Les automobilistes du Rhône et de la métropole de Lyon devront redoubler de vigilance. La préfecture annonce que le dispositif "Dexter" sera effectif à compter du 15 septembre 2025. Concrètement, des voitures-radar conduites par des opérateurs privés circuleront sur des itinéraires définis par la direction départementale des territoires, "en lien avec les forces de l’ordre et les gestionnaires de voirie concernés." Cela ne concernera pas les autoroutes, mais uniquement des routes bidirectionnelles hors agglo.
Selon les services de l'État, ces parcours de contrôle ont été établis "en fonction de l’accidentalité et du trafic", avec un objectif clair : "faire respecter les limitations de vitesse dans la durée" et "libérer du temps que les forces de l’ordre pourront consacrer à leurs missions d’intervention, d’enquête et de prévention."
La préfecture rappelle qu’"en 2024 en France, une vitesse excessive ou inadaptée a été relevée dans 29 % des accidents mortels", un chiffre qui grimpe à 32 % dans le Rhône et la métropole de Lyon.
Mais cette externalisation interroge. Ces véhicules ne seront pas conduits par des policiers ou des gendarmes, mais par des salariés d’entreprises privées. Le gouvernement assure toutefois que "les voitures-radars fonctionnent parfaitement en roulant à la vitesse maximale autorisée" et que les chauffeurs ont "l’obligation contractuelle de circuler à une vitesse adaptée dans le flot normal de circulation". Des sanctions financières sont même prévues : "1 000 euros par jour et par voiture" si une société tente de piéger les automobilistes en roulant trop lentement.
Autre précision de la préfecture : les entreprises titulaires du marché ne sont pas rémunérées au nombre de contraventions. Leur paiement dépend du nombre de kilomètres parcourus, fixé à l’avance dans le contrat.
Reste que pour de nombreux conducteurs, ces véhicules marquent une nouvelle étape dans la répression routière, perçue par certains comme une machine a cash pour l'État, malgré les garanties mises en avant par ce dernier.
Comme quoi, vaut mieux acheter de la drogue à un mineur avec de l'argent public, c'est moins risqué que de conduire une voiture.
Signaler RépondreUne association sera créer pour défendre les droits des automobilistes.
Signaler RépondreCeux qui conduisent sont des privés et non des fonctionnaires.
Cela sera contesté par un avocat spécialisé dans le droit routier
Ne vous inquiétez pas, vos petits anges qui roulent sans assurance, sans permis, dans des voitures volées ne risquent rien…
Signaler RépondreT'as raison camarade, qu'est-ce que c’est encore que cette manie de vouloir faire respecter la loi ?
Signaler RépondreC'est les fachos qui sont contents.
Signaler RépondreUn beau système de surveillance comme ils aiment.
Quelle honte.
Refusons que ce "travail" soit confié à une société privée ! C'est la porte ouverte aux magouilles . Ceci est du domaine de la police et de la gendarmerie .
Signaler RépondreY devrais s'occuper des vélos trottinettes feux rouges grillé aux téléphone ou musique stop même pas respecté ect( resté 1h des 8h rue Chaponnay vers le Vival et le stade vous verrez le stop feux rouges inexistant)
Signaler RépondreLes automobilistes en PLS, parce qu'ils vont devoir respecter le code de la route..
Signaler Répondreles barjos du volant vont prendre plein tarifs et ça c'est vraiment TOP!!!
Signaler Répondrej'espère qu'il y aura rapidement des mises a jour,
ces dangers public franchissent les feus rouge sans aucune retenu
et les mobiles au volant alors qu'ils on le Bluetooth ces malades dégénérés!!!
bref il faut respecter les limitations de vitesse, et pas de problème
Signaler RépondreSur l’A10, ce samedi matin, les gendarmes n’ont pas chômé. En trois heures de contrôle, ils ont enregistré 19 excès de vitesse, dont 16 si graves qu’ils ont coûté immédiatement le permis aux conducteurs.
Signaler RépondreEntre 8 h 45 et 11 h, sur la portion de l’A10 limitée à 90 km/h près de Chambray-lès-Tours, les radars n’ont pas eu le temps de refroidir. Les gendarmes du peloton motorisé ont enregistré des pointes vertigineuses allant jusqu’à 158 km/h, soit près du double de la limitation. Résultat : 16 retraits de permis immédiats, pour des vitesses retenues entre 130 et 158 km/h. La sévérité des sanctions ne surprend guère : sur cette portion réputée accidentogène, les forces de l’ordre veulent marquer les esprits. Les conducteurs pris en flagrant délit n’ont eu d’autre choix que de laisser leur volant… et leur fierté.
Tu as pas passé ton permis? On t'a pas appris a respecter le code?
Signaler RépondreVa faire un tour en Italie ou en GB, et tu nous reparleras des radars!
les GCUM ,les fous du volant vont ils enfin mis hors d'état de nuire ?
Signaler RépondreÇa rappelle " Le gendarme se marie" c'est aussi vicieu. On est plus sévère avec les délinquants de la route qu'avec la racaille.
Signaler RépondreLa Stasi n'y avait pas pensé. C'est beau le communisme.
Signaler RépondreÉvitons les accidents donc roulons correctement, ça ne sert à rien de jouer les Fangios !!
Signaler Répondre"Leur paiement dépend du nombre de kilomètres parcourus, fixé à l’avance dans le contrat."
Signaler RépondreLes parcours sont définis en amont, mais aucun doute que ça laisse de la latitude pour optimiser la rentabilité des conducteurs qui sont payés à l'heure.
Il sera donc plus rentable de prendre les portions de périph aux horaires les plus fluides, puisque les kilomètres seront beaucoup plus vite réalisés.
Avec 10 km/h de marge, c'est quand même jouable
Signaler RépondreRien n arrête la machine à fric , une honte !
Signaler Répondrebref, une 2 ème sulfateuse
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