Rhône : un religieux accusé d'agression sexuelle sur mineur se suicide

Rhône : un religieux accusé d'agression sexuelle sur mineur se suicide
Le dominicain enseignait à la fac catho de Lyon - LyonMag

Un dominicain âgé de 43 ans a été retrouvé mort ce samedi.

La Croix explique que le religieux s'est donné la mort alors qu'il était mis en examen pour agression sexuelle sur mineur.

Sous contrôle judiciaire, il s'était retiré en mars au couvent de la Tourette dans le Rhône après avoir été suspendu de la fac catho de Lyon où il enseignait la théologie et la littérature.

Sa victime présumée avait 14 ans et vivait dans l'Isère. Elle avait été confiée une journée au religieux, proche de sa famille.

Le dominicain avait reconnu les faits au printemps dernier. Mais avait cherché à les minimiser selon l'AFP.

Cette affaire était survenue en pleine affaire Preynat, autre prêtre accusé de pédophilie, qui a ébranlé le diocèse de Lyon.

X
50-100 sur 64 commentaires
Laisser un commentaire
avatar
Prions pour les lyncheurs qui n'ont pas manqué de se déchainer ... le 22/08/2016 à 11:15
"Un enfant ça ne ment pas"! a écrit le 22/08/2016 à 11h00

Aucun n'était prêtre ou religieux...

Un innocent se suicide :

"wpe1.jpg (5396 octets)V... J... (91) : directeur à Corbeil, dans le quartier des Tarterêts, accusé en février 99 de viol sur un enfant de trois ans qui a des saignements à l'anus.

Le directeur est rapidement mis hors de cause, et un examen de l'enfant révèle qu'il est simplement constipé.

Cependant la rumeur qui s'amplifie dans le quartier a deux conséquences : une manifestation des parents, après le soutien des collègues de l'école à leur directeur, et l'incendie de la maternelle.

Nommé directeur à la rentrée suivante dans une autre école, un coup de téléphone le déstabilise fortement.

L'administration n'accédant pas à sa demande d'être nommé sur un poste hors enfant, il se met en congé maladie, et sombre dans une profonde dépression.
Il se suicide en décembre 2002."

Citations-Illustrations trouvées sur le WEB...

"Mis en cause
Avertissement : les personnes mises en cause ci-dessous ont accepté que soit fait état de leur situation pour illustrer ce que JAMAC avance ; cela ne signifie pas que JAMAC prend en charge (matériellement, judiciairement…) l’affaire de ces personnes. Cela ne fait pas partie de l’objet que s’est donné JAMAC. Il existe pour cela d'autres associations fournissant à leurs adhérents des aides matérielles ou judiciaires, notamment la Fédération des Autonomes de Solidarité, ou les organisations syndicales.







wpe1.jpg (5396 octets) A... A... (49) Instituteur, accusé en novembre 96 à 48 ans. Dossier d’abord classé sans suite par le procureur, suspendu (juin 98) sans aucun fait nouveau, rétabli dans ses fonctions sur son poste la suspension ayant été considérée comme « excès de pouvoir » par le Tribunal Administratif. La justice est de nouveau saisie par une plainte contre X. Le juge d'instruction prononce une ordonnance de refus de plus ample informer. Sur appel du procureur, une nouvelle instruction est ouverte. Condamné en novembre 2004 à 6 mois de prison avec sursis, il est relaxé en appel, en octobre 2005.

wpe1.jpg (5396 octets) B... A... (93) Professeur en arts plastiques, accusé en mars 2000 « d’atteinte sexuelle sur mineures de [moins de] quinze ans par personne ayant autorité ». Après avoir recueilli des témoignages d’élèves, l’assistante sociale de l’établissement effectue un signalement au procureur. Garde à vue, suspension. Un comité de soutien se forme sur l’établissement. Le juge d’instruction émet une ordonnance de non-lieu le 19 décembre 2000. L’enseignant est réintégré sur son poste en janvier 2001. Le 23 mars 2001, le Recteur de l’académie de Créteil lui accorde le bénéfice de la protection juridique prévue à l’article 11 de la loi dite « Le Pors »

wpe1.jpg (5396 octets) B... S... (76) Instituteur, 38 ans, accusé en mars 96, mis en examen, garde à vue, perquisition, suspendu en janvier 97. Passage à mi-traitement en juillet 98 sur décision de l’Inspecteur d’Académie. Relaxé en procès en septembre 2000-
wpe1.jpg (5396 octets)

B... J... (93) Professeur de Sciences Physiques, accusé en octobre 98 à 55 ans, garde à vue, mis en examen, suspendu. La justice l’innocente en prononçant un non lieu le 11 mai 1999.L’enseignant porte plainte en dénonciation calomnieuse qui se conclut par un non-lieu. Saisit le Tribunal Administratif qui condamne l’état à lui verser plus de 34000 € pour remboursement des frais de justice et préjudice moral. Le Ministère fait appel.

wpe1.jpg (5396 octets) B... T... (14) éducateur en centre d’accueil médico-éducatif spécialisé, accusé en mars 2002 d’ « agression sexuelle sur personne vulnérable », garde à vue, classement sans suite par le Procureur de la République en juin 2002 ; le conseil de discipline de l’établissement décide de l’exclure de ses fonctions pour une période de quatre mois et demi en juin 2002 ; plainte avec constitution de partie civile de parents ; requalification de l’accusation en « violence sur une personne vulnérable », l’éducateur est entendu comme témoin assisté ; mis en examen en décembre 2005.

wpe1.jpg (5396 octets) B... L.... Educateur spécialisé, 35 ans, accusé en octobre 97, garde à vue. L’enquête pénale aboutit à un classement sans suite. Licencié en janvier 98. Obtient gain de cause en prud’hommes par rapport à son licenciement. Son employeur fait appel. Actuellement au chômage.

wpe1.jpg (5396 octets) B... J... (62) professeur de SVT en collège privé sous contrat, accusé de gestes déplacés, suspendu, garde à vue, condamné sans qu'il y ait eu d'instruction à 6 mois de prison avec sursis sans inscription au B2 (1) et 12500 F d'amende en première instance, relaxé en appel. La notification de la relaxe en appel par le tribunal argumente sur le fond, et s'étonne "qu'une affaire aussi importante n'ait pas fait l'objet d'une instruction et qu'elle ait été jugée à une audience tenue en Juge Unique" en première instance.

wpe1.jpg (5396 octets) C... J... (30) Instituteur, 38 ans, accusé en février 97, garde à vue, mis en examen, contrôle judiciaire. Condamné en juin 98 à 3 ans de prison dont 1 ferme, condamnation ramenée à 3 ans avec sursis en appel, se pourvoit en cassation. Suspendu, à mi traitement.
wpe1.jpg (5396 octets) C... V... (53) Professeur, signalé à la justice par son administration en Décembre 1997, garde à vue, se donne la mort le 18 Décembre 1997, après avoir clamé par écrit son innocence. Plainte contre X pour homicide involontaire déposée par sa famille, classée sans suite.

wpe1.jpg (5396 octets) C... B...(76) Instituteur,43 ans, accusé en décembre 97, garde à vue, perquisition, suspension. Passage à mi-traitement en juillet 98 sur décision de l’Inspecteur d’Académie. Condamné en 1ère instance (février 98) à 24 mois de prison dont 5 fermes, et en appel (octobre 98) à 24 mois de prison dont 6 mois

Je suppose que tous les innocents lyncheurs qui se sont déchainés à ces occasions dorment du "sommeil du juste"...

Signaler Répondre

avatar
Cherchez l'erreur le 22/08/2016 à 11:03
Il y a des suicides qui arrangent bien les ministres! a écrit le 22/08/2016 à 10h35

Si ce suicide pour "attouchements sexuels" n'impliquait personne d'autre que ce pauvre homme... ce n'était pas le cas pour le scandale de Villefontaine...

L'instituteur de Villefontaine s'est suicidé, lui avait reconnu les faits, les victimes se comptaient par dizaines...il était sous la responsabilité du Minisitère de l'Education Nationale et du Ministère de la Justice... mais ni TAUBIRA, ni BELKACEM n'ont démissionné... Pas de procès, pas de coupable, mais surtout pas de responsables!

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/04/05/01016-20160405ARTFIG00082-villefontaine-le-directeur-d-ecole-accuse-de-pedophilie-se-suicide-en-prison.php

Mais l'instituteur de Villefontaine à été incarcéré, et pas mis dans un couvent.

Mesdames Taubira et Belkacem ont d'ailleurs ordonné suite à cette affaire le contrôle de plus de 900 000 personnels de l'Education Nationale alors que dans le même temps votre église embauchait un cabinet de gestion de crise pour gérer sa communication.

Signaler Répondre

avatar
"Un enfant ça ne ment pas"! le 22/08/2016 à 11:00

Aucun n'était prêtre ou religieux...

Un innocent se suicide :

"wpe1.jpg (5396 octets)V... J... (91) : directeur à Corbeil, dans le quartier des Tarterêts, accusé en février 99 de viol sur un enfant de trois ans qui a des saignements à l'anus.

Le directeur est rapidement mis hors de cause, et un examen de l'enfant révèle qu'il est simplement constipé.

Cependant la rumeur qui s'amplifie dans le quartier a deux conséquences : une manifestation des parents, après le soutien des collègues de l'école à leur directeur, et l'incendie de la maternelle.

Nommé directeur à la rentrée suivante dans une autre école, un coup de téléphone le déstabilise fortement.

L'administration n'accédant pas à sa demande d'être nommé sur un poste hors enfant, il se met en congé maladie, et sombre dans une profonde dépression.
Il se suicide en décembre 2002."

Citations-Illustrations trouvées sur le WEB...

"Mis en cause
Avertissement : les personnes mises en cause ci-dessous ont accepté que soit fait état de leur situation pour illustrer ce que JAMAC avance ; cela ne signifie pas que JAMAC prend en charge (matériellement, judiciairement…) l’affaire de ces personnes. Cela ne fait pas partie de l’objet que s’est donné JAMAC. Il existe pour cela d'autres associations fournissant à leurs adhérents des aides matérielles ou judiciaires, notamment la Fédération des Autonomes de Solidarité, ou les organisations syndicales.







wpe1.jpg (5396 octets) A... A... (49) Instituteur, accusé en novembre 96 à 48 ans. Dossier d’abord classé sans suite par le procureur, suspendu (juin 98) sans aucun fait nouveau, rétabli dans ses fonctions sur son poste la suspension ayant été considérée comme « excès de pouvoir » par le Tribunal Administratif. La justice est de nouveau saisie par une plainte contre X. Le juge d'instruction prononce une ordonnance de refus de plus ample informer. Sur appel du procureur, une nouvelle instruction est ouverte. Condamné en novembre 2004 à 6 mois de prison avec sursis, il est relaxé en appel, en octobre 2005.

wpe1.jpg (5396 octets) B... A... (93) Professeur en arts plastiques, accusé en mars 2000 « d’atteinte sexuelle sur mineures de [moins de] quinze ans par personne ayant autorité ». Après avoir recueilli des témoignages d’élèves, l’assistante sociale de l’établissement effectue un signalement au procureur. Garde à vue, suspension. Un comité de soutien se forme sur l’établissement. Le juge d’instruction émet une ordonnance de non-lieu le 19 décembre 2000. L’enseignant est réintégré sur son poste en janvier 2001. Le 23 mars 2001, le Recteur de l’académie de Créteil lui accorde le bénéfice de la protection juridique prévue à l’article 11 de la loi dite « Le Pors »

wpe1.jpg (5396 octets) B... S... (76) Instituteur, 38 ans, accusé en mars 96, mis en examen, garde à vue, perquisition, suspendu en janvier 97. Passage à mi-traitement en juillet 98 sur décision de l’Inspecteur d’Académie. Relaxé en procès en septembre 2000-
wpe1.jpg (5396 octets)

B... J... (93) Professeur de Sciences Physiques, accusé en octobre 98 à 55 ans, garde à vue, mis en examen, suspendu. La justice l’innocente en prononçant un non lieu le 11 mai 1999.L’enseignant porte plainte en dénonciation calomnieuse qui se conclut par un non-lieu. Saisit le Tribunal Administratif qui condamne l’état à lui verser plus de 34000 € pour remboursement des frais de justice et préjudice moral. Le Ministère fait appel.

wpe1.jpg (5396 octets) B... T... (14) éducateur en centre d’accueil médico-éducatif spécialisé, accusé en mars 2002 d’ « agression sexuelle sur personne vulnérable », garde à vue, classement sans suite par le Procureur de la République en juin 2002 ; le conseil de discipline de l’établissement décide de l’exclure de ses fonctions pour une période de quatre mois et demi en juin 2002 ; plainte avec constitution de partie civile de parents ; requalification de l’accusation en « violence sur une personne vulnérable », l’éducateur est entendu comme témoin assisté ; mis en examen en décembre 2005.

wpe1.jpg (5396 octets) B... L.... Educateur spécialisé, 35 ans, accusé en octobre 97, garde à vue. L’enquête pénale aboutit à un classement sans suite. Licencié en janvier 98. Obtient gain de cause en prud’hommes par rapport à son licenciement. Son employeur fait appel. Actuellement au chômage.

wpe1.jpg (5396 octets) B... J... (62) professeur de SVT en collège privé sous contrat, accusé de gestes déplacés, suspendu, garde à vue, condamné sans qu'il y ait eu d'instruction à 6 mois de prison avec sursis sans inscription au B2 (1) et 12500 F d'amende en première instance, relaxé en appel. La notification de la relaxe en appel par le tribunal argumente sur le fond, et s'étonne "qu'une affaire aussi importante n'ait pas fait l'objet d'une instruction et qu'elle ait été jugée à une audience tenue en Juge Unique" en première instance.

wpe1.jpg (5396 octets) C... J... (30) Instituteur, 38 ans, accusé en février 97, garde à vue, mis en examen, contrôle judiciaire. Condamné en juin 98 à 3 ans de prison dont 1 ferme, condamnation ramenée à 3 ans avec sursis en appel, se pourvoit en cassation. Suspendu, à mi traitement.
wpe1.jpg (5396 octets) C... V... (53) Professeur, signalé à la justice par son administration en Décembre 1997, garde à vue, se donne la mort le 18 Décembre 1997, après avoir clamé par écrit son innocence. Plainte contre X pour homicide involontaire déposée par sa famille, classée sans suite.

wpe1.jpg (5396 octets) C... B...(76) Instituteur,43 ans, accusé en décembre 97, garde à vue, perquisition, suspension. Passage à mi-traitement en juillet 98 sur décision de l’Inspecteur d’Académie. Condamné en 1ère instance (février 98) à 24 mois de prison dont 5 fermes, et en appel (octobre 98) à 24 mois de prison dont 6 mois

Signaler Répondre

avatar
Question? le 22/08/2016 à 10:57
"Il n'y a pas de fumée sans feu" ! a écrit le 22/08/2016 à 10h44

Dossier : recension des affaires de fausses accusations d’abus sexuel (màj régulières)

L’ampleur quantitative des fausses accusations (d’abus sexuel) est sous-estimée par l’opinion, pour plusieurs raisons :

- celles qui sont classées sans suite, donc sans qu’il y ait procès, ne viennent pas à la connaissance des médias ;

- beaucoup touchent des anonymes et ne sont évoquées que par les médias régionaux, même si elles arrivent au tribunal ;

- le temps de l’enquête et celui de la condamnation sont médiatisés en proportion inverse du temps de l’acquittement ;

- certains condamnés non-coupables ne sont jamais innocentés ;

- aucun organisme officiel ne s’est jamais attelé à en faire la comptabilité.

La présente recension, qui demeurera forcément incomplète, s’efforce de pallier à cet état de fait, et de montrer que les fausses accusations sont un phénomène contemporain récurrent et massif.

Les affaires sont classées chronologiquement en fonction de la date de leur déclenchement.

Autre recension, concernant les enseignants mis en cause : collectif.jamac.free.fr/misencause/misencause.htm

été 2016 : UN PERE BRITANNIQUE ( ?)

Sa fille adolescente l’accuse de l’avoir violée à 8 reprises en 6 ans, et parvient à concaincre la police de sa crédibilité. L’avocate du père, Cathy Mc Culloch, est frappée par la maturité du discours de la jeune fille. Lorsque le père lui explique que la lecture préférée de celle-ci est Cinquante nuances de Grey, elle lit l’ouvrage et découvre des similitudes frappantes.

A l’audience, il ne lui faut que 7 minutes pour confondre la jeune fille, qui reconnaît que sa plainte n’a pas de réalité, et qu’elle s’est largement inspirée du roman. Ceci pour se venger de son père, qu’elle touve trop autoritaire. (Voir en 199ç, Antonio Madeira : même rôle déterminant des séries).

http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-elle-avoue-s-etre-inspiree-de-50-nuances-de-grey-pour-accuser-son-pere-de-viols/mpho !lryeqWft8jJMk/ ?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Twitter&utm_term=Autofeed#link_time=1471263063



27 octobre 2015 : AFFAIRE DE CARVIN (Pas-de-Calais)

A Carvin , une femme de 36 ans dépose plainte contre son ex, l’accusant de l’avoir violée pendant qu’un complice faisait le guet. A l’hôpital, elle refuse les prélèvements du médecin légiste. L’analyse de ses communications téléphoniques montre qu’elle a envoyé des messages au moment du présumé viol, puis elle déclare vouloir retirer sa plainte par crainte des représailles. Confrontée à d’autres incohérences, le 29 octobre, elle reconnaît avoir tout inventé pour se venger de son ex. Ce dernier porte plainte contre elle, ainsi que le parquet de Béthune.

http://www.lavoixdunord.fr/region/carvin-elle-accuse-son-ex-de-viol-pour-se-venger-de-lui-ia34b54028n3139552



13 septembre 2015 : AFFAIRE DU TRANSILIEN LA DEFENSE-VERSAILLES

Une femme de 19 ans porte plainte, affirmant avoir été violée par un homme dans le Transilien la Défense-Versailles, au retour d’une soirée en boîte de nuit. Au bout de la quatrième audition, elle avoue avoir inventé l’histoire, par ressenti d’abandon de la part de sa mère. Le 17 février 2016, elle est condamnée par le TGI de Versailles à un mois de prison pour "dénonciation de crime imaginaire".

http://www.ouest-france.fr/versailles-une-jeune-femme-devant-la-justice-pour-avoir-invente-un-viol-3697155


2 juin 2015 : UN PROF DE GRAY (Haute-Saône)

Une ancienne élève du Lycée Cournot porte plainte contre ce prof de SVT, l’accusant d’avoir essayé de l’embrasser. Il est convoqué par l’administration du lycée qui l’en informe. Mais la dite administration, quoique forcément au courant des fortes répercussions émotionnelles qu’a eu ce genre d’annonce dans nombre d’affaires antérieures, ne prend aucune précaution particulière, par exemple celle de le faire accompagner. Celui-ci se suicide dans la nuit du 7 au 8 juin.
Voir affaires analogues : Bernard Hanse (7 juin 97), Paul Jacquin (12 avril 2001).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/29/97001-20150629FILWWW00361-vise-par-une-plainte-d-elevbe-un-professeur-se-suicide.php


avril 2015 : UN AUSTRALIEN SUITE A UN SELFIE (Melbourne)


Il prend un selfie à côté d’une affiche de Dark Vador, pour l’envoyer à ses enfants. Une mère de famille qui fait ses course juste à côté de lui croit qu’elle photographie ses enfants, prend un cliché de lui et le publie sur les réseaux sociaux, l’accusant d’avoir des intentions douteuses. La publication est vue 20 000 fois, reçoit maintes insultes et menace de mort, avant que son accusatrice ne s’excuse publiquement.


http://www.lexpress.fr/insolite/un-homme-accuse-a-tort-de-pedophilie-apres-avoir-pris-un-selfie_1679367.html


( ?) 2014 : JIAN GHOMESCHI (Canada)

Dans une enquête du Toronto Star, huit femmes dénoncent cet animateur télé très populaire, qui les aurait violentées physiquement et sexuellement en 2002 et 2003, puis portent plainte contre lui. En mars 2016, à Toronto, un premier procès instruit les plaintes de trois d’entre elles. L’avocate de JG les interroge très précisément, et pulvérise leur crédibilité : versions des faits contradictoires, dissimulation d’informations, reprise de relations amicales après les présumées agressions. Au point que JG n’a même pas à témoigner. Le 24 mars, le juge le déclare non-coupable, au titre qu’il ne peut pas se fier aux témoignages des plaignantes.

http://plus.lapresse.ca/screens/66d990a4-7f68-4866-aa97-bd0e3038477d|OwA6kd7-IweY.html

20 octobre 2014 : AFFAIRE CAROLE THOMAS (Québec)


Cette québécoise de 47 ans prétend avoir été entraînée par un homme dans une voiture et agressée sexuellement à Longueil, dans le même secteur où a été retrouvé, deux jours

Pourquoi parler de "fausse accusations" alors qu'il avait « partiellement reconnu les faits en les minimisant »?

Signaler Répondre

avatar
Indignation sélective! le 22/08/2016 à 10:48
"la parole d'un enfant c'est sacré"! a écrit le 22/08/2016 à 10h40

2 Octobre 2007 L'école du soupçon, sur France 5.

Le documentaire inédit "L'école du soupçon". Un film qui selon le Monde se distingue à la fois par la rigueur de son propos et par les questions complexes et délicates qu'il soulève.
Depuis plusieurs années, des dizaines d'enseignants [ ndlr : et les prêtres?...] ont été accusés de pédophilie.

A tort pour les trois quarts d'entre eux, blanchis par la justice, "après de longues procédures, éprouvantes et parfois dévastatrices".

Dossier de presse :

Face aux affaires de pédophilie, et tout en voulant protéger les enfants, certains experts tirent régulièrement la sonnette d'alarme pour inciter les politiques, les médias et l'opinion publique à se garder de jugements hâtifs.

Ce film se penche sur les dérives de la lutte contre la pédophilie et à leurs conséquences, notamment sur l'évolution de l'école.

Mes élèves peuvent s'entre-tuer dans le vestiaire, je n'y entrerai pas, explique Bruno, professeur d'éducation physique. Je préfère être accusé de non-assistance à personne en danger que d'agression sexuelle sur mineur. Dans un cas, je pourrai me défendre, dans l'autre non."

Cet enseignant, victime d'un règlement de comptes de la part d'élèves et accusé à tort d'agressions sexuelles, exprime le sentiment de la plupart de ses confrères face aux accusations de pédophilie de plus en plus fréquentes.

"Ce fut une très mauvaise parenthèse dans ma vie", confie de son côté Vincent, instituteur de maternelle, accusé par une fillette, puis disculpé après deux ans de mise en examen.

Depuis l'arrestation en 1996 du tristement célèbre Marc Dutroux, et l'adoption en 1997 de la circulaire Royal, qui impose le signalement au procureur du moindre "fait" suspect, les accusations de pédophilie en milieu scolaire se sont multipliées.

Si des coupables ont été démasqués, des centaines d'innocents ont vu leur vie brisée.

Alors que ces agressions ont fait l'objet d'un déni en France pendant des années, l'affaire d'Outreau a montré, à l'inverse, comment la machine judiciaire pouvait s'emballer.

La journaliste Marie-Monique Robin aborde les différents aspects des dérives de la lutte contre la pédophilie : la complexité des interrogatoires d'enfants, les recherches effectuées sur la parole de l'enfant, la situation dans d'autres pays (Québec, Belgique), les films de prévention et les fausses accusations qu'ils peuvent engendrer.

Pour le collectif Jamac, qui regroupe des enseignants accusés de pédophilie, il est nécessaire de "ne pas bafouer la présomption d'innocence, de prendre le temps de confronter la parole de l'enfant à l'expertise d'un spécialiste".

Aujourd'hui, les instituteurs en sont venus à éviter tout contact avec leurs élèves qui pourrait générer des sous-entendus, tout en essayant d’exercer leur métier le mieux possible.

Ainsi, sur l'île de la Réunion, Charles, professeur d'éducation physique accusé puis blanchi, dit avoir peur d'exercer son métier : "J'évite les sports de contact comme la lutte et le judo, mais ça remet en cause ma pédagogie."

En filigrane, c'est la question de l'avenir de l'enseignement que pose cette enquête. L'école de demain sera-t-elle celle du perpétuel soupçon, de la paranoïa ou de la confiance retrouvée ? ( Stéphanie Thonnet, France 5 )

#France 4 - France 5
http://www.leblogtvnews.com/article-12770420.html

les lyncheurs de Lyon-Mag ont une propension à lyncher plus facilement les religieux de préférence catholique...plutôt que des enseignants ou des homosexuels... vous avez dit bizarre...comme c'est bizarre!

Pourtant leurs deux stars préférées sont TAUBIRA et BELKACEM! (Qui ose venir se pésenter à Villeurbanne...à Villefontaine, elle n'a pas osé! :-)))

Signaler Répondre

avatar
"Il n'y a pas de fumée sans feu" ! le 22/08/2016 à 10:44

Dossier : recension des affaires de fausses accusations d’abus sexuel (màj régulières)

L’ampleur quantitative des fausses accusations (d’abus sexuel) est sous-estimée par l’opinion, pour plusieurs raisons :

- celles qui sont classées sans suite, donc sans qu’il y ait procès, ne viennent pas à la connaissance des médias ;

- beaucoup touchent des anonymes et ne sont évoquées que par les médias régionaux, même si elles arrivent au tribunal ;

- le temps de l’enquête et celui de la condamnation sont médiatisés en proportion inverse du temps de l’acquittement ;

- certains condamnés non-coupables ne sont jamais innocentés ;

- aucun organisme officiel ne s’est jamais attelé à en faire la comptabilité.

La présente recension, qui demeurera forcément incomplète, s’efforce de pallier à cet état de fait, et de montrer que les fausses accusations sont un phénomène contemporain récurrent et massif.

Les affaires sont classées chronologiquement en fonction de la date de leur déclenchement.

Autre recension, concernant les enseignants mis en cause : collectif.jamac.free.fr/misencause/misencause.htm

été 2016 : UN PERE BRITANNIQUE ( ?)

Sa fille adolescente l’accuse de l’avoir violée à 8 reprises en 6 ans, et parvient à concaincre la police de sa crédibilité. L’avocate du père, Cathy Mc Culloch, est frappée par la maturité du discours de la jeune fille. Lorsque le père lui explique que la lecture préférée de celle-ci est Cinquante nuances de Grey, elle lit l’ouvrage et découvre des similitudes frappantes.

A l’audience, il ne lui faut que 7 minutes pour confondre la jeune fille, qui reconnaît que sa plainte n’a pas de réalité, et qu’elle s’est largement inspirée du roman. Ceci pour se venger de son père, qu’elle touve trop autoritaire. (Voir en 199ç, Antonio Madeira : même rôle déterminant des séries).

http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-elle-avoue-s-etre-inspiree-de-50-nuances-de-grey-pour-accuser-son-pere-de-viols/mpho !lryeqWft8jJMk/ ?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Twitter&utm_term=Autofeed#link_time=1471263063



27 octobre 2015 : AFFAIRE DE CARVIN (Pas-de-Calais)

A Carvin , une femme de 36 ans dépose plainte contre son ex, l’accusant de l’avoir violée pendant qu’un complice faisait le guet. A l’hôpital, elle refuse les prélèvements du médecin légiste. L’analyse de ses communications téléphoniques montre qu’elle a envoyé des messages au moment du présumé viol, puis elle déclare vouloir retirer sa plainte par crainte des représailles. Confrontée à d’autres incohérences, le 29 octobre, elle reconnaît avoir tout inventé pour se venger de son ex. Ce dernier porte plainte contre elle, ainsi que le parquet de Béthune.

http://www.lavoixdunord.fr/region/carvin-elle-accuse-son-ex-de-viol-pour-se-venger-de-lui-ia34b54028n3139552



13 septembre 2015 : AFFAIRE DU TRANSILIEN LA DEFENSE-VERSAILLES

Une femme de 19 ans porte plainte, affirmant avoir été violée par un homme dans le Transilien la Défense-Versailles, au retour d’une soirée en boîte de nuit. Au bout de la quatrième audition, elle avoue avoir inventé l’histoire, par ressenti d’abandon de la part de sa mère. Le 17 février 2016, elle est condamnée par le TGI de Versailles à un mois de prison pour "dénonciation de crime imaginaire".

http://www.ouest-france.fr/versailles-une-jeune-femme-devant-la-justice-pour-avoir-invente-un-viol-3697155


2 juin 2015 : UN PROF DE GRAY (Haute-Saône)

Une ancienne élève du Lycée Cournot porte plainte contre ce prof de SVT, l’accusant d’avoir essayé de l’embrasser. Il est convoqué par l’administration du lycée qui l’en informe. Mais la dite administration, quoique forcément au courant des fortes répercussions émotionnelles qu’a eu ce genre d’annonce dans nombre d’affaires antérieures, ne prend aucune précaution particulière, par exemple celle de le faire accompagner. Celui-ci se suicide dans la nuit du 7 au 8 juin.
Voir affaires analogues : Bernard Hanse (7 juin 97), Paul Jacquin (12 avril 2001).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/29/97001-20150629FILWWW00361-vise-par-une-plainte-d-elevbe-un-professeur-se-suicide.php


avril 2015 : UN AUSTRALIEN SUITE A UN SELFIE (Melbourne)


Il prend un selfie à côté d’une affiche de Dark Vador, pour l’envoyer à ses enfants. Une mère de famille qui fait ses course juste à côté de lui croit qu’elle photographie ses enfants, prend un cliché de lui et le publie sur les réseaux sociaux, l’accusant d’avoir des intentions douteuses. La publication est vue 20 000 fois, reçoit maintes insultes et menace de mort, avant que son accusatrice ne s’excuse publiquement.


http://www.lexpress.fr/insolite/un-homme-accuse-a-tort-de-pedophilie-apres-avoir-pris-un-selfie_1679367.html


( ?) 2014 : JIAN GHOMESCHI (Canada)

Dans une enquête du Toronto Star, huit femmes dénoncent cet animateur télé très populaire, qui les aurait violentées physiquement et sexuellement en 2002 et 2003, puis portent plainte contre lui. En mars 2016, à Toronto, un premier procès instruit les plaintes de trois d’entre elles. L’avocate de JG les interroge très précisément, et pulvérise leur crédibilité : versions des faits contradictoires, dissimulation d’informations, reprise de relations amicales après les présumées agressions. Au point que JG n’a même pas à témoigner. Le 24 mars, le juge le déclare non-coupable, au titre qu’il ne peut pas se fier aux témoignages des plaignantes.

http://plus.lapresse.ca/screens/66d990a4-7f68-4866-aa97-bd0e3038477d|OwA6kd7-IweY.html

20 octobre 2014 : AFFAIRE CAROLE THOMAS (Québec)


Cette québécoise de 47 ans prétend avoir été entraînée par un homme dans une voiture et agressée sexuellement à Longueil, dans le même secteur où a été retrouvé, deux jours

Signaler Répondre

avatar
"la parole d'un enfant c'est sacré"! le 22/08/2016 à 10:40

2 Octobre 2007 L'école du soupçon, sur France 5.

Le documentaire inédit "L'école du soupçon". Un film qui selon le Monde se distingue à la fois par la rigueur de son propos et par les questions complexes et délicates qu'il soulève.
Depuis plusieurs années, des dizaines d'enseignants [ ndlr : et les prêtres?...] ont été accusés de pédophilie.

A tort pour les trois quarts d'entre eux, blanchis par la justice, "après de longues procédures, éprouvantes et parfois dévastatrices".

Dossier de presse :

Face aux affaires de pédophilie, et tout en voulant protéger les enfants, certains experts tirent régulièrement la sonnette d'alarme pour inciter les politiques, les médias et l'opinion publique à se garder de jugements hâtifs.

Ce film se penche sur les dérives de la lutte contre la pédophilie et à leurs conséquences, notamment sur l'évolution de l'école.

Mes élèves peuvent s'entre-tuer dans le vestiaire, je n'y entrerai pas, explique Bruno, professeur d'éducation physique. Je préfère être accusé de non-assistance à personne en danger que d'agression sexuelle sur mineur. Dans un cas, je pourrai me défendre, dans l'autre non."

Cet enseignant, victime d'un règlement de comptes de la part d'élèves et accusé à tort d'agressions sexuelles, exprime le sentiment de la plupart de ses confrères face aux accusations de pédophilie de plus en plus fréquentes.

"Ce fut une très mauvaise parenthèse dans ma vie", confie de son côté Vincent, instituteur de maternelle, accusé par une fillette, puis disculpé après deux ans de mise en examen.

Depuis l'arrestation en 1996 du tristement célèbre Marc Dutroux, et l'adoption en 1997 de la circulaire Royal, qui impose le signalement au procureur du moindre "fait" suspect, les accusations de pédophilie en milieu scolaire se sont multipliées.

Si des coupables ont été démasqués, des centaines d'innocents ont vu leur vie brisée.

Alors que ces agressions ont fait l'objet d'un déni en France pendant des années, l'affaire d'Outreau a montré, à l'inverse, comment la machine judiciaire pouvait s'emballer.

La journaliste Marie-Monique Robin aborde les différents aspects des dérives de la lutte contre la pédophilie : la complexité des interrogatoires d'enfants, les recherches effectuées sur la parole de l'enfant, la situation dans d'autres pays (Québec, Belgique), les films de prévention et les fausses accusations qu'ils peuvent engendrer.

Pour le collectif Jamac, qui regroupe des enseignants accusés de pédophilie, il est nécessaire de "ne pas bafouer la présomption d'innocence, de prendre le temps de confronter la parole de l'enfant à l'expertise d'un spécialiste".

Aujourd'hui, les instituteurs en sont venus à éviter tout contact avec leurs élèves qui pourrait générer des sous-entendus, tout en essayant d’exercer leur métier le mieux possible.

Ainsi, sur l'île de la Réunion, Charles, professeur d'éducation physique accusé puis blanchi, dit avoir peur d'exercer son métier : "J'évite les sports de contact comme la lutte et le judo, mais ça remet en cause ma pédagogie."

En filigrane, c'est la question de l'avenir de l'enseignement que pose cette enquête. L'école de demain sera-t-elle celle du perpétuel soupçon, de la paranoïa ou de la confiance retrouvée ? ( Stéphanie Thonnet, France 5 )

#France 4 - France 5
http://www.leblogtvnews.com/article-12770420.html

Signaler Répondre

avatar
Collabo le 22/08/2016 à 10:38
Chacals! a écrit le 22/08/2016 à 09h55

Les lyncheurs ont gagné...ils pourront dire "qu'ils n'y sont pour rien"... et si ce pauvre homme s'est donné la mort... c'est qu'il était coupable!

C'est toujours comme ça avec les lyncheurs... le bouc émissaire qu'on a assassiné collectivement "sans y mettre la main" était bien coupable puisqu"il est mort... il n'y aura pas de procès ainsi in en saura rien sur la vérité des faits... le rumeur et des accusations d'un mineur... dont on sait que dans d'autres affaires elles ont amené des innocents à se suicider!

De toute façon le mal était fait...quelque soit la réalité des faits reprochés... condamner avant même son procès...

Il arrive que le lynchage mène au suicide...

Mgr Barbarin a résisté..., il ne s'est ni suicidé physiquement, ni religieusement... les lyncheurs ont au moins uin mort sur la conscience...

"Agressions sexuelles" voilà le mot infâme qui recouvrent des réalités bien différentes!

Ce religieux est mort pour des "attouchements"! Pas parce qu'il avait sodomiser un gamin de 14 ans, ni même pour l'avoir obligé à une fellation!...pour des "attouchements"... quoi au juste, on en saura rien...

http://www.leprogres.fr/rhone/2016/03/03/un-religieux-accuse-d-agression-sexuelle

Dites donc le catholiban, plutôt que d'incriminer les médias, la société, les citoyens ...... il ne vous viendrait pas à l'idée d'avoir un regard critique sur votre religion si souvent confondu dans des affaires de pédophilie depuis des décennies?

Mais non, il vous est plus facile, à l'instar de jean paul 2 qui accusait le communisme d'être responsable de la pédophilie dans son église, de continuer de fermer les yeux et de couvrir les coupables.

Signaler Répondre

avatar
Vox Agora le 22/08/2016 à 10:36
Chacals! a écrit le 22/08/2016 à 09h55

Les lyncheurs ont gagné...ils pourront dire "qu'ils n'y sont pour rien"... et si ce pauvre homme s'est donné la mort... c'est qu'il était coupable!

C'est toujours comme ça avec les lyncheurs... le bouc émissaire qu'on a assassiné collectivement "sans y mettre la main" était bien coupable puisqu"il est mort... il n'y aura pas de procès ainsi in en saura rien sur la vérité des faits... le rumeur et des accusations d'un mineur... dont on sait que dans d'autres affaires elles ont amené des innocents à se suicider!

De toute façon le mal était fait...quelque soit la réalité des faits reprochés... condamner avant même son procès...

Il arrive que le lynchage mène au suicide...

Mgr Barbarin a résisté..., il ne s'est ni suicidé physiquement, ni religieusement... les lyncheurs ont au moins uin mort sur la conscience...

"Agressions sexuelles" voilà le mot infâme qui recouvrent des réalités bien différentes!

Ce religieux est mort pour des "attouchements"! Pas parce qu'il avait sodomiser un gamin de 14 ans, ni même pour l'avoir obligé à une fellation!...pour des "attouchements"... quoi au juste, on en saura rien...

http://www.leprogres.fr/rhone/2016/03/03/un-religieux-accuse-d-agression-sexuelle

Vous avez raison c'est vraiment honteux d'accuser un homme qui a avoué avoir commis des agressions sexuelles sur mineur

On aurait du lui offrir une promotion au diocèse ! Mais que fait Mgr Barbarin ?

Une pensée pour cet enfant.

Signaler Répondre

avatar
Il y a des suicides qui arrangent bien les ministres! le 22/08/2016 à 10:35

Si ce suicide pour "attouchements sexuels" n'impliquait personne d'autre que ce pauvre homme... ce n'était pas le cas pour le scandale de Villefontaine...

L'instituteur de Villefontaine s'est suicidé, lui avait reconnu les faits, les victimes se comptaient par dizaines...il était sous la responsabilité du Minisitère de l'Education Nationale et du Ministère de la Justice... mais ni TAUBIRA, ni BELKACEM n'ont démissionné... Pas de procès, pas de coupable, mais surtout pas de responsables!

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/04/05/01016-20160405ARTFIG00082-villefontaine-le-directeur-d-ecole-accuse-de-pedophilie-se-suicide-en-prison.php

Signaler Répondre

avatar
Pourquoi cette photo? le 22/08/2016 à 10:29

Pourquoi mettre une photo de prêtre...alors qu'il s'agit d'un religieux? Ce religieux était-il prêtre? Est-ce une question de droit d'auteur?

Signaler Répondre

avatar
"Crime contre l'humanité"! le 22/08/2016 à 10:26
Chacals! a écrit le 22/08/2016 à 09h55

Les lyncheurs ont gagné...ils pourront dire "qu'ils n'y sont pour rien"... et si ce pauvre homme s'est donné la mort... c'est qu'il était coupable!

C'est toujours comme ça avec les lyncheurs... le bouc émissaire qu'on a assassiné collectivement "sans y mettre la main" était bien coupable puisqu"il est mort... il n'y aura pas de procès ainsi in en saura rien sur la vérité des faits... le rumeur et des accusations d'un mineur... dont on sait que dans d'autres affaires elles ont amené des innocents à se suicider!

De toute façon le mal était fait...quelque soit la réalité des faits reprochés... condamner avant même son procès...

Il arrive que le lynchage mène au suicide...

Mgr Barbarin a résisté..., il ne s'est ni suicidé physiquement, ni religieusement... les lyncheurs ont au moins uin mort sur la conscience...

"Agressions sexuelles" voilà le mot infâme qui recouvrent des réalités bien différentes!

Ce religieux est mort pour des "attouchements"! Pas parce qu'il avait sodomiser un gamin de 14 ans, ni même pour l'avoir obligé à une fellation!...pour des "attouchements"... quoi au juste, on en saura rien...

http://www.leprogres.fr/rhone/2016/03/03/un-religieux-accuse-d-agression-sexuelle

Certains voudraient faire des "attouchements sexuels" des crimes contre l'humanité" ...

http://www.bfmtv.com/societe/scandales-de-pedophilie-les-actes-pedophiles-sont-des-crimes-contre-l-humanite-963650.html

On nage en plein délire ... ceux qui se prétendent justiciers ne sont bien souvent que des vengeurs... ils en arrivent se confondre avec ...l'humanité!

Signaler Répondre

avatar
Chacals! le 22/08/2016 à 09:55

Les lyncheurs ont gagné...ils pourront dire "qu'ils n'y sont pour rien"... et si ce pauvre homme s'est donné la mort... c'est qu'il était coupable!

C'est toujours comme ça avec les lyncheurs... le bouc émissaire qu'on a assassiné collectivement "sans y mettre la main" était bien coupable puisqu"il est mort... il n'y aura pas de procès ainsi in en saura rien sur la vérité des faits... le rumeur et des accusations d'un mineur... dont on sait que dans d'autres affaires elles ont amené des innocents à se suicider!

De toute façon le mal était fait...quelque soit la réalité des faits reprochés... condamner avant même son procès...

Il arrive que le lynchage mène au suicide...

Mgr Barbarin a résisté..., il ne s'est ni suicidé physiquement, ni religieusement... les lyncheurs ont au moins uin mort sur la conscience...

"Agressions sexuelles" voilà le mot infâme qui recouvrent des réalités bien différentes!

Ce religieux est mort pour des "attouchements"! Pas parce qu'il avait sodomiser un gamin de 14 ans, ni même pour l'avoir obligé à une fellation!...pour des "attouchements"... quoi au juste, on en saura rien...

http://www.leprogres.fr/rhone/2016/03/03/un-religieux-accuse-d-agression-sexuelle

Signaler Répondre

avatar
Claire Ical le 22/08/2016 à 09:17

C'est encore le meilleur moyen d'échapper à la justice des hommes

Barbarin aurait pu dire : heureusement il s'est suicidé

Signaler Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.
Les champs requis sont identifiés par une étoile *
Si vous avez un compte Lyon Mag, connectez-vous.
Nous ne vous enverrons pas d'email sans votre autorisation.

Le compte Lyon Mag est gratuit et facultatif. Il vous permet notamment de réserver votre pseudonyme pour les commentaires, afin que personne ne puisse utiliser le pseudo que vous avez enregistré.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.