Avec un seul attaquant, Lisandro en pointe, Rémi Garde avait pris le
pari du contre, et d'assurer le 1-0 obtenu à l'aller à Gerland. Mais la
pression mise sur les épaules des Lyonnais par le bouillant public
chypriote et l'enjeu européen ont eu raison des premiers espoirs
olympiens. A la 9e minute, les joueurs de Nicosie remettent les deux
équipes sur un même pied d'égalité : sur une belle remontée de balle,
Charalambides réussit un centre-tir que reprend Manduca, devançant
Reveillière et Lloris. Un but qui encore une fois pour un match de coupe
va réveiller les Gones : Ederson, sur coup-franc à la 25e minute, puis
Lisandro, avec sa vitesse, vont inquiéter la défense de Chiotis, le
portier chypriote, sans succès. Les démons lyonnais des dernières
rencontres se réveillent, Gonalons et Kallström perdent des ballons au
milieu de terrain et Lloris doit s'employer à la 36e minute devant
Ailton pour ne pas faire empirer les choses. Et dans la minute qui suit,
c'est Ederson qui d'une tête rate l'égalisation de quelques
centimètres.
L'OL n'y est pas dans ce huitième de finale retour, et cela se ressent :
aucune action n'est à mettre à l'actif de Bastos, de Briand et de
Lisandro en début de deuxième période. Aly Cissokho manque même de
tromper Hugo Lloris à la 55e minute, sur un coup-franc de Sousa, que le
défenseur détourne avec sa tête sur la barre transversale. Les deux
équipes qui jouent en contre ne concrétisent pas leurs actions. A la
70e, c'est Solari qui manque de tromper le gardien lyonnais, puis dans
la continuité, c'est Lisandro qui voit sa tête brossée détournée des
cages par Chiotis. Lyon manque la correctionnelle à la 87e minute :
Ailton, qui passe Gonalons d'un petit pont, n'obtient pas le pénalty,
pris en sandwich entre Cris et Koné. Puis c'est Lloris qui sauve la mise
à la 88e sur une nouvelle frappe de l'attaquant adverse aux vingt
mètres.
Revenus avec de meilleures intentions sur le terrain en prolongations,
les Lyonnais partent à l'assaut de la cage de Chiotis et apportent le
danger avec un coup-franc de Kallström et des centres de Cissokho.
Toujours sans bénéfices. A la 102e minute, Gonalons puis Koné sur corner
butent sur Chiotis, intraitable sur sa ligne de but. L'APOEL craque en
cette fin de match, multiple les erreurs défensives et les pertes de
balles mais l'OL n'en profite pas et ne concrétise pas sa domination,
avec toute son expérience européenne, même à 11 contre 10, après
l'exclusion du buteur Manduca. L'OL et Rémi Garde va donc connaitre sa
deuxième session de tirs aux buts (après une élimination face au PSV en
2004). Mais après trois tirs réussis (Kallström, Lisandro et Gomis), Lacazette et Bastos voient leurs frappes arrêtées par Chiotis. Le gardien chypriote qualifie à lui tout seul pour la première fois de l'histoire son club en 1/4 de finale. Et il fait plonger l'OL dans l'une de ses plus graves crise de son histoire : éliminé de la Coupe d'Europe et 7e de Ligue 1 à 12 journées de la fin.
Un seul mot.
Signaler Répondre"HONTE "
oui honte a ceux qui gagnent des millions d'euros en en faisant le minimum.
Dans ce pays la France, il y a des millions de gens qui travaillent,eux, pour pas grand chose.
Oui honte a vous.
A l'OL c'est gagner plus en travaillant moins.
Signaler RépondreUne seul chose qui est sur, c'est que les joueurs sont gaganant eux a tous les coups et en millions d'euros.
Je ne vais plus voir cette équipe, un désastre pour nous et un désastre pour les finances du club et un désastre en terme d'image pour la ville de LYON.
Gourguff meilleurs salaire de France.
Tout Chypre sait dorénavant où se trouve Lyon. Aulas avait raison, l'OL fait rayonner Lyon... jusqu'en Chypre !
Signaler RépondreP-I-T-O-Y-A-B-L-E!!!!!! Dehors Rémi Garde, dehors tout le mode!!! Après Maribor, on se fait sortir comme des bleus par un club que personne ne connaissait il y a 2 ans. Quelle HONTE!!!!!!!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreBravo à l'apoel quand même, c'est mérité.