Rhône : Michel Terrot rejoint à la dernière minute le Rassemblement-UMP

Rhône : Michel Terrot rejoint à la dernière minute le Rassemblement-UMP
Michel Terrot - DR

Le nom du député de la 12e circonscription du Rhône est apparu mercredi sur la liste R-UMP publiée au Journal Officiel.

Après avoir soutenu François Fillon durant la campagne, Michel Terrot s'était éloigné des initiatives des fervents soutiens parlementaires de l'ancien Premier ministre. Mais finalement, le député s'est rajouté au groupe dissident à l'Assemblée, devenant le 73e homme de François Fillon. Il est le seul parlementaire rhodanien à avoir pris une position aussi marquée.
Mercredi, le R-UMP a posé ses premières questions au gouvernement.

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5 commentaires
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Verite le 07/12/2012 à 21:16

Buffet qui trahit Oullins, Terrot qui trahit l UMP . Il doit y avoir un micro climat à Oullins

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Therese le 07/12/2012 à 06:11

Je suis d accord avec Renée, cela n honoré pas Monsieur Terrot qui fait le mandat ce trop.

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Renée le 06/12/2012 à 21:43

Trahison. Cette attitude est indigné d un Gaullliste. C et méprisable. Je ne voterai plus jamais pour lui.

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TERROT, LACLAIS,GUAINO,COLLOMB,GERIN AVEC NOUS! le 06/12/2012 à 17:39

Terrot, Collomb, Laclais, Gerin! Avec nous!
Tous ensembles! Tous ensembles!


http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/08/mariage-pour-tous-une-intime-conviction_1788115_3232.html

Mariage pour Tous, une intime conviction
Le Monde.fr | 08.11.2012 à 17h26Par Bernadette Laclais, Députée de Savoie (PS), maire de Chambéry
Je mesure la passion que suscite le débat sur le mariage pour tous, et éprouve, comme beaucoup de mes collègues, la frustration qu'impliquerait une posture seulement commandée par une discipline de vote quand un tel sujet relève d'une dimension anthropologique et nous engage chacun en conscience. Il suffit d'observer les multiples prises de positions pour constater que ce débat transcende –et c'est heureux- les clivages politiques et partisans.
C'est ce propos que j'ai tenu aux personnes qui pendant la campagne des législatives m'interrogeaient sur le sujet. En tâchant de rester dans le respect des idées, et de ne céder ni à l'esquive, ni à la confusion si propice à masquer les responsabilités et travestir les opinions. Je peux témoigner que ce parti pris m'a valu beaucoup d'écoute, une compréhension certaine, et peu de réactions contraires véhémentes ou indignées. J'en tire comme enseignement que l'enjeu des décisions que nous sommes appelés à prendre justifie un débat serein, approfondi, responsable. Et je veux croire qu'il ne demeure dans notre société, en France en 2012, des questions à ce point taboues qu'elles ne pourraient être débattues sereinement, lucidement.
Sur la procédure : Je me réjouis de voir l'examen du texte à l'Assemblée nationale repoussé à la fin du mois de janvier. Cela permettra d'élargir les auditions, c'est une très bonne chose. Mais sera-ce suffisant au regard de la diversité des opinions et de l'ampleur de la réflexion qui touche à la sociologie, à l'éthique, au droit, à la spiritualité de chacun ? Notre pays doit pouvoir se donner le temps du débat et d'une décision qui, à défaut d'unanimité, ou de majorité massive, parviendrait à rallier un maximum d'adhésion, et a minima, de compréhension.
PROMOUVOIR LE BIEN ÊTRE DE L'ENFANT D'ABORD
Sur le principe du mariage entre personnes du même sexe. On peut concevoir qu'au nom de l'égalité des droits, la loi permette à des adultes de même sexe de faire des choix, d'officialiser leur union, et de témoigner d'un engagement tout aussi respectable que des personnes de sexes différents. Mais au nom de l'égalité des droits entre adultes, faut-il créer par la loi des inégalités entre enfants ? Certes ces inégalités existent déjà entre enfants de conditions différentes, mais elles sont le résultat de parcours de vie, de situations de fait. Certains enfants élevés par des parents de même sexe peuvent être plus heureux que d'autres enfants de parents de sexes différents. C'est vrai. Mais cela suffit-il à admettre que, par l'a priori de la loi, des enfants auront à grandir avec des parents de même sexe, et d'autres avec des parents de sexes différents ?
Si l'extension du champ de l'adoption va de soi pour un enfant de l'autre conjoint issu d'une première union, est-il recevable de s'interroger sur la pertinence qu'il y aurait à créer par la loi une extension des situations dont on sait qu'elle posera très vite la question de la PMA et de la GPA ?
En changeant la loi pour institutionnaliser des situations qui restent exceptionnelles, ne la détourne-t-on pas de son but premier qui est de promouvoir le bien-être de l'enfant d'abord ? Il n'existe pas de droit à l'enfant dans notre code civil, le législateur ayant veillé à inscrire la procréation médicale assistée (PMA), dans le code de la santé et à l'encadrer strictement. Cette précaution plaide pour renvoyer l'examen de cette question à un débat plus large sur la famille. Sachant que la PMA devenant accessible à un couple de femmes, au nom de la l'égalité entre hommes et femmes, on ne pourrait alors refuser la GPA (gestation pour autrui) à un couple d'hommes. Un tel questionnement ne nous exonère en rien des régularisations indispensables des situations issues de GPA à l'étranger ou de PMA effectuée en dehors de l'esprit des textes actuels.
LE PAYS A BESOIN DE TEMPS POUR FAIRE MÛRIR LES OPINIONS
La référence unique à la famille père-mère-enfants se trouve dépassée par l'évolution de la société, c'est un fait. Pour autant, peut-elle être réduite à une revendication de droits ou d'égalité ? En ayant notamment à l'esprit que les réponses des experts sur les incidences que pourraient avoir l'homoparentalité sur le développement de l'enfant restent très nuancées, voire tranchées pour certains. Si l'on admet que ces questions méritent réflexion, pourquoi ne peut-on s'en tenir à une nouvelle avancée par rapport au pacs, qui permettrait l'union entre personnes de même sexe, sans ouvrir de droits nouveaux en matière d'adoption et donc de parentalité ?
En soumettant ces questions à l'appréciation de mes collègues, et en les versant au débat public, je n'entends pas faire acte de provocation. J'espère aider chacun à admettre que le pays a besoin de temps pour faire mûrir les opinions et dégager des réponses, et que celles-ci ne peuvent être contenues dans un oui ou un non, au nom de l'appartenance à tel ou tel parti. Cela justifie que chacun, sur ce sujet, se voit reconnaître la liberté de vote. La responsabilité du député est de voter la loi et soutenir sa majorité. C'est aussi, sur de telles questions qui procèdent d'une dimension anthropologique, de faire valoir son intime conviction.
Bernadette Laclais, Députée de Savoie (PS), maire de Chambéry

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TERROT AVEC NOUS! le 06/12/2012 à 16:16

Bonne Nouvelle! Encore un déçu de Copé!

Mr TERROT Soutenez Mr GUAINO !

Dites vous aussi que :

" la Marche du 13 janvier ne peut pas être une manifestation partisane!"

"Dites que c'est une fois de plus un Hold-Up odieux pour le bénéfice d'un seul! Toujours le même!

Et un soutien potentiel pour notre Marche citoyenne du 13 janvier...peut-être même que le Hold-Up odieux qu'est en train de faire Copé y ait pour quelque chose!

Guaino, Terrot, avec nous, c'est un bon début...mais faudra aller vérifier car dans le Camp Fillon il y a des poids lourds pour le "Mariage de même sexe", "la PMA pour femmes fertiles" et la GPA "altruiste"!

En Premier lieu, l'inénnarable Roselyne Bachelot!

C'est grâce à elle que j'ai appris que les inséminations des lesbiennes faites à l'étranger était remboursée par La Caisse Primaire d'Assurance Maladie, au frais et au détriment des travailleurs!

Il y a aussi Apparu et toutes une liste de "joyeux drills" de la même veine!

Mais je crois que Mr Terrot n'est pas fait du même bois!

Mais en politique il n'y a que les paroles prononçées et les actes qui comptent, c'est pourquoi, il faudra inttéroger explicitement Mr Terrot sur ces sujets!

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