A la pause méridienne, sept adolescents ont été pris de violents maux de ventre. Ces cas ne sont toutefois pas graves.
Pour cette suspicion d'intoxication alimentaire possiblement survenue lors du repas à la cantine de l'établissement, l'Agence régionale de santé est intervenue sur place pour réaliser des analyses des aliments.
je vous lis beaucoup et pourtant je reste dans l'obscurité
Signaler RépondreAlors pour travailler de l'intérieur je peux vous répondre très clairement sur le "on se demande comment font les hauts fonctionnaires", qui peut d'ailleurs se décliner jusqu'au fonctionnaire local (d'état ou territorial):
Signaler Répondre- des élus décident d'une modification règlementaire, fonctionnelle, structurelle etc tout ce que vous voudrez;
- les modalités de mise en place et de financement de cette modification prête généralement bien sur à sourire puisque 1) il n'y a en réalité pas d'affectation de l'impôt (juste une grande bassine à pognon dans laquelle tout le monde pioche) 2) ceux qui décident de la loi ne se sont a) ni ceux qui montent le financement b) ni ceux qui sont chargés de sa mise en place réelle (comment qu'on fait? qui qu'y fait ?);
- la consigne descend du politique, arrive dans le ministère concerné, sur le dos de hauts fonctionnaires et de leurs tacherons, qui doivent mettre en exécution (peu importe comment, démerdez vous).
Voilà la réalité, la petite musique qui consiste en permanence à expliquer qu'on est un pays géré par des hauts-fonctionnaires complètement à côté de la plaque oublie que ce sont bien des décisions politiques qui sont à l'origine de toutes nos recettes et toutes nos dépenses.
Sur du vécu plus personnel, par conséquence de la mandature de F. Hollande, puisque c'est lui dont il a pu être question plus bas, ça a donné: "les gars, le ministre a décidé que la disposition X devait être mise en place sans délai, vous laissez tomber les autres projets, on réalloue tout le personnel disponible sinon on y arrivera pas, faut que ça passe, ensuite on verra comment on fait". Puis les "hauts-fonctionnaires" et leurs tacherons se sont gratté la tête très très fort en se disant "mais comment on va bien pouvoir faire çà, c'est impossible". Lorsque la mesure a finalement été mise en place, tout le monde a gueulé en disant que c'était mal fichu, que ceux qui avaient pondu ça étaient nuls, qu'avec des acteurs privés ça ne ce serait pas passé comme ça, que les serveurs alloués aux missions étaient insuffisants (usagers devant des sites publics en rade permanente).
En réalité dans le privé cette disposition n'aurait pas été mise en oeuvre, ou en tout cas pas si vite, pas dans cette proportion, pas sans avoir fait des tests à un échelon local. Dans n'importe quelle entreprise privée, soit un projet émane des employés, il est détaillé, sa crédibilité (réalisation, bouclage du financement) est établie, et il est soumis à la direction, soit c'est la direction qui décide d'une orientation, et la suite est la même.
Ceux qui rêvent d'entrepreneurs pour gérer la France s'illusionnent. On ne choisit pas les projets en fonction de leur pertinence ou de leur faisabilité, mais en fonction de choix politiques.
Ça plus le fameux "bon sens" qui relègue les scientifiques au second rang.
Signaler RépondreD’après toi, quand on épand un champ, on le fait avec quoi ? Quel est le meilleur engrais naturel pour les plantations de légumes ?
Signaler RépondrePas besoin de vous répondre car ça tourne en rond et cela amène à rien.
Signaler RépondreBonne soirée et lisez un peu cela vous rendra un peu plus "éclairé".
ben alors on est plus pour la gestion des services publics par le privé? y a un pb avec les crèches et les ephad? c'est pas bien géré?
Signaler Répondre"allez cherchez les infos un peu", "ne soyez pas trop fainéant". ce n'est pas à nous de vérifier si ce que vous dites est vrai, ce qui est rarement le cas. c'est à vous de le prouver.
"c'est connu de tous" c'est pas un argument. donc vous faites juste du vent.
dans quel but diffuser des infos non sourcées donc non vérifiables si ce n'est manipuler les lecteurs?
pour qui travaillez vous?
sinon pour le fond.
l'état ne contrôle pas assez? c'est surement pas en supprimant des fonctionnaires que l'on va contrôler plus.
ah le fameux argument "tout le monde est au courant.
Signaler RépondreLe problème des ARS est public tout le monde est au courant.
Signaler RépondreCa va avec la création des grandes Régions de Hollande qui a été très mal gérée et coûte un fric fou
Parfois les articles de "Contribuables Associés " sont très intéressants pour découvrir que ce mille feuille administratif est une aberration inefficace car l'argent public est dilapidé dans des projets incohérents dès le départ.
A se demander comment sont formés les Hauts Fonctionnaires pour faire autant d'usine à gaz.
Si en plus vous ajoutez le poids croissant de certains cabinets de "conseil" on atteint rapidement le ponpon.
De bon produits BIOs issus de la ferme métropolitain de Nanard
Signaler RépondreComme vous l'écrivez dans le département de la Gironde. Dans le département du Rhône c'est la catastrophe. Je ne vais pas trop m'étaler sur ce sujet, si certains font des recoupements je deviendrais idenfiables. Mais si tu n'as besoin de rien demande à l'ArS
Signaler RépondreAh j'oubliais aussi les détails de l'affaire Nestlé sur les eaux minérales. Très intéressant de voir ce qui c'est passé du côté de l ARS.
Signaler RépondrePuis la délégation des contrôles à du privé c'est public. Le fait que Bureau Veritas s'en charge a fait l'objet de plusieurs articles.
Voilà c'est des infos de base non confidentielles longuement discutées dans une multitude de papiers.
Ben écoutez quand j'ai discuté avec un ingé de l'ARS de gironde qui a géré une TIAC j'ai du avoir une hallucination alors.. en plus elle était alimentaire.
Signaler RépondreVous me collez aux fesses dites donc.
Signaler RépondreQue l'Etat ne fasse plus son devoir de contrôle est connus de tous faut arrêter de dire qu'on invente et aller chercher les infos un peu.
Vous avez ses dernières années énormément d'affaires qui sont sorties. Déjà lisez un peu les livres de Victor Castanet sur les EHPAD et les crèches (donc sphères ARS).
Ne soyez pas trop fainéant les infos sont assez simples à trouver.
cdt,
7 cas d'intoxication alimentaire dans un établissement scolaire ça parait très peu pour incriminer la restauration collective, même si pas impossible.
Signaler RépondreOn peut au moins noter que l'auteur de l'article garde une distance mesurée qui est appréciable ('suspicion' 'possiblement' etc), même si l'intervention de l'ARS pour l'exécution de prélèvements semble débattue.
En tout cas c'est un peu rapide pour s'emballer sur la responsabilité de la cuisine industrielle ou sur l'efficacité des services de l'état. Faut se calmer.
et sinon a part m'attaquer personnellement vous n'avez toujours pas répondu à ma question
Signaler Répondrevous le grand défenseur de la volonté du peuple on fait quoi si le peuple veut tuer les roux?
grand défenseur de la volonté du peuple et grand complotiste. jamais un argument, jamais une preuve, jamais une source, utilisation à outrance du "on" impersonnel des guillemets (mal utilisées), du conditionnel...
"On lève donc des "points de contrôle" et on allège certaines procédures."
ah bon? une source, une preuve?
"j'ai entendu " où ca? qui d'autre l'a entendu?
Pour le compte de qui vous essayez de manipuler l'opinion?
Cette cantine est dans le département du rhône et non la métropole...
Signaler Répondremais un peu d'humour est toujours le bienvenue.
Après 3 mois de fast-food, ils ne digèrent pas le bio arrosé au pipi des Urinoirs de GREG
Signaler RépondreJe ne vais pas consulter ni la DGAL ni n'importe quel organisme. De par mon parcours professionnel je connais exactement les démarches concernant les suspicion de TIAC. Ce que j'affirme je l'ai vécu. Dans ce type d'établissement avec ce type de symptômes on peut se diriger dans différentes possibilités : tiac, gastro, surconsommation de bonbons, TP avec utilisation de produits chimiques, et le top c'est l'utilisation de stupéfiants. J'ai rarement vu l'ARS enquêter en amont dans les familles des malades pour savoir si des proches avaient des symptômes. 7 malades sur environ 300 élèves c'est peu mais bon.
Signaler Répondrel'ARS n'est pas impliquée dans les TIAC... étonnant..... Faudrait voir cela avec la DGAL et l'ANSES pour savoir s'ils ont du même avis que vous. Mais bon vu le fonctionnement décousu des services de l'Etat cela ne serait pas surprenant (on sait maintenant que les ARS sont d'une incompétence assez crasse).
Signaler RépondreMais bon si on regarde de près les process de fabrication, on découvre assez souvent des perles. On est dans une logique de réduction des coûts pour maximiser souvent le profit. On lève donc des "points de contrôle" et on allège certaines procédures. On peut voir aussi très régulièrement que le personnel est peu formé à l'hygiène (pas mal de turn-over du personnel mal payé et mal formé).
Mais bon si vous faites le tour de plusieurs autres secteurs d'activité (hors restauration collective) vous trouverez les même problèmes.
Puis avec la réduction des coûts les contrôles diminuent (j'ai entendu que certains contrôles sont "délégués" à Bureau Véritas), une analyse a un certain prix puis est elle réellement valable au final car la dérive touche aussi les boites qui font ses analyses... un ami ancien inspecteur vétérinaire hurle sur la situation actuelle.
C'est un cercle vicieux.
vous devriez mieux vous renseigner ce n'est pas l'ARS qui s'occupe des échantillons témoins ce sont les services de la DDPP, quant à l'enquête en général elle est aussi effectuée par les agents de la DDPP, l'ARS est incapable de gérer ce type d'incident, j'en parle en connaissance de cause.
Signaler RépondreAlors comme pour les panneaux Stop dans le Craponne d'à côté, qui pour accuser la faute à l'immigration?
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