Les négociations auprès de Jean-Michel Aulas sont sur le point d'aboutir quant aux places sur les listes, et l'identité des têtes de liste dans les arrondissements de Lyon et dans les circonscriptions de la Métropole de Lyon.
Mais l'ancien président de l'OL a été clair : la parité sera respectée sur Lyon, en s'incluant personnellement dans l'équation portée à 10 listes avec la réforme de la loi PLM.
Puisque Jean-Michel Aulas est un candidat homme à la mairie centrale, il y aura donc 5 têtes de liste femmes dans les 9 arrondissements, et 4 hommes.
Or, parmi les prétendants autour de JMA, il y a largement plus d'hommes que de femmes.
Pierre Oliver, maire sortant du 2e arrondissement, pourrait être tenté d'affronter son rival écologiste Valentin Lungenstrass une nouvelle fois en mars prochain. Samuel Soulier tient la corde dans le 6e arrondissement. On parle aussi d'ambitions de Thomas Rudigoz de retrouver la mairie du 5e arrondissement qu'il a occupé de 2014 à 2017, de prétentions d'Edouard Hoffmann pour le 1er arrondissement ou de Charles-Franck Lévy pour le 8e.
Cinq noms cités, mais un seul membre de la société civile chère à Jean-Michel Aulas, cela fait déjà trop pour la parité exigée par le candidat Coeur Lyonnais.
Certains pourraient donc être plutôt recasés comme adjoints au maire de Lyon en cas de victoire le 22 mars, ou comme têtes de liste de circonscription pour les européennes.
Chez les femmes, le 3e arrondissement semble acquis à Béatrice de Montille et le 7e à Emilie Desrieux. Pour le reste, le casting est en cours de finalisation. Car les partis de la Macronie et les Républicains ont davantage poussé pour privilégier des candidatures masculines, ce qui a eu le don d'agacer Jean-Michel Aulas.
Que des vieux recasés les Républicains !
Signaler RépondreQui a envie de veauter pour eux sérieusement ???