Elle avait été lancée par le journaliste de l'AFP à Paris Marc Preel,
qui annonçait qu'un de ses confrères avait été tabassé par des
supporters ultras lyonnais et que sa mâchoire avait été brisée,
rajoutant que le journaliste avait obtenu 41 jours d'ITT.
Mais le bureau de l'AFP à Lyon a tenu à démentir les conditions de
l'agression. Car le journaliste a bien été mêlé à une bagarre mais samedi
soir sur les quais de Saône. Alors que des personnes se battaient, il a
été violemment pris à partie, peut-être parce qu'il avait gardé son
appareil autour du cou. Ce dernier servait plus tôt à immortaliser l'anniversaire de son enfant selon 20 Minutes. Frappé à coups de pieds dans la tête, il souffre
d'une fracture de la mâchoire et d'un traumatisme crânien et doit être
opéré ce lundi.
Une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances exactes de
l'agression, notamment pour savoir si la victime était suivie ou si le drame est uniquement lié au hasard.
Quant Marc Preel, il a effacé son premier tweet et a depuis
reconnu qu'il n'avait "pas le niveau nécessaire d'info" avant de
s'exprimer sur le passage à tabac de son confrère de l'AFP.
Ok, banalisons les agressions. C'est tellement normal, n'est ce pas, de se faire cogner parce qu'on est journaliste et qu'on a un appareil photo autour du cou...
Signaler RépondrePauvre pays qui n'a pas compris qu'il était privilégié par rapport à la plupart des autres.
ouais, en gros il se baladait avec son appareil autour du cou et il s'est fait agressé. Ok, bon
Signaler RépondreFacile d'accuser les ultras lyonnais.
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