Don du sang: Et les homosexuels ?
L'association Pourquoi sang priver manifeste mercredi devant les camions du don du sang, place de la République pour faire entendre les droits des homosexuels.
Une association d'aide à l'Afrique s'implante à Lyon
Aidez pour Aider (APA), basée à Paris, a créé une antenne lyonnaise au mois d'août. L'association qui date de 2009 a pour principal objectif de scolariser les enfants de trois écoles affiliées au Burkina Faso et au Togo. Près de 50 bénévoles travaillent actuellement afin que 500 Africains puissent étudier. L'APA s'est implanté dans les locaux de l'université René Cassin dans le 9e, au sein de l'Ecole de commerce 3A. Le but est également de faire réagir les étudiants aux problématiques de développement, notamment en Afrique.
Les citoyens reprennent l’initiative avec «Tout pour Lyon 2 ème»
Ce n’est pas une association. Ce n’est pas non plus un courant politique. «Tout pour Lyon 2 ème» est un groupe d’opinion d’origine citoyenne, qui souhaite faire bouger les lignes classiques de l’action politique, au sens étymologique du terme, dans le deuxième arrondissement lyonnais. Indépendants des cadres existants, le collectif s’est fixé des objectifs élevés. Le premier chantier qu’il entreprend est celui du problème des sans-abris. Myriam Pleynard, sa fondatrice, a bien voulou répondre aux questions de Lyon Mag. Elle nous fixe sa ligne de conduite, sa méthode et les résultats attendus de son entreprise. Interview.
Suspension du mouvement de l’association Régis dans le 8e arrondissement
Plusieurs membres de cette association d’aide aux sans-abris campaient devant la mairie du 8e depuis lundi. Un mouvement pour protester contre la fermeture de l’ancienne clinique Montplaisir et donc de la décision des élus de ne pas en faire un lieu d’accueil pérenne pour les SDF. Des rencontres devraient débuter samedi sur ce sujet.
Scandale : une association place des SDF dans des taudis
Que fait Relais SOS ? Cette association, est agrémentée par la Préfecture pour l’accueil de jour des sans-abri et fait partie des huit sites d’urgences sociales de la ville de Lyon. Parfois, elle sort de ses fonctions pour aider des « sans domicile fixe » hébergés dans un centre à trouver un logement. Rien de plus louable, si l’association proposait autre chose que des habitations indécentes ou, pire, des taudis. « Ces personnes ont le choix, on ne les a pas forcés » rétorque froidement la directrice, Martine Durrigue, avant de raccrocher aussi sec.


