Il est soupçonné d’avoir passé plusieurs appels malveillants et d’avoir dégradé son véhicule.
Mais surtout, la perquisition au domicile du suspect a permis aux gendarmes de mettre la main sur un fusil de chasse et une carabine, et de découvrir un atelier de fabrication de munitions. Le mis en cause a reconnu les faits.
Présenté au parquet, il a été laissé libre et sera convoqué prochainement devant la justice.