Dans un communiqué publié ce mardi, le collectif rappelle avoir alerté les acteurs publics dès le début de l’année sur la fragilité du commerce dans le 7e arrondissement, sans obtenir de réponse favorable.
Dans une lettre adressée à la mairie en avril, Amaury Smet, co-président de Lyon 7 Rive Gauche, déplorait déjà que "la subvention allouée par la ville de Lyon aux structures de management de centre-ville [soit] restée identique depuis 2006 et ce alors que depuis l'inflation a dépassé les 30%". Le collectif expliquait avoir "supprimé un poste" à l’automne face à la situation économique dégradée.
Aujourd’hui, Lyon 7 Rive Gauche dit ne pas comprendre pourquoi ses demandes, d’un montant "inférieur à 10 000 euros", n’ont pas été retenues. Le collectif souligne qu’elles portaient notamment sur la conservation d’un apprenti dédié à la transition écologique, le maintien d’animations locales ou encore la parution du guide annuel du commerce du 7e.
"Il ne s’agit pas pour nous de contester l’accompagnement financier qui a été accordé à nos collègues de My Presqu’île afin de leur permettre de faire face à leurs difficultés financières", précisent ces derniers. "Il s’agit d’exprimer notre incompréhension totale sur le traitement différentié, inéquitable et injuste dont le commerce du 7e arrondissement et Lyon 7 Rive Gauche sont l’objet alors même que des similitudes prégnantes existent avec la presqu’île et que le besoin était modeste".
Parce qu'une entreprise peut frapper monnaie, s’occuper des écoles, de la santé de la justice, etc. ?
Signaler RépondreIl faut vraiment en tenir une sacrée couche pour comparer les deux.
Quel homme d'affaire génial a fait un président génial dans le monde ? AUCUN ! JAMAIS !!!
Même lorsqu'on aura soviétisé l'économie de cette ville, les commerçants finiront quand même par partir. Et ceux qui auront appelé cette situation de leurs vœux viendront vous dire ensuite à quel point ça leur manque l'animation dans leurs quartiers.
Signaler RépondreDe toutes façons, dans ce pays, la gauche c'est comme des sauterelles: ils bouffent tout sur leur passage, ne laissent que désolation derrière eux, prennent le temps de se plaindre que là où ils habitent c'est devenu pourri, passent ensuite à une ville et recommencent.
Doucet n’est effectivement pas une option. Mais Aulas est le représentant local d’E. Macron. Les effets de sa politique et la situation de la France vous font tant rêver que vous voulez répliquer cette politique à l’échelle locale pour en maximiser les effets ?
Signaler Répondreque si les communes , les départements , les régions et l'état étaient gérés et administrés comme des entreprises dont les dirigeants doivent rendre des comptes devant leur financeurs , nous n'aurions sans doute pas 3400 milliards de dette et des services publics dans un tel état de déliquescence et d'inefficacité
Signaler RépondreVotre maire du 7 eme se moque bien des commerçants !
Signaler RépondreConfier les clefs aux amateurs ecolos, soutenus par l'extrême gauche, c'est juste pas possible.
Signaler RépondreM Aulas a dirigé des entreprises pas de collectivités. La gestion d'une ville ne s'apparente pas a celle d'une entreprise. Les enjeux ne sont pas uniquement du "chiffre d'affaires".
Signaler RépondrePenser qu'il pourrait résoudre des problèmes qu'il n'a pas envisagé de près ou de loin dans sa vie professionnelle me laisse perplexe.
c'est dommage de ne pas avoir aussi usurpé le cerveau de LFI69 en même temps que son nom
Signaler Répondresi je me souviens bien à une époque marine finançait sa sœur , le chauffeur de son père, les faux agendas du petit Jordan, le grand ami du corrupteur de mineur, son ex,
Signaler RépondreIl devrait être interdit aux collectivités de donner des subventions. Cela fonctionne sur l'arbitraire, cet article en est un parfait exemple.
Signaler RépondreParce qu'ils en ont rien à faire du 7em , voir l'état du quartier depuis leur élection
Signaler RépondreC'est vrai.
Signaler RépondreIl est préférable de donner des subventions aux OQTF qui sont des chances pour la France
Signaler RépondreCes commerçants toujours à râler pour avoir des aides et du pognon "gratuit sans contrepartie", comme les entreprises...
Signaler RépondreComme tous les citoyens ils doivent participer au redressement fictif ;-)
Après, les commerçants en sont réduits à quémander des subventions... ridicules d'ampleur de surcroît.
Signaler RépondreC'est le résultat de tant de lutte de grégory Doucet pour chasser les voitures de Lyon.
Obligatoirement, cela revient à chasser des consommateurs qui viennent des extérieurs.
Les belles boutiques qui font le charme de Lyon souffrent et ferment, et à la place Lyon se remplit d'enseignes de malbouffe et de vente de verroterie...
Mettez-nous JM Aulas comme maire, il faut enrayer le déclin de Lyon, déclin à la façon dont la grenouille plongée dans une casserole d'eau mise à chauffer ne s'aperçoit pas qu'elle est en train de mourir...
Su je me souviens bien à une époque récente la Mairie de Lyon finançait :
Signaler Répondre- des cours de théâtre entre les délinquants et les policiers,
- des cours pour apprendre à parler aux végétaux.
Évidemment pour la gauche, pas de sons et pas d'images...
La suppression d'un apprenti dédié à la transition écologique, le maintien d’animations locales ou encore la parution du guide annuel du commerce du 7e.
Signaler RépondreC est supprimé parce que cela ne sert a rien .
Au diable ces subventions qui viennent perfuser et démolir le monde du travail.
Allez Doucet, maintenant va falloir payer pour tous. Si tu veux passer, fait etre généreux avec l’argent des lyonnais.
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