurs.
Je préfèrerais mettre ses 4 milliards dans la restauration du patrimoine qui tombe en ruine (c'est bientôt les journées du patrimoine) que dans des journalistes "star" et des animateurs producteurs qui sont tous millionnaires sur l'argent public. Là est le vrai scandale de l'utilisation fallacieuse de l'argent public au sein du ministère de la culture. PRIVATISATION rapide et urgente
Les FDO sont à l’image de notre société ´ violente , agressive , procédurière ´ au quotidien, point barre .
Signaler RépondreCette manifestation était très calme, c'est la faute de la police car les petits anges portait des cagoules et avais juste un peu froid, ils se sont fait gazer car les racistes de policiers on vu du noir.
Signaler Répondre"Les journalistes doivent pouvoir travailler librement et en sécurité, y compris lors de ces moments de tensions et d’affrontements"
Signaler RépondreAlors on propose quoi ? Que le journaliste soit entouré près du corps par 4/5 membres des forces de l'ordre qui accompagnent sa progression ?
Surtout si c'est pour se positionner entre le cortège et les FDO ..
Comme écrit justement Alcofibras, ce sont les risques du métier, particulièrement pour les correspondants "de terrain". Sinon, on peut les remplacer par des drones.
les CRS quand ça chauffe défouraillent de partout, c'est ce qu'on appelle une "balle perdue"...
Signaler RépondreIl a une prime pour ça ? Il a signé une charte sur les risques liés à ce métier ? Il était en première ligne…
Signaler RépondreQue font les journaleux entre les ""manifestants"" et les FDO ?
Signaler RépondreIls gênent plus les FDO qu'autre chose avec leur sacro sait droit à l'information.
Si d'aventure le journaliste a été touché par une lacry ou autre, je ne vais pas le plaindre .....
Elle aurait préféré être atteinte par un mortier d'artifice ?
Signaler RépondreNe sont-ce pas les risques du métier ? Ils sont négligeables vis-à-vis de ceux qu'encourent les correspondants de guerre.
Signaler RépondreAh quand c'est France 2 c'est scandale, mais les journalistes de cnews agressés délibérément, là c'est tout à fait normal, quel pays !!!
Signaler RépondreLes forces de l'ordre font leur travail, elles ne vont pas se faire blesser parce que des aventuriers viennent s'immiscer et s'interposer de fait devant les personnes violentes.
Signaler RépondreQuel est l'abattement fiscal pour les journalistes en 2025 ?
Signaler RépondreL'abattement de 7 650 € s'applique uniquement aux journalistes et assimilés dont le revenu brut annuel n'excède pas 93 510 €
Est normal, personne en parle
Les faits se seraient déroulés alors que l’équipe de France 2 se trouvait en début de cortège, coincée entre manifestants et CRS après un tir de mortier initié par un black bloc.
Signaler RépondreDans ce genre de manifestations les médias sont présents par dizaines et il faut montrer les images les plus sensationnelles alors ils prennent des risques et se joignent à la mélée. On peut dire que c'est les risques du métiers. Les forces de l'ordre ont bien fait leur travail et évités à Lyon beaucoup de casse en agissant promptement. Ils ont d'ailleurs également eu des blessés dans leurs rangs alors que Nada du coté des manifestants ce qui prouve que la police ne tue pas.
Je souhaite un prompt rétablissement à ce journaliste.
Bien sûr, les FOD, suite à un tir de mortier !
Signaler RépondreEn fait, ils faut faire des bisous aux blacks blocs, le journaliste prend les photos et tout le monde est content….
Que les flics se ramassent des mortiers dans la tronche par des abrutis ?La police doit se laisser faire alors ?
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