8 mois de prison ferme pour un maçon lyonnais
Il a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel. Lors de ses déplacements sur des chantiers à l’extérieur de Lyon, il mettait son studio du 2e arrondissement à disposition de prostituées du quai Perrache contre rémunération. Il avait même remis des doubles de ses clés à plusieurs d’entre elles. La compagne du prévenu a également été interpellée, mais aucune charge n’a été retenue contre elle. L’homme accomplira sa peine sous le régime de la semi-liberté.
Maintien en détention pour deux suspects dans l’enquête sur le meurtre du petit Amar
Leurs avocats avaient déposé une demande de placement sous contrôle judiciaire. Mais la chambre de l’instruction a ordonné jeudi le maintien en détention des deux suspects. Ces deux jeunes ont été mis en examen pour assassinat et tentative d’assassinat. Ils sont soupçonnés d’avoir participé au commando qui a coûté la vie au jeune Amar, à Mermoz, en décembre dernier. Des résidus de poudre ayant été retrouvés sur leur vêtement.
L'instruction sur l'accident mortel de Saint-Fons ne sera pas rouverte
Confirmation mercredi de la cour d'appel de Lyon après l'ordonnance de non-lieu prise l'été dernier par le juge d'instruction. Deux adolescents avaient trouvé la mort en février 2007 quand la voiture volée dans laquelle ils se trouvaient avec deux autres jeunes avait percuté violemment un mur alors qu’ils étaient pris en chasse par la police. Les familles avaient porté plainte contre X pour homicide involontaire. Elles devraient maintenant se pourvoir en cassation.
Six mois de prison ferme pour le vol d’un téléphone portable
Condamnation prononcée mercredi par le tribunal correctionnel de Lyon à l’encontre d’un jeune homme de 26 ans. Celui-ci a déjà passé 5 années en détention. Samedi soir, il avait dérobé le portable d’un passant près de l’hôtel de ville. Il n’a pas su expliquer son geste à la barre. Il a été écroué à l’issue de son procès mais dans un centre de semi-liberté afin de pouvoir continuer à travailler.
Huit mois de prison ferme pour les agresseurs d’un touriste mexicain
Ce sont deux SDF de 21 et 23 ans, sous la menace d’une reconduite imminente à la frontière, qui ont été condamnées mardi en comparution immédiate à Lyon. Ils ont été reconnus coupables d’agression et de vol sur un jeune mexicain tôt dimanche matin aux abords de l’Opéra de Lyon. Les deux prévenus ont été placés sous mandat de dépôt.
La principale du collège Joliot-Curie de Bron porte plainte
Vendredi dernier, elle a été bousculée par le frère d’une collégienne. Elle a pu éviter un coup grâce à l’intervention d’un médiateur. Le jeune homme était entré dans l’établissement pour avoir des explications au sujet d’un incident concernant sa sœur. La principale l’a reçu dans son bureau avant de lui demander de quitter le collège, c’est à ce moment-là qu’elle a été insultée et donc bousculée.
Une troisième mise en examen dans l’affaire du meurtre d’Amar
Un troisième suspect, âgé de 27 ans, a été placé en détention provisoire et mis en examen pour assassinat et tentative d’assassinat, le 4 mars dernier. Selon le Progrès, les enquêteurs auraient retrouvé des traces d’ADN et des résidus de poudre. Ce suspect serait donc impliqué dans le meurtre du petit Amar, tué par une balle perdue en décembre dernier, dans le quartier de Mermoz. Deux autres jeunes sont déjà mis en examen dans cette affaire.
Ils importaient de la cocaïne cachée dans des voitures de collection et des valises à double fond
17 prévenus sont jugés jusqu’à vendredi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Le réseau est soupçonné d’avoir fait transiter 86 kilos de cocaïne entre 2006 et 2008 depuis l'Amérique du Sud, à destination de Lyon, Mâcon et Dijon, pour un bénéfice d’au minimum 3 millions d’euros. La drogue avait été cachée dans une Chevrolet et une Austin ainsi que dans des valises transportées par de faux touristes. Le procureur a requis jeudi jusqu'à douze ans de prison pour les têtes de ponte du réseau.
SOS Racisme demande une enquête après la mort d’un jeune homme au Carrefour Part-Dieu
L’association a saisi la justice sur un possible "fichage ethno-racial" pratiqué par les agents de sécurité du magasin. Une première enquête a permis de révéler l'existence d'un classeur où les vigiles notaient toutes leurs interpellations. Chaque note était accompagnée d'un code chiffré destiné à identifier l'origine ethnique de la personne. C’est dans ce supermarché que quatre vigiles ont été mis en cause dans la mort d’un jeune homme en décembre dernier.
Trois cambrioleurs trahis par leurs empreintes génétiques
En avril 2009, ils s’étaient introduits dans une entreprise de Saint-Priest pour y dérober du matériel informatique. Rattrapés par la police le jour du casse, ils avaient d’abord nié les faits et avaient été relâchés faute de preuves. Mais les analyses génétiques effectués sur les gants retrouvés sur place ont permis de les confondre. Les trois cambrioleurs seront jugés dans quelques semaines.
Toni Musulin reste en prison jusqu’à son procès
Le juge d’instruction a rendu mardi soir son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel. L’ex-convoyeur de fond devrait être jugé en mai prochain pour le vol de 11,6 millions d’euros. Toni Musulin restera donc en prison jusqu’à son procès, alors que sa détention provisoire devait prendre fin mercredi. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon a par ailleurs confirmé la légalité de son extradition de Monaco à Lyon en novembre dernier. Enfin, selon Le Progrès, le juge a ouvert une 2e instruction pour « recel et complicité ». Elle a pour objet les 2,5 millions d'euros du butin qui n’ont pas été retrouvés. Toni Musulin nie toujours les avoir cachés et avance une erreur dans le comptage des billets.
Les berges du Rhône n’ont pas été plagiées
Le cabinet d’architecture In Situ qui a élaboré le projet a été blanchi lundi par la cour d’appel de Lyon.Une étudiante avait accusé le cabinet de plagiat et avait gagné en première instance. D’après elle, son projet d’études de 1996 avait été allégrement repris par le cabinet In Situ.
Un ancien président de la SPA condamné mardi dans la Loire
Il a été condamné à 18 mois de prison dont six mois ferme pour avoir détourné plus de 146 000 euros des caisses de l'association.Les faits se sont déroulés entre décembre 2006 et août dernier. Le prévenu, âgé de 50 ans, a encaissé sur son compte personnel 19 chèques libellés à la SPA afin de maintenir le train de vie de son épouse. Il a obligation d'indemniser l'association.
Toni Musulin renvoyé en correctionnelle
Le juge d’instruction a rendu mardi soir son ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel. L’ex-convoyeur de fond devrait être jugé en mai prochain pour le vol de 11,6 millions d’euros. Toni Musulin restera donc en prison jusqu’à son procès, alors que sa détention provisoire devait prendre fin mercredi.
Toni Musulin reste en prison
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon confirme la légalité de son extradition de Monaco à Lyon en novembre dernier
L’OL devra être indemnisé dans l’affaire Olivier Bernard
Décision rendue mardi par la Cour européenne de justice. En 1997, le joueur avait signé un contrat "espoir" de trois ans avec l'OL. Il avait ensuite décliné un contrat pro pour signer avec le club anglais de Newcastle. L'OL a alors attaqué en justice Olivier Bernard et son nouveau club puisque les règlements français obligent un joueur à signer son premier contrat pro en faveur de son club formateur. En première instance, la justice avait donné raison à Lyon qui devait recevoir 21 000 euros de dommages et intérêts. En appel, c’est Newcastle qui avait gagné et se voyait exonéré de tout versement. La Cour de cassation a finalement demandé un avis à la justice européenne et Newcastle devra donc verser une indemnité à l’OL "proportionnelle aux frais de formation engagés".
Toni Musulin sera fixé mardi à 16 heures
C’est à cette heure là que la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon va se prononcer sur la légalité de son extradition de Monaco à Lyon.
L’autopsie contredit la version du mari dans le drame de Saint-Priest
Les examens ont révélé lundi que la victime, une mère de famille de 36 ans, avait subi des violences.
Deux supporters lyonnais interdits de stade
Ils étaient jugés hier en comparution immédiate après des incidents lors du derby à Gerland contre Saint-Etienne.L’un a reconnu avoir allumé une fusée et a été condamné à deux mois de prison avec sursis et trois ans d'interdiction de stade. L’autre a été reconnu coupable d’avoir jeté son briquet dans la tribune des supporters stéphanois. Il a été condamné à une année d’interdiction de stade. A noter qu’un 3e supporter, cette fois de Saint-Etienne, a été relaxé "au bénéfice du doute".
Une exécution sans exécuteur
Lundi c’est ouvert devant la cour d’assises du Rhône le procès de deux hommes accusés de complicité de meurtre.


















