La cour a estimé qu’il " ne vivait pas avec sa compagne et leurs enfants à la date de la décision en litige. " Guilherme Azanga a donc épuisé tous les recours sans obtenir de statut de réfugié. En France depuis huit ans, il avait fait l'objet de plusieurs reconduites à la frontière. Une vague de soutien s’était déclarée parmi les parents d’élèves de l’école où sont scolarisés les enfants de ce sans-papier.