Il faut dire que le policier incriminé, qui dépend de la sous-direction de l'Information générale, ex-RG, demandait également dans son courriel si certains employés avaient "demandé des aménagements d'horaires ou de service pour pratiquer leur religion".
"Ce fonctionnaire a sans doute cru bien faire", a réagi Jacques Gérault, précisant que le policier avait été jusqu'à présent "bien noté" et qu'il "regrettait beaucoup son acte". Mais il a été sanctionné d'un blâme et muté d'office.